Le continent Mu près du Japon?

BOB MORANE vous connaissez !! Vous avez connu...Alors vous venez nous rejoindre....et en parler

Modérateur : La Patrouille du Temps

Répondre
Eric Leblanc
Messages : 622
Inscription : 06 juil. 2003 à 16:51
Localisation : Vancouver, Canada
Contact :

Le continent Mu près du Japon?

Message par Eric Leblanc » 19 juil. 2007 à 15:43

Faudra demander à Aristide ce qu'il en pense :)

Lire:
http://en.wikipedia.org/wiki/Yonaguni
The seabed contains what appear to be ruins of a previous glacial age and traces of terrestrial flora, fauna and stalactites that form only on the surface. These seem to be ruins to some people. Were they to be man-made they would be among the oldest man made structures at some 3,000 to 10,000 years old.

The fame of Yonaguni island began in 1987, when a Japanese marine explorer, Kihachiro Aratake, by chance discovered a set of very singular seemingly architectonic structures allegedly belonging to an ancient civilization and previously unknown in archaeology and history. Shortly thereafter, a group of scientists directed by Masaaki Kimura (木村政昭), of the University of the Ryūkyūs, confirmed the existence of the vestiges. They appear, at least superficially, to be comparable to the pyramids of Egypt, Mesopotamia, Mexico, and Peru.

On May 4, 1998, a part of the island was destroyed by a submarine earthquake.

Several analyses indicated that a certain structure, which measured 120 m in length, 40 m wide and 20–25 m high, was 8000 years old. Were this to be man-made it would be much older than the first constructions of Mesopotamia, Egypt, India and China. This antiquity has created disagreement among historians and archaeologists since it goes against the accepted chronological history of humanity. Several noted writers, including John Anthony West and geologist Robert Schoch argue that under inspection, the "ruins" turn out to be largely explicable by ocean erosion and coral reef settlements. Professor Kimura still maintains that the structure is manmade however.

Most geologists familiar with the area also maintain that the structures are mere geologic processes of natural origin and consistent with other known geological formations. They point to the fact that local rocks above the surface have right angle cleavages, and that aquatic flora and fauna have simply smoothed out much of the surface of the rocks. Furthermore, no tools have been found at the site, which could positively identify human settlement.

At the time that it would have been constructed, the affected area of Yonaguni composed a land bridge between the islands of Taiwan, Ryūkyū, and Japan with Asia in the days of the ice age. The level of the sea was lower than at present because of the ice accumulated in the temperate zones. Geologist Teruaki Oshii suggests they have been constructed before the end of the glacial era.

In addition to scientific explanations, other esoteric theories are that Yonaguni was part of the legendary ancient civilizations of Mu (Lemuria), whose fate it shared with Atlantis or Thule, as an ancient advanced civilization which sank into the sea. Another theory is that the Yonaguni structures fit in with the claims made by some biblical creationists regarding the presence of advanced civilizations prior to a global catastrophe, resulting in the destruction of many such civilizations.

Gobe_lutin
Messages : 24
Inscription : 02 nov. 2006 à 11:07
Localisation : France

Message par Gobe_lutin » 20 juil. 2007 à 8:31


claude
Modérateur
Messages : 11364
Inscription : 06 juin 2003 à 16:15
Localisation : Lorraine

Message par claude » 20 juil. 2007 à 10:38

Monument de Yonaguni
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.


Lors d’un repérage en 1985 par un tour opérateur en plongée sous-marine, Kihachiro Aratake découvrit dans les eaux claires de Arakawa Point, à la pointe sud de l’Ile Yonaguni dans les Iles Ryukyu, une énorme structure de pierre qui semble être mégalithique. Cette structure est pourvue d’immenses terrasses interrompues par de très grandes marches angulaires et de très grandes parois à l’apparence lisse. La structure mesure plus ou moins 75 mètres de long et 25 mètres de haut. Il faudra au moins dix ans pour que les médias relatent la découverte.

[...]

Etude du site par le professeur Kimura
Les premières études sérieuses débutèrent en 96 avec le professeur Masaaki Kimura de l’Université de Ryukyu qui créa l’UAET (Equipe d’Exploration d’Archéologie Sous-marine). Le professeur Masaaki Kimura, professeur de géologie, a déclaré lors d’une interview en septembre 1999 que l’on pouvait clairement voir qu’elles étaient des constructions faites par l’homme. Elles avaient des rues, des escaliers à angles droits avec des trous ronds dans certaines roches qui semblaient prévus pour l’insertion de piliers de pierre.

Sous la mer au sud-est des Iles Shihuan et dans les régions aux alentours, bien d’autres ruines furent découvertes par son équipe. La découverte de la statue à tête humaine et des hiéroglyphes est particulièrement convaincante pour Kimura. Lors d’une interview à l’université de Ryuku, le professeur explique les cinq points qui le laissent croire que ce monument est en partiellement de la main de l’homme. Le premier sont ses formes générales. Cela ressemble en effet à un château fort ou à une pyramide, déclare-t-il. Le second point est qu’il y a énormément de marches de 20 cm de hauteur semblables à un escalier. Le troisième point, toujours selon Kimura, est qu’il y a des formes qui ne peuvent être dues à l'érosion des vagues. Quatrièmement il y dans le fond ce qui ressemble à une route avec peu de fragments de pierre, rendant improbable le fruit d’actions naturelles. Et le dernier point est un muret en pierre longeant cette route.

Selon le professeur Kimura, ce monument servait à la fois de château de temple. En regardant un modèle à l’échelle assemblé par Kimura après plusieurs explorations du site par son équipe et lui-même, ils trouvent une ressemblance avec le château d’Okinawa datant du XIV siècle . Les similitudes avec le château japonais de Nakagusku incluent des zones de marches avec de grandes terrasses plates ; une arche, qui pouvait être une porte d’entrée est localisée du côté Ouest du monument ; et plus profond, des trous inexplicables situés sur une autre section. Au sommet du monument il y a une ouverture conduisant vers le bas, évoquant des tombes.


Les doutes de la communauté scientifique
Cependant à l'occasion de la sortie de son livre Heaven's Mirror, l'écrivain Graham Hancock invite le docteur Robert Schoch à venir donner son opinion quant à l'origine "naturelle" ou "humaine" de ces structures. Schoch accepte et arrive au Japon en Septembre 1997. Le docteur Schoch pense que la structure est naturelle mais ajoute qu'il n'en a jamais vue de semblable auparavant. Afin de mieux évaluer le site, le Dr Schoch visite à deux reprises le site de Yonaguni, la première fois en septembre 1997 à l’invitation de l’homme d’affaires japonais M. Yasuo Watanabe et durant juillet-août 98 comme membre du projet archéologique du Team Atlantis.

Après quinze année de recherche le mystère de la structure de Yonaguni reste. Si la structure a été modelée par l’homme comme certains commencent à le croire, cela nous ramènerait 12.000 ans en arrière, quand cette zone était encore au-dessus du niveau de la mer, avant la fin de l’âge glaciaire. Cela deviendrait alors la plus vieille structure jamais construite par l’homme, plus ancienne de 7000 ans que les pyramides de Gizeh et tendrait à prouver l’existence d’une civilisation antérieure inconnue.

D’autres nous rappellent qu’il y a beaucoup de formations rocheuses curieuses sur notre planète et qui sont tout à fait naturelles. De plus, le site de Yonaguni est composé de roche de grès qui tend à casser en ligne droite et s’érode facilement avec le temps. Le Dr Koremasa Tsuji de l’ Université de Guam pense que le responsable de ces formes est le mouvement tectonique des plaques dans la région.

Jacques Mayol quant à lui a visité plusieurs structures sous marines autour du monde et élimine la théorie selon laquelle le monument est un phénomène naturel.

Répondre