J'ai lu ce dernier Bob dans le train en rentrant dimanche après-midi (c'est le seul moment où j'ai le temps de lire !
![Laughing :lol:](./images/smilies/icon_lol.gif)
).
Je rejoins les avis de Serge et de Richard : c'est un Bob "moderne" qui se laisse lire facilement, même si Bill nous manque un peu ...
La forme de la narration surprend un peu au début, avec les aller-retour permanents entre passé et présent, mais ça a l'avantage de briser la continuité de la chronologie.
Evidemment, le choix d'en faire trois volumes amène à "délayer" un peu plus que nécessaire, mais bon ... (la blague vaseuse de la page 9 n'était pas franchement utile
![Rolling Eyes :roll:](./images/smilies/icon_rolleyes.gif)
) : on avait le même phénomène dans "l'énigme du pôle" !
Pas de fautes d'orthographe (une seule me semble t-il) et ça c'est un bon point (même si ça paraît normal
![Mr. Green :mrgreen:](./images/smilies/icon_mrgreen.gif)
)
Par contre, j'ai relevé quelques ratés agaçants qui auraient pu être facilement évités :
Page 12 : deux membres du commando se glissent sous l'appareil pendant qu'un troisième braque un lance-roquettes. Quelques lignes plus loin, ces deux hommes remontent dans l'hélico, suivis de leurs "
deux complices qui avaient continué à tenir l'appareil en respect"
Ca me rappelle d'autres ratés du même genre dans les dernIers Bob, non ?
Page 27 : le capitaine Mendez est entouré de deux sous-officiers de la Marine.
Page 39 : les deux sous-officiers se sont transformés en trois officiers (Alves, Correia et Rocha)
Page 69 : l'un des trois s'appelle Heymann
Page 82 : l'évasion de Bob,
menotté, face à quatre gardes armés : vraiment trop fort, notre Bob !
![Laughing :lol:](./images/smilies/icon_lol.gif)
Et toujours trop fort quand (page 131), toujours menotté, il triomphe de trois adversaires armés !
Page 85 : il y a un soldat KO dans la camionnette ! Mais quand et comment y est-il arrivé ?
Page 87 : il ne s'est écoulé que quelques minutes depuis l'évasion de Bob. Mais sa tête a déjà été mise à prix !
On attend quand même la suite avec impatience ...
"Les deux seuls sentiments que l'homme ait jamais inspiré au policier sont l'ambiguïté et la dérision" (Eugène-François Vidocq)