extraits marquants
Modérateur : La Patrouille du Temps
extraits marquants
Bon, j'essaye de lancer un truc, on verra bien si çà rebondit:
Si on vous demande, et çà tombe pile poil, vu que je vous le demande, de citer sans réflêchir (y en a qui ont un avantage, ils sont entrainés ) un extrait d'un Bob, une situation, une description, quelque chose qui vous a marqué plus que le reste. Le genre presque inconscient, l'image qui vous revient dès que vous regardez votre collection ?
Moi, c'est un extrait des "chasseurs de dinosaures". J'ai été fasciné et impressioné par le passage où Bob se retrouve SEUL, en pleine ère secondaire, et où il décide de passer la nuit au sommet d'un gingko. La nuit tombe, et il y a une courte description basée uniquement sur les sons: Bob ne voit rien mais entend toutes sortes de hurlements, de piétinements, de bruits de lutte... Est-ce qu'il peu y avoir quelque chose de plus terrible que de ce retrouver perdu dans le temps, à une époque hors de la mesure humaine, perché sur un arbre, la nuit, entouré de monstres ?
Voilà, après plus de 200 Bob et 35 ans de lecture, la scène que j'ai retenue.
Si on vous demande, et çà tombe pile poil, vu que je vous le demande, de citer sans réflêchir (y en a qui ont un avantage, ils sont entrainés ) un extrait d'un Bob, une situation, une description, quelque chose qui vous a marqué plus que le reste. Le genre presque inconscient, l'image qui vous revient dès que vous regardez votre collection ?
Moi, c'est un extrait des "chasseurs de dinosaures". J'ai été fasciné et impressioné par le passage où Bob se retrouve SEUL, en pleine ère secondaire, et où il décide de passer la nuit au sommet d'un gingko. La nuit tombe, et il y a une courte description basée uniquement sur les sons: Bob ne voit rien mais entend toutes sortes de hurlements, de piétinements, de bruits de lutte... Est-ce qu'il peu y avoir quelque chose de plus terrible que de ce retrouver perdu dans le temps, à une époque hors de la mesure humaine, perché sur un arbre, la nuit, entouré de monstres ?
Voilà, après plus de 200 Bob et 35 ans de lecture, la scène que j'ai retenue.
"si un homme ne sais pas vers quel port il navigue, aucun vent ne peut lui être favorable"
Re: extraits marquants
C'est marrant : moi aussi c'est ce que j'ai le mieux retenu !Ziggy a écrit :Bon, j'essaye de lancer un truc, on verra bien si çà rebondit:
Si on vous demande, et çà tombe pile poil, vu que je vous le demande, de citer sans réflêchir (y en a qui ont un avantage, ils sont entrainés ) un extrait d'un Bob, une situation, une description, quelque chose qui vous a marqué plus que le reste. Le genre presque inconscient, l'image qui vous revient dès que vous regardez votre collection ?
Moi, c'est un extrait des "chasseurs de dinosaures". J'ai été fasciné et impressioné par le passage où Bob se retrouve SEUL, en pleine ère secondaire, et où il décide de passer la nuit au sommet d'un gingko. La nuit tombe, et il y a une courte description basée uniquement sur les sons: Bob ne voit rien mais entend toutes sortes de hurlements, de piétinements, de bruits de lutte... Est-ce qu'il peu y avoir quelque chose de plus terrible que de ce retrouver perdu dans le temps, à une époque hors de la mesure humaine, perché sur un arbre, la nuit, entouré de monstres ?
Voilà, après plus de 200 Bob et 35 ans de lecture, la scène que j'ai retenue.
En second, quand Bob rencontre Peste.
La fatalité, il suffit de ne pas y croire...
- Chris Corthouts
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C'est pratique, çà, tu sélectionne 10 bob et tu les relis en boucle avec toujours le même émerveillement !
C'est vrai que c'est marrant que Pascal ait retenu le même passage, parce que...200 bouquins, avec mettons un passage plus où moins fort par chapitre, çà en fait 3000.
C'est vrai que c'est marrant que Pascal ait retenu le même passage, parce que...200 bouquins, avec mettons un passage plus où moins fort par chapitre, çà en fait 3000.
"si un homme ne sais pas vers quel port il navigue, aucun vent ne peut lui être favorable"
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Idem pour moi, avec cette scène du gingko géant, c'est peut-être pour celà que je l'ai lu une vingtaine de fois en 35 ans et que j'en ai fais une reproduction.
Celle aussi, ou il se retrouve seul dans "Les Cavernes de la Nuit".
En bref, toutes les situations ou il se retrouve abandonné dans un coin paumé du temps, de la galaxie ou d'une région infecte du globe...
Celle aussi, ou il se retrouve seul dans "Les Cavernes de la Nuit".
En bref, toutes les situations ou il se retrouve abandonné dans un coin paumé du temps, de la galaxie ou d'une région infecte du globe...
Alors moi qui suis en plein dans ananké, je viens de découvrir un passage particulièrement marquant qui m'a donné un haut le coeur et qui je crois memarquera car j'imaginais la scène comme si j'y étais.
La traversé du jardin des morts, l'attaque par les mouches, moi qui ai l'habitude de cotoyer la mort dans mon métier, j'imagine tout à fait ce que ca peut être, l'odeur, les mouches qui se sont posées sur les cadavres en putréfaction, pénétrant sous les mouchoirs, les pattes chargées d'un liquide poisseux et malodorant, quel horreur vraiment j'ai failli partir en courant dans les toilettes et pourtant je sais ce que c'est
La traversé du jardin des morts, l'attaque par les mouches, moi qui ai l'habitude de cotoyer la mort dans mon métier, j'imagine tout à fait ce que ca peut être, l'odeur, les mouches qui se sont posées sur les cadavres en putréfaction, pénétrant sous les mouchoirs, les pattes chargées d'un liquide poisseux et malodorant, quel horreur vraiment j'ai failli partir en courant dans les toilettes et pourtant je sais ce que c'est
Entre plein d'autres : Une scène de l'excellent "poison blanc". un petit malfrat qui fait tomber sa cendre dans la bouillabaisse chez Pierrot et qui se fait virer sans avoir le temps de s'en rendre compte par Bob pendant que Bill reste tranquille assis
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Une scène qui m'avait marqué. Bien entendu dans mon premier Bob : "Le masque de jade".
Bob est prisonnier du Masque de Jade avec son carcan (voir la couverture) et il le défie. Et voilà ma scène, quand Bob prend une bonne dégelée, à mains nues, de la part du petit tyran.
J'étais jeune 14 ans et j'avais du mal à comprendre que le héros, bien balancé se fasse nettoyer par un mec un peu maigrichon, presque insignifiant. Dans mon esprit, je m'attendais à ce que Bob lui mette une raclée. Eh bien, Non !
C'est d'ailleurs suite à cette leçon qu'ensuite Bob s'est mis aux arts martiaux et au karaté en particulier. j'aimais bien ces premiers Bob car on suivait, d'une aventure à l'autre, l'évolution du héros. Il était faillible, prenait des coups mais il apprenait... et son personnage s'affermissait.
Maintenant tout est remis en question...
Bob est prisonnier du Masque de Jade avec son carcan (voir la couverture) et il le défie. Et voilà ma scène, quand Bob prend une bonne dégelée, à mains nues, de la part du petit tyran.
J'étais jeune 14 ans et j'avais du mal à comprendre que le héros, bien balancé se fasse nettoyer par un mec un peu maigrichon, presque insignifiant. Dans mon esprit, je m'attendais à ce que Bob lui mette une raclée. Eh bien, Non !
C'est d'ailleurs suite à cette leçon qu'ensuite Bob s'est mis aux arts martiaux et au karaté en particulier. j'aimais bien ces premiers Bob car on suivait, d'une aventure à l'autre, l'évolution du héros. Il était faillible, prenait des coups mais il apprenait... et son personnage s'affermissait.
Maintenant tout est remis en question...
j'ai jamais aimé Poison Blanc (çà va twin, pas la peine de me faire la gueule), peut-être parce que je l'avais trouvé trop cruel, façon SAS. la scène où le malfrat se fait balancer par terre encore et encore par la grue m'avait écoeuré. mais j'étais un chtit nenfant sensible.
"si un homme ne sais pas vers quel port il navigue, aucun vent ne peut lui être favorable"
ha oui superbe cette scène
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Tu m'as grillé Gamzy, c'est justement ce passage que j'allais citer!gamzyboy a écrit :pour moi,c estdela peur qu il ne meure ,quand il a enlevé ses gants(il fait-40°) et qu il va essaye d allumer sa dertniere allumette ,ouf ça a fonctionne ,je devais avoir 10 ans quand j ai lu le diable du labrador ,j en suis encore angoissé
Tiens parlant d'éléphant, la charge des éléphants dans mise en boite maison. Impressionant
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Les scènes le plus marquantes sont le plus souvent celles des premières lectures.
J'avais dix ans quand j'ai lu "Les voleurs de mémoire". Ce roman est tellement marquant que je ne l'ai pas relu depuis, pas besoin. Je vois le professeur avec sa seringue dans la cave d'une maison abandonnée, le clodo attaché à une chaise. Brrr.
Sinon, dans le genre marquant, il y a la bombe atomique sur la base Oasis-K.
Flashy
J'avais dix ans quand j'ai lu "Les voleurs de mémoire". Ce roman est tellement marquant que je ne l'ai pas relu depuis, pas besoin. Je vois le professeur avec sa seringue dans la cave d'une maison abandonnée, le clodo attaché à une chaise. Brrr.
Sinon, dans le genre marquant, il y a la bombe atomique sur la base Oasis-K.
Flashy
C'est la charge d'UN éléphant ! Et le courage de Bill qui saute de voiture et couche le pachyderme en joue alors qu'il charge et le tue net d'une seule balle !TwinCobra a écrit :Tiens parlant d'éléphant, la charge des éléphants dans mise en boite maison. Impressionant
Dernière édition par Pascal le 30 janv. 2007 à 8:57, édité 1 fois.
La fatalité, il suffit de ne pas y croire...
Ma pauvre Poposum, avec Ananké, tu n'as pas fini d'avoir des surprises...poposum a écrit :Alors moi qui suis en plein dans ananké, je viens de découvrir un passage particulièrement marquant qui m'a donné un haut le coeur et qui je crois memarquera car j'imaginais la scène comme si j'y étais.
La traversé du jardin des morts, l'attaque par les mouches, moi qui ai l'habitude de cotoyer la mort dans mon métier, j'imagine tout à fait ce que ca peut être, l'odeur, les mouches qui se sont posées sur les cadavres en putréfaction, pénétrant sous les mouchoirs, les pattes chargées d'un liquide poisseux et malodorant, quel horreur vraiment j'ai failli partir en courant dans les toilettes et pourtant je sais ce que c'est
La fatalité, il suffit de ne pas y croire...
Tiens un autre : dans L'Epée du paladin, quand à la fin Bob et Bill regagnent la caverne où est caché le temposcaphe et ... surprise !Ziggy a écrit :C'est vrai que la scène où Bob se fait castagner par le masque reste d'anthologie.
Mine de rien, si ce sujet tient la distance, on va finir par en citer des tonnes, des extraits marquants !
Je me suis toujours demandé pourquoi La Patrouille du Temps n'était pas intervenue...
La fatalité, il suffit de ne pas y croire...
Bon, l'extrait le plus marquant, c'est fait... le deuxième alors (au feeling, c'est celui qui m'est revenu hier soir).
Dans "les monstres de l'espace", il y a un passage qui m'avait fait flippé, comme disent les djeuns: Bob est planqué dans la jungle, la nuit, aux abords du village Bakubi où ces satanés moricauds préparent une petite fête pour des prisonniers. je crois qu'il y a l'inévitable héroine, et je ne sais plus qui d'autre.
et puis... les torches s'éteignent, une à une, un grand silence se fait. et dans le silence, on entend le bruit de reptation du monstre qui approche. la pesanteur du silence est palpable. et d'un coup, les rayons verts massacrent les Bakubis qui se dispersent. Cet instant de silence complet, avec la menace qui approche, c'était classe.
D'ailleurs, cette scène finalement répond aux mêmes mécanismes que la scène du gingko (nuit, coin sauvage, bruits menaçants, monstres...)
Dans "les monstres de l'espace", il y a un passage qui m'avait fait flippé, comme disent les djeuns: Bob est planqué dans la jungle, la nuit, aux abords du village Bakubi où ces satanés moricauds préparent une petite fête pour des prisonniers. je crois qu'il y a l'inévitable héroine, et je ne sais plus qui d'autre.
et puis... les torches s'éteignent, une à une, un grand silence se fait. et dans le silence, on entend le bruit de reptation du monstre qui approche. la pesanteur du silence est palpable. et d'un coup, les rayons verts massacrent les Bakubis qui se dispersent. Cet instant de silence complet, avec la menace qui approche, c'était classe.
D'ailleurs, cette scène finalement répond aux mêmes mécanismes que la scène du gingko (nuit, coin sauvage, bruits menaçants, monstres...)
"si un homme ne sais pas vers quel port il navigue, aucun vent ne peut lui être favorable"
Possible, j'ai un peu décroché des écrivains du grand nord. je pensais à la nouvelle "construire un feu".Stoker a écrit :Perut-être un peu Curwood aussi, je me demande ?Ziggy a écrit :Inspiré de London, cette scène. Diablement.
"si un homme ne sais pas vers quel port il navigue, aucun vent ne peut lui être favorable"
C'est vrai qu'il y a de ça...Ziggy a écrit :Possible, j'ai un peu décroché des écrivains du grand nord. je pensais à la nouvelle "construire un feu".Stoker a écrit :Perut-être un peu Curwood aussi, je me demande ?Ziggy a écrit :Inspiré de London, cette scène. Diablement.
Relis London, ça vaut le coup !
La fatalité, il suffit de ne pas y croire...
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- Messages : 1989
- Inscription : 01 nov. 2004 à 9:54
- Localisation : Close to the edge
L'ennemi invisible m'avait fasciné.
Tout comme, dans un autre ordre d'idée, dans la bande dessinée avec Chlorophyle, la série de vignette ou Chloro se retrouve au volant d'une petite voiture actionnée par un moteur que l'on remonte avec une clé.;
Je ne sais pas pourquoi et il vaut mieux ne pas chercher d'explications fumeuses..
Tout comme, dans un autre ordre d'idée, dans la bande dessinée avec Chlorophyle, la série de vignette ou Chloro se retrouve au volant d'une petite voiture actionnée par un moteur que l'on remonte avec une clé.;
Je ne sais pas pourquoi et il vaut mieux ne pas chercher d'explications fumeuses..
Même que Bob lui chipe son pistolet... mort de rireTwinCobra a écrit :Entre plein d'autres : Une scène de l'excellent "poison blanc". un petit malfrat qui fait tomber sa cendre dans la bouillabaisse chez Pierrot et qui se fait virer sans avoir le temps de s'en rendre compte par Bob pendant que Bill reste tranquille assis
La fatalité, il suffit de ne pas y croire...
Devinez? Panique dans le ciel: la découverte de la base et des avions pirates. Je me rappelle que j'ai du interrompre ma lecture pour me coucher et que j'y ai pensé toute la nuit et la journée du lendemain, car mon père m'avait caché le bouquin (car il savait que je lisais la nuit à la lampe de poche (déjà, j'avais des cotés "oiseaux de la nuit")...
Je n'ai récupéré ce bouquin et ma lecture que le lendemain soir quand mon père est rentré de la base (ben oui, il était aviateur, les poules font pas des choux!) et qu'il me l'a rendu. Je me suis sauvé pour lire tranquille cette suite tant attendue et je me suis planqué dans les wc de l'école (ben oui,ma mère était instit', les pommiers font pas des oeufs!).
C'étaient des wc à la turc!
Mais moi, il y a aussi deux extraits de BD, j'espère que ça compte!?
dans femme d'aujourd'hui... ce qui m'a fait envoyer mon père commander ces romans dans ma librairie préférée de Luxeuil (à l'épicerie du village, la dame commandait pas!)
un extrait des contrebandiers de l'atome, avec les camions bennes.
un extrait de rendez vous à nulle part: la découverte du manège
Je n'ai récupéré ce bouquin et ma lecture que le lendemain soir quand mon père est rentré de la base (ben oui, il était aviateur, les poules font pas des choux!) et qu'il me l'a rendu. Je me suis sauvé pour lire tranquille cette suite tant attendue et je me suis planqué dans les wc de l'école (ben oui,ma mère était instit', les pommiers font pas des oeufs!).
C'étaient des wc à la turc!
Mais moi, il y a aussi deux extraits de BD, j'espère que ça compte!?
dans femme d'aujourd'hui... ce qui m'a fait envoyer mon père commander ces romans dans ma librairie préférée de Luxeuil (à l'épicerie du village, la dame commandait pas!)
un extrait des contrebandiers de l'atome, avec les camions bennes.
un extrait de rendez vous à nulle part: la découverte du manège
Moi, pour ce que j'en dis... ©