Opération Atlantide.
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Opération Atlantide.
Je viens de relire "Opération Atlantide".
14ème aventure datant de 1956.
Ce qui m'a frappé tout d'abord, c'est la longueur du roman, le temps que j'ai mis à le lire par rapport aux derniers. C'était le bon temps : il y avait de la "matière"...
A l'époque ces romans étaient aussi destinés à des adolescents et nous arrivions bien à les lire, alors pourquoi, aujourd'hui faire des romans plus courts prétextant que les jeunes ne les liront pas s'ils sont trop longs. Foutaises, que cela. Un livre moins long, c'est surtout moins long à écrire et moins de péripéties à trouver... et moins de pages à imprimer.
Deuxième chose, c'est que, bien que je connaisses le livre et que je sache que B.M. s'en tire toujours, j'ai marché à fond quand il était en difficulté et j'étais toujours captivé par les rebondissements.
En troisième lieu, ce sont certains termes utilisés, complètement désuets, ayant d'ailleurs disparu du dictionnaire, qui m'ont amusé. Par exemple une profondeur quantifiées en "Phatoms" ou des projecteurs dont la puissance est donnée en "bougies".
Une fois aussi, B.M. est appelé : "le jeune français". Je ne m'en souviens pas mais je pense que cette appellation ne doit pas revenir souvent dans d'autres aventures ?
Mais bien vite, on oublie ces petits détails et seule l'aventure compte.
14ème aventure datant de 1956.
Ce qui m'a frappé tout d'abord, c'est la longueur du roman, le temps que j'ai mis à le lire par rapport aux derniers. C'était le bon temps : il y avait de la "matière"...
A l'époque ces romans étaient aussi destinés à des adolescents et nous arrivions bien à les lire, alors pourquoi, aujourd'hui faire des romans plus courts prétextant que les jeunes ne les liront pas s'ils sont trop longs. Foutaises, que cela. Un livre moins long, c'est surtout moins long à écrire et moins de péripéties à trouver... et moins de pages à imprimer.
Deuxième chose, c'est que, bien que je connaisses le livre et que je sache que B.M. s'en tire toujours, j'ai marché à fond quand il était en difficulté et j'étais toujours captivé par les rebondissements.
En troisième lieu, ce sont certains termes utilisés, complètement désuets, ayant d'ailleurs disparu du dictionnaire, qui m'ont amusé. Par exemple une profondeur quantifiées en "Phatoms" ou des projecteurs dont la puissance est donnée en "bougies".
Une fois aussi, B.M. est appelé : "le jeune français". Je ne m'en souviens pas mais je pense que cette appellation ne doit pas revenir souvent dans d'autres aventures ?
Mais bien vite, on oublie ces petits détails et seule l'aventure compte.
«Oui, monsieur, moi, je descends du singe. Mais vous, vous y remontez !»
Alexandre DUMAS.
Mon avatar est un fragment d'un dessin de CORIA, inédit , original et personnel.
Alexandre DUMAS.
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Je suis d'accord avec toi, ce n'est pas la longueur d'un roman qui rebute un jeune lecteur. S'il accroche au bouquin il le lit. Regarde les Harry Potter. Le plus petit fait 2 Bob et demi et l'avant dernier 6 Bob. J'ai pas le dernier en format poche mais je crois qu'il est encore + gros ! Et ça se vend par millions
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[quote="caoa54"]Cédric, Emma qui n'arrive pas à dormir, va définitivement [i]insomnier [/i]toute la nuit en voyant ça!
Tu n'aimes pas HP? Sacrilège!
Tu t'arrangeras avec elle! :?
Ou alors tu es à Serpentard? :oops:[/quote]
[b]Mes convictions sont en oppositions avec la magies et tout ce qui tounent autours.[/b]
Emma tu n'arrive pas dormir c'est peut être un abut de Harry Potter!
Amicalement
Cédric
Tu n'aimes pas HP? Sacrilège!
Tu t'arrangeras avec elle! :?
Ou alors tu es à Serpentard? :oops:[/quote]
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Ben faut prendre la magie comme un prétexte à l'aventure...
Je ne crois pas au continent mû ou aux mondes parallèles et pourtant j'adore Bob Morane
J'ai lu tous les Harry Potter en VO (j'étais un peu gêné de me lancer dans cette lecture en français, j'ai donc prit le prétexte "d'améliorer mon anglais" pour les lire et essayer de comprendre l'engouement succité par ces livres auprès de la jeunesse actuelle) sauf le dernier que suis occupé à lire (950 pages, je suis à la moitié).
J.K. Roling écrit très très bien, et je prend véritablement plaisir à suivre les aventures d'Harry. Elle a réussi à créer un monde très complexe et qui tient la route, à partir d'une seule idée de base...
Dans les derniers volumes tu retrouves des allusions à des passages des premiers livres, qui s'entremêlent et rendent le monde qu'elle a créé encore plus crédible. un peu comme si elle avait pensé aux livres suivants en écrivant les premiers volumes
Ces romans sont excessivement bien fait, et pourtant il ne s'agit pas de ma litérature préférée, et je comprend maintenant l'engouement des ados pour ces histoires, tellement réalistes que certains passages me rapelle ma propre adolescence.
Un seul reproche cependant, le nombre de page sans cesse croissant ne se justifie pas à ce point, dans le dernier (le n°5) il commence à y avoir certaines "longueurs" et la description des "sentiments" des personnages est de plus en plus présente au détriment de l'action...
Le numéro 4 est de loin mon préféré, pas une minute tu n'as le temps de reprendre ton souffle et pourtant ce bouquin fait 800 pages.
Voilà, chacun son avis mais il faut lire pour pouvoir dire qu'on n'aime pas
Je ne crois pas au continent mû ou aux mondes parallèles et pourtant j'adore Bob Morane
J'ai lu tous les Harry Potter en VO (j'étais un peu gêné de me lancer dans cette lecture en français, j'ai donc prit le prétexte "d'améliorer mon anglais" pour les lire et essayer de comprendre l'engouement succité par ces livres auprès de la jeunesse actuelle) sauf le dernier que suis occupé à lire (950 pages, je suis à la moitié).
J.K. Roling écrit très très bien, et je prend véritablement plaisir à suivre les aventures d'Harry. Elle a réussi à créer un monde très complexe et qui tient la route, à partir d'une seule idée de base...
Dans les derniers volumes tu retrouves des allusions à des passages des premiers livres, qui s'entremêlent et rendent le monde qu'elle a créé encore plus crédible. un peu comme si elle avait pensé aux livres suivants en écrivant les premiers volumes
Ces romans sont excessivement bien fait, et pourtant il ne s'agit pas de ma litérature préférée, et je comprend maintenant l'engouement des ados pour ces histoires, tellement réalistes que certains passages me rapelle ma propre adolescence.
Un seul reproche cependant, le nombre de page sans cesse croissant ne se justifie pas à ce point, dans le dernier (le n°5) il commence à y avoir certaines "longueurs" et la description des "sentiments" des personnages est de plus en plus présente au détriment de l'action...
Le numéro 4 est de loin mon préféré, pas une minute tu n'as le temps de reprendre ton souffle et pourtant ce bouquin fait 800 pages.
Voilà, chacun son avis mais il faut lire pour pouvoir dire qu'on n'aime pas
Quelques Bob Morane, dans ma boutique Delcampe:
http://livres-bd.delcampe.net/page/list ... age,F.html
Ou quelques BD ?
http://livres-bd.delcampe.net/page/list ... age,F.html
Pour moi une grande force des Harry Potter est l'évolution du monde dans lequel il vit, au fur et à mesure qu'il grandit. Dans le premier tome HP est jeune, un gamin. Il découvre un monde merveilleux avec ses yeux de 11 ans. Le monde des sorciers, c'est Cendrillon. Tout le monde il est beau et gentil (à part un quand même qui voudrait l'embêter, mais ça va pas loin)
Et plus il grandi (ainsi que ses premiers lecteurs) plus il voit ce monde avec des yeux différents. C'est un monde de plus en plus dur et cruel, au fur et à mesure des romans, de plus en plus proche du monde réel (avec ses bassesses, ses magouilles et coups tordus, ses injustices) comme auquel je pense il va vraiment ressembler dans le dernier épisode
Et plus il grandi (ainsi que ses premiers lecteurs) plus il voit ce monde avec des yeux différents. C'est un monde de plus en plus dur et cruel, au fur et à mesure des romans, de plus en plus proche du monde réel (avec ses bassesses, ses magouilles et coups tordus, ses injustices) comme auquel je pense il va vraiment ressembler dans le dernier épisode
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Une précision concernant le FATHOM dont je parle plus haut et utilisé par H.Vernes dans "Opération Atlantide" pour quantifier des profondeurs.
Je viens de découvrir par hasard que le "fathom" est ce que l'on appelle "la brasse anglaise", très rarement employée, qui vaut 1,828 mètre.
Je viens de découvrir par hasard que le "fathom" est ce que l'on appelle "la brasse anglaise", très rarement employée, qui vaut 1,828 mètre.
«Oui, monsieur, moi, je descends du singe. Mais vous, vous y remontez !»
Alexandre DUMAS.
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Un nombre en bougies (candelas), on ne peut pas le changer en watt (unité de puissance), mais plutot en nit et lumen (unités de luminescence et de flux lumineux)...
Une source lumineuse (lampe) émet perpendiculairement à sa surface une intensité lumineuse mesurée en candela (grandeur choisie proche de la bougie, unité antérieure, qui correspond à l'intensité lumineuse d'une bougie). Une lampe à incandescence produit une intensité légèrement supérieure à 1 candela par Watt.
Mais...
La surface qui émet cette intensité pouvant varier (comparer la surface d'une lampe à incandescence à celui d'un tube néon), la luminance désigne l'intensité par unité de surface ; le nit correspond à 1 candela pour 1 mètre carré. On conçoit que la luminance du soleil, celle de la lune ou d'une source artificielle sont très différentes. Il est possible d'obtenir des luminances supérieures à celle du soleil, grâce aux flash électroniques dont l'intensité se décharge en un temps très bref (quelques millionnièmes de seconde).
Une source lumineuse quasi ponctuelle émet dans un espace de 4 pi steradiants. Le flux lumineux est mesuré en lumen ; un lumen correspond à un candela par steradiant. Une ampoule à incandescence de 100 watt émet environ 1400 lumen donc environ 1400 bougies (ou candelas).
donc une bougie, c'est 1/14 de ce qui est produit par une lampe de 1 watt...
Gonflé, le caoa?
Une source lumineuse (lampe) émet perpendiculairement à sa surface une intensité lumineuse mesurée en candela (grandeur choisie proche de la bougie, unité antérieure, qui correspond à l'intensité lumineuse d'une bougie). Une lampe à incandescence produit une intensité légèrement supérieure à 1 candela par Watt.
Mais...
La surface qui émet cette intensité pouvant varier (comparer la surface d'une lampe à incandescence à celui d'un tube néon), la luminance désigne l'intensité par unité de surface ; le nit correspond à 1 candela pour 1 mètre carré. On conçoit que la luminance du soleil, celle de la lune ou d'une source artificielle sont très différentes. Il est possible d'obtenir des luminances supérieures à celle du soleil, grâce aux flash électroniques dont l'intensité se décharge en un temps très bref (quelques millionnièmes de seconde).
Une source lumineuse quasi ponctuelle émet dans un espace de 4 pi steradiants. Le flux lumineux est mesuré en lumen ; un lumen correspond à un candela par steradiant. Une ampoule à incandescence de 100 watt émet environ 1400 lumen donc environ 1400 bougies (ou candelas).
donc une bougie, c'est 1/14 de ce qui est produit par une lampe de 1 watt...
Gonflé, le caoa?
Moi, pour ce que j'en dis... ©
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Super, ces explications... teintées d'humour.
C'est ce que j'espérais en proposant cette rubrique "Salon de lecture" : que l'on aborde des sujets très variés autres que B.M.
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Les bougies des gateaux d'anniversaires sont comme les autres. Si tu es très très vieux, c'est automatique, tu vois mieux ton gateau, mais il te faut plus de souffle pour éteindre les bougies. Question d'autant plus urgente que les bougies dégagent une puissance (en watts) qui va faire réchauffer la chantilly à une vitesse dépendant:
- du nombre de bougies (voir date de naissance)
- de la température initiale du gateau (voir notice frigo)
- de la température de la pièce (voir saison, thermostat, fenêtres ouvertes...)
- de la taille du gateau (voir liste des invités)
- de la densité moyenne du gateau (voir avec le patissier)
- du pouvoir calorifique des bougies (environ 40 KJ/g)
- du coefficiant de conductivité de la crème Chantilly
N.B.:
Le Pouvoir Calorifique de la bougie est variable suiavnt la marque des bougies, la matière utilisée, cire ou stéarine
Je ne connais pas le coefficiant de conductivité de la crème Chantilly...
Le temps mis pour souffler les bougies dépend, lui :
- du souffle de la personne fêtée (voir avec ORL de le personne fêtée)
- du nombre de bougies (voir date de naissance)
- de la souplesse de la personne fêtée qui pourra ou non se pencher sur le gateau
- des tricheurs éventuels qui ajouteront leurs postillons salvateurs
Happy birthday quand même!
- du nombre de bougies (voir date de naissance)
- de la température initiale du gateau (voir notice frigo)
- de la température de la pièce (voir saison, thermostat, fenêtres ouvertes...)
- de la taille du gateau (voir liste des invités)
- de la densité moyenne du gateau (voir avec le patissier)
- du pouvoir calorifique des bougies (environ 40 KJ/g)
- du coefficiant de conductivité de la crème Chantilly
N.B.:
Le Pouvoir Calorifique de la bougie est variable suiavnt la marque des bougies, la matière utilisée, cire ou stéarine
Je ne connais pas le coefficiant de conductivité de la crème Chantilly...
Le temps mis pour souffler les bougies dépend, lui :
- du souffle de la personne fêtée (voir avec ORL de le personne fêtée)
- du nombre de bougies (voir date de naissance)
- de la souplesse de la personne fêtée qui pourra ou non se pencher sur le gateau
- des tricheurs éventuels qui ajouteront leurs postillons salvateurs
Happy birthday quand même!
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La contuctibilité et la ressitance à la chaleur de la chantilly dépend essentiellement de si elle est montée a la main ou à la machine et il y a differance en la machine et le batteur sans conter le soutient crème .-
Bref sa dépend.
Candela et candelabre on la même racine plus une histoire de bougie...
Fumeuses tes explications........
Cédric
Bref sa dépend.
Candela et candelabre on la même racine plus une histoire de bougie...
Fumeuses tes explications........
Cédric
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Prof de tout...
Enfin pas à un niveau exceptionnel mais dans un cadre un peu exceptionnel...
Instit (maintenant prof des Ecoles)... en Collège: j'enseigne toutes les matières en enseignement spécialisé (jeunes de 11/12 ans qui sont "en grand retard scolaire" (SEGPA)... plutot des pauvres gamins, cas sociaux....etc... des fois durs...
Formation? Deug Sciences Math, Deug archéologie préhistorique, Maitrise de sciences et Techniques (MST!) du Bois...
Comme quoi tout mène à tout...
Enfin pas à un niveau exceptionnel mais dans un cadre un peu exceptionnel...
Instit (maintenant prof des Ecoles)... en Collège: j'enseigne toutes les matières en enseignement spécialisé (jeunes de 11/12 ans qui sont "en grand retard scolaire" (SEGPA)... plutot des pauvres gamins, cas sociaux....etc... des fois durs...
Formation? Deug Sciences Math, Deug archéologie préhistorique, Maitrise de sciences et Techniques (MST!) du Bois...
Comme quoi tout mène à tout...
Moi, pour ce que j'en dis... ©
Les enfants de la Terre
Merci Caoa pour toutes ces précisions.
Puisque tu parles de Deug archéologie préhistorique, j'en profite pour rebondir sur la saga de J. M. AUEL " Les enfants de la Terre". Est-ce que tu l'as lue? Personnellement, j'ai beaucoup aimé.
Puisque tu parles de Deug archéologie préhistorique, j'en profite pour rebondir sur la saga de J. M. AUEL " Les enfants de la Terre". Est-ce que tu l'as lue? Personnellement, j'ai beaucoup aimé.
Non, pas lu...
Je me suis fait tous les Ronsny Aisné, qui n'a pas écrit que la guerre du feu!
Je te conseille aussi le livre d'un copain, Jean Courtin: Le Chamane du bout du monde.
Un jeune couple se fait virer de son village et parcourt le sud de la France, ce qui lui permettra de faire connaissance avec l’amour, avec plein de gens, de se battre... Un roman initiatique entre romantisme, passion et aventure. Ca se passe entre il y a 10 000 et 20 000 ans et c'est bien rendu, par un spécialiste.
C’est divertissant et on apprend plein de trucs, en particulier lors des magnifiques descriptions des peintures rupestres.
Il faut passer sur le côté macho de certains passages... Je ne lui pardonne que parce que je l'aime trop bien et que sa femme n'a pas été très tendre avec lui...
Je me suis fait tous les Ronsny Aisné, qui n'a pas écrit que la guerre du feu!
Je te conseille aussi le livre d'un copain, Jean Courtin: Le Chamane du bout du monde.
Un jeune couple se fait virer de son village et parcourt le sud de la France, ce qui lui permettra de faire connaissance avec l’amour, avec plein de gens, de se battre... Un roman initiatique entre romantisme, passion et aventure. Ca se passe entre il y a 10 000 et 20 000 ans et c'est bien rendu, par un spécialiste.
C’est divertissant et on apprend plein de trucs, en particulier lors des magnifiques descriptions des peintures rupestres.
Il faut passer sur le côté macho de certains passages... Je ne lui pardonne que parce que je l'aime trop bien et que sa femme n'a pas été très tendre avec lui...
Moi, pour ce que j'en dis... ©