Les films ayant peut-être inspiré Henri VERNES
Modérateur : La Patrouille du Temps
Les films ayant peut-être inspiré Henri VERNES
HV n'a jamais caché que c'est en s'imprégnant de ses lectures et de ses séjours dans les salles de cinéma qu'il a imaginé certaines aventures de Bob Morane .
Je choisis pour ce sujet de me concentrer sur les films. Je cherche à deviner ce qui a pu inspirer HV .
Le premier film qui me vient à l'esprit est un film tiré d'un roman .
Certains rebondissements du film La Machine à explorer le Temps avec Rod Taylor ( et du roman de HG Wells, Herbert George Wells, La Machine à remonter le temps 1895.) sont à placer en parallèle avec le roman Les Bulles de l'Ombre Jaune . Je me contente des points de convergence .
1 un monde post-atomique
2 2 types de population totalement antagonistes
3 une population jeune et insouciante et une population anthropophage
4 la population jeune est habillée à la hippie
5 la population jeune est issue des survivants de la contamination atomique
6 la population anthropophage est issue des contaminés par les radiations atomiques
7 des holocaustes sont organisés périodiquement par une machine qui attire hipnotiquement les jeunes pour être dévorés par les anthropophages
8 on accède au coeur de la machinerie par des conduits verticaux
9 le héros détruit tout, machinerie et anthropophages
10 la population jeune s'apprête à vivre heureuse après la destruction de la machinerie
Je choisis pour ce sujet de me concentrer sur les films. Je cherche à deviner ce qui a pu inspirer HV .
Le premier film qui me vient à l'esprit est un film tiré d'un roman .
Certains rebondissements du film La Machine à explorer le Temps avec Rod Taylor ( et du roman de HG Wells, Herbert George Wells, La Machine à remonter le temps 1895.) sont à placer en parallèle avec le roman Les Bulles de l'Ombre Jaune . Je me contente des points de convergence .
1 un monde post-atomique
2 2 types de population totalement antagonistes
3 une population jeune et insouciante et une population anthropophage
4 la population jeune est habillée à la hippie
5 la population jeune est issue des survivants de la contamination atomique
6 la population anthropophage est issue des contaminés par les radiations atomiques
7 des holocaustes sont organisés périodiquement par une machine qui attire hipnotiquement les jeunes pour être dévorés par les anthropophages
8 on accède au coeur de la machinerie par des conduits verticaux
9 le héros détruit tout, machinerie et anthropophages
10 la population jeune s'apprête à vivre heureuse après la destruction de la machinerie
Il faut nous donner plus de détails . N'y a-t-il pas une différence entre un plateau et une vallée ? Je taquine, mais tout le monde ici ne connaît peut-être pas .Michel D a écrit :"Les Mondes perdus" de Conan Doyle, qui avait été mis en scène dans les années 50, puis qui a fait l'objet de plusieurs rééditions, aurait pu donner "Le secret de l'Antarctique".
Je ne connais pas . J'avoue avoir été dérouté par la Nuit des Temps dans ma jeunesse : j'ai trouvé cela X, c'était imposé par notre Prof. de Français et je n'ai rien lu d'autre .Michel D a écrit :"Ravages" de Barjavel (mais a t'il été adapté au cinéma ?) a pu lui donner des idées pour "Les fourmis de l'OJ".
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Barjavel imagine un monde où, suite à une guerre, l'électricité cesse d'exister, et où les gens doivent réapprendre à vivre sans machines, où les instincts primaires (primitifs) refont surface, où c'est la loi du plus fort qui l'emporte.
A lire d'urgence, ainsi qu'une autre des ses oeuvres : "Le voyageur imrudent", qui a peut-être inspiré le professeur Hunter et sa machine à voyager dans le temps. En fin de récit, on y soulève le "paradoxe temporel"
A lire d'urgence, ainsi qu'une autre des ses oeuvres : "Le voyageur imrudent", qui a peut-être inspiré le professeur Hunter et sa machine à voyager dans le temps. En fin de récit, on y soulève le "paradoxe temporel"
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Comme le dit Michel D, Ravage est à lire ABSOLUMENT. Ecrit dans les années 40, il n'a pas pris une ride. Un cinéaste américain, je crois devait le porter à l'écran, au début des années 80, mais comme pour l'Aventurier, le projet a été annulé
A lire aussi de Barjavel, "Le Grand Secret", et bien d'autres, je les ai tous.
A lire aussi de Barjavel, "Le Grand Secret", et bien d'autres, je les ai tous.
- Attila08
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Après une petite semaine d'absence, je réattaque les post. Jolie signature Arkan !
"Bin ! Où je passe, y faut encor' tondre la pelouse sinon elle repousse quand même !!!!"
Attila08
Ceci est un jeu rigolo !!!
Attila08
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- Lilou Multipass
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- Attila08
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Je pense que oui mon cher Claude car ma faucheuse est toujours présente. (cochonnerie d'informaticiens )
"Bin ! Où je passe, y faut encor' tondre la pelouse sinon elle repousse quand même !!!!"
Attila08
Ceci est un jeu rigolo !!!
Attila08
Ceci est un jeu rigolo !!!
Je la vois maintenant . Ouf !
NB 1) on m'avait demandé à l'époque de classer un peu les messages.
2) ce que je remontais portait des titres très explicites, ce qui ne nécessitait pas de précisions.
NB 1) on m'avait demandé à l'époque de classer un peu les messages.
2) ce que je remontais portait des titres très explicites, ce qui ne nécessitait pas de précisions.
Dernière édition par claude le 14 oct. 2005 à 16:52, édité 2 fois.
- Lilou Multipass
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- Localisation : Dans un souterrain .... bas très bas....
Merci des compliments Attila et Lilou (qui commence à trop en savoir sur moi maintenant ).
Pour la chauve-souris il faut le dire à Dan qui en a eu l'idée et au Colonel pour l'application
Bein oui c'est la technique de Claude ça, il met un post et en rajoute un second 2 minutes après On devrait ne les compter que pour 0,5 chacun
Autre technique du Glaude depuis la rentrée : mettre des posts "A Transférer" vers on sait pas ou ni pourquoi
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Un des tout meilleurs livre de "fin du monde" que j'aie pu lireMichel D a écrit :Barjavel imagine un monde où, suite à une guerre, l'électricité cesse d'exister, et où les gens doivent réapprendre à vivre sans machines, où les instincts primaires (primitifs) refont surface, où c'est la loi du plus fort qui l'emporte.
A lire d'urgence
Quelques Bob Morane, dans ma boutique Delcampe:
http://livres-bd.delcampe.net/page/list ... age,F.html
Ou quelques BD ?
http://livres-bd.delcampe.net/page/list ... age,F.html
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Les films ayant peut-être inspiré Henri VERNES
Dans ce cas si c'est le personnage d'un film...
L'acteur Sydney Greenstreet jouant nottament dans Casablanca a inspiré à Henri Vernes le personnage d'Orgonetz
Mike
L'acteur Sydney Greenstreet jouant nottament dans Casablanca a inspiré à Henri Vernes le personnage d'Orgonetz
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On peut aussi faire l'inverse... Le cinéma inspiré par Venres.
Personellement, je trouve qu'il y a beaucoup de choses qui font penser à l'oeuvre de H.Vernes dans les films de Spielberg... En effet, Spielbarg a toujours aimé les serials
entre autres :
Jurrasic park ( les chasseurs de dinosaures)
Indiana Jones ( une tripotée d'épisodes font plus ou moins penser à ce genre d'aventure, jusque dans les vêtement beige du héro qui finnissent souvent déchirés)
La guerre des mondes (Les monstres de l'espace)
Non ?
Bien évidemment, James Bond sent le Bob à plein nez ( Le docteur NO est ni plus ni moins un clone de l'Ombre Jaune...
Après, on peut aller très loin, et ça peut devenir rigolo :
ex :
Timecop de Peter Hyams avec Jean Claude Vandamme et sa police du temps...
Bref...
Personellement, je trouve qu'il y a beaucoup de choses qui font penser à l'oeuvre de H.Vernes dans les films de Spielberg... En effet, Spielbarg a toujours aimé les serials
entre autres :
Jurrasic park ( les chasseurs de dinosaures)
Indiana Jones ( une tripotée d'épisodes font plus ou moins penser à ce genre d'aventure, jusque dans les vêtement beige du héro qui finnissent souvent déchirés)
La guerre des mondes (Les monstres de l'espace)
Non ?
Bien évidemment, James Bond sent le Bob à plein nez ( Le docteur NO est ni plus ni moins un clone de l'Ombre Jaune...
Après, on peut aller très loin, et ça peut devenir rigolo :
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Bref...
saperlipopette !
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y a qu' a demander...mais on est loin de Bob Morane et plus proche du superbe patriotisme américain....
Le lieutenant Waters (Willis), officier vétéran d'une unité de la marine, se voit chargé, avec son équipe, d'exfiltrer le docteur Lena Kendricks (Bellucci), chef de mission dans une province africaine exposée à des combats meurtriers. Face à l'entêtement de la jeune femme qui refuse d'abandonner ses protégés, Waters fait le choix de désobéir aux ordres et s'engage à escorter la troupe jusqu'à la frontière voisine. Ce faisant, il se retrouve non seulement confronté à la colère de sa propre hiérarchie mais doit également faire face aux assauts des troupes rebelles résolues à s'opposer à leur fuite.
Le lieutenant Waters (Willis), officier vétéran d'une unité de la marine, se voit chargé, avec son équipe, d'exfiltrer le docteur Lena Kendricks (Bellucci), chef de mission dans une province africaine exposée à des combats meurtriers. Face à l'entêtement de la jeune femme qui refuse d'abandonner ses protégés, Waters fait le choix de désobéir aux ordres et s'engage à escorter la troupe jusqu'à la frontière voisine. Ce faisant, il se retrouve non seulement confronté à la colère de sa propre hiérarchie mais doit également faire face aux assauts des troupes rebelles résolues à s'opposer à leur fuite.
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Ce qui abouti à ( dans le final ) la scène de guerre la plus improbable et la plus mal fichue qu'on ait vu sur un écran. Les membres des Marines constamment à découvert tirent sans relâche sur les rebelles ( les armes automatiques ont des chargeurs de 40 000 balles c'est bien connu) et font mouche à tous les coups alors qu'eux ne prennent jamais une seule balle ( ou presque ) tandis que Bruce Willis puniera les méchant d'une roquette "dans le cul" ( On pourrait croire que c'est une image mais dans le cas présent c'est quasi littéral...).
Par contre "La chute du faucon noir" (qui traite de la raclée véridique qu'ont pris les américain à Mogadiscio ( pas sûr de l'orthographe) en 1995) de Ridley Scott est un excellent film. Spectaculaire, viscéral et moins patriotique qu'à l'accoutumée.
Par contre "La chute du faucon noir" (qui traite de la raclée véridique qu'ont pris les américain à Mogadiscio ( pas sûr de l'orthographe) en 1995) de Ridley Scott est un excellent film. Spectaculaire, viscéral et moins patriotique qu'à l'accoutumée.
saperlipopette !
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Bah, on avait vu mieux (ou pire..) dans Rambo 3 avec l'ami silvestre affronter l'armée russe debout une mitrailette à la hanche....Reste finalement quelques répliques forcement cultes comme ce «Je suis ton pire cauchemar » ou encore « Pour qui prenez-vous cette homme ? Dieu ? Non, Dieu aurait pitié, lui pas ! ». Sans commentaire. et pourtant je ne suis pas un détracteur de stallone.
Pour ce qui est du faucon noir, on nous propose sans surprise des héros propres sur eux, à la moralité sans faille et avec, pour le seul pleutre du groupe, une rédemption à la clé par le courage et l'esprit de sacrifice. C'est beau, mais ce n'est heureusement pas tout. Et c'est même plutôt bien venu !
Car une fois le coup d'envoi donné, La chute du Faucon Noir se révèle dans toute sa dimension : un film de guerre totale, topographique, balistique, technologique et sanglant, un chassé-croisé destructeur et haletant à échelle moyenne où chaque minute marque un tournant stratégique de ce traquenard gigantesque où 19 soldats vont trouver la mort au terme de 16 heures de combat. Et Ridley Scott réussi avec un certain brio à traduire ce glissement d'une simple anicroche vers une catastrophe absolue.
Mais on s'éloigne dangereusement du sujet profond de ce post...
Pour ce qui est du faucon noir, on nous propose sans surprise des héros propres sur eux, à la moralité sans faille et avec, pour le seul pleutre du groupe, une rédemption à la clé par le courage et l'esprit de sacrifice. C'est beau, mais ce n'est heureusement pas tout. Et c'est même plutôt bien venu !
Car une fois le coup d'envoi donné, La chute du Faucon Noir se révèle dans toute sa dimension : un film de guerre totale, topographique, balistique, technologique et sanglant, un chassé-croisé destructeur et haletant à échelle moyenne où chaque minute marque un tournant stratégique de ce traquenard gigantesque où 19 soldats vont trouver la mort au terme de 16 heures de combat. Et Ridley Scott réussi avec un certain brio à traduire ce glissement d'une simple anicroche vers une catastrophe absolue.
Mais on s'éloigne dangereusement du sujet profond de ce post...
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N'oublie pas que Jurassic park n'est pas sorti de l'imagination de Spielberg mais bien de l'ecrivain Crichton. Je doute fort que lui ai été inspiré par Vernesvincethecrock a écrit :On peut aussi faire l'inverse... Le cinéma inspiré par Venres.
Personellement, je trouve qu'il y a beaucoup de choses qui font penser à l'oeuvre de H.Vernes dans les films de Spielberg... En effet, Spielbarg a toujours aimé les serials
entre autres :
Jurrasic park ( les chasseurs de dinosaures)
Indiana Jones ( une tripotée d'épisodes font plus ou moins penser à ce genre d'aventure, jusque dans les vêtement beige du héro qui finnissent souvent déchirés)
La guerre des mondes (Les monstres de l'espace)
Non ?
Bien évidemment, James Bond sent le Bob à plein nez ( Le docteur NO est ni plus ni moins un clone de l'Ombre Jaune...
Après, on peut aller très loin, et ça peut devenir rigolo :
ex :
Timecop de Peter Hyams avec Jean Claude Vandamme et sa police du temps...
Bref...
In every generation there is a chosen one. She alone will stand against Vampires, Demons and the forces of darkness. She is the Vampire Slayer!
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C'est vrai, autant pour moi...
D'un autre côté, Indy a été écrit par Lucas et Spielberg, donc il n'était pas seul et La Guerre des Mondes est de Wells à la base, mais je ne parlais pas d'influence ouo autre, c'était plus des ressemblances que j'ai noté ça et là, pour montrer que Spielberg aime ce genre d'aventures et d'univers.
D'un autre côté, Indy a été écrit par Lucas et Spielberg, donc il n'était pas seul et La Guerre des Mondes est de Wells à la base, mais je ne parlais pas d'influence ouo autre, c'était plus des ressemblances que j'ai noté ça et là, pour montrer que Spielberg aime ce genre d'aventures et d'univers.
saperlipopette !
Re: Les films ayant peut-être inspiré Henri VERNES
Le film passe ce soir sur Arte.Mike a écrit :
L'acteur Sydney Greenstreet jouant notamment dans Casablanca a inspiré à Henri Vernes le personnage d'Orgonetz .
Mike