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Saynètes Bob Morane
Modérateur : La Patrouille du Temps
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Jannick DENIS
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Le Mystère de la Zone "Z" (les Hénaurmes)
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Jannick DENIS
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Je vous rappelle kil y a toujours une énigme à trouver dans la partie "jeux détente" avec un cadeau à la clé.
On sait que c'est l'histoire "La croisière du Mégophias".
Reste à trouver à koi a bien pu servir ce chapeau ???
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On sait que c'est l'histoire "La croisière du Mégophias".
Reste à trouver à koi a bien pu servir ce chapeau ???
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Jannick DENIS
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"La Croisière du Mégophias"
... Quand l'aube se leva - une aube grise et chargée de brume - les deux fuyards se rendirent compte que, devant eux, la mer était parsemée de pitons rocheux formant un véritable labyrinthe. Ces pitons, aux sommets effilés, faisaient songer à de gigantesques crocs...
Le canot s'avança lentement entre les pitons rocheux. Bientôt, ceux-ci se refermèrent sur lui. Séparés entre eux par d'étroits chenaux, ils élevaient à six ou sept mètres au-dessus des flots leurs sommets en forme de pains de sucre, auquels s'accrochaient des lambeaux de brume. Tout autour de l'embarcation, ces gigantesques "dents de dragons" formaient à présent un décor d'Apocalypses créé eût-on dit par le pinceau d'un peintre fou. Paysage hors de toute mesure où la distance et le temps eux-mêmes, ces immuables réalités, semblaient abolis. Parfois, les chenaux ne formaient plus que d'étrois boyaux et, pour y trouver passage, il fallait rentrer les avirons et s'en servir à la façon de pagaies ; d'autres fois, ils s'évasaient jusqu'à former d'étroits bassins...
... Entre le canot et un piton rocheux, un être de cauchemar venait d'apparaître au ras de l'eau. C'était un calmar gigantesque, dont le corps en forme d'obus ne devait guère mesurer moins de cinq mètres. Huit bras, à peu près de la même longueur que le corps et gros comme une cuisse d'homme, faisaient penser à un noeud grouillant de boas monstrueux. Deux tentacules supplémentaires rétractiles ceux-là et terminés par deux larges pales en forme de fer de lance, s'étiraient jusqu'à une longueur de dix mètres. Les yeux jaunes, brillants et fixes, avaient la largeur de tambours...
Du très bon Vernes, donnant l'inspiration...
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... Quand l'aube se leva - une aube grise et chargée de brume - les deux fuyards se rendirent compte que, devant eux, la mer était parsemée de pitons rocheux formant un véritable labyrinthe. Ces pitons, aux sommets effilés, faisaient songer à de gigantesques crocs...
Le canot s'avança lentement entre les pitons rocheux. Bientôt, ceux-ci se refermèrent sur lui. Séparés entre eux par d'étroits chenaux, ils élevaient à six ou sept mètres au-dessus des flots leurs sommets en forme de pains de sucre, auquels s'accrochaient des lambeaux de brume. Tout autour de l'embarcation, ces gigantesques "dents de dragons" formaient à présent un décor d'Apocalypses créé eût-on dit par le pinceau d'un peintre fou. Paysage hors de toute mesure où la distance et le temps eux-mêmes, ces immuables réalités, semblaient abolis. Parfois, les chenaux ne formaient plus que d'étrois boyaux et, pour y trouver passage, il fallait rentrer les avirons et s'en servir à la façon de pagaies ; d'autres fois, ils s'évasaient jusqu'à former d'étroits bassins...
... Entre le canot et un piton rocheux, un être de cauchemar venait d'apparaître au ras de l'eau. C'était un calmar gigantesque, dont le corps en forme d'obus ne devait guère mesurer moins de cinq mètres. Huit bras, à peu près de la même longueur que le corps et gros comme une cuisse d'homme, faisaient penser à un noeud grouillant de boas monstrueux. Deux tentacules supplémentaires rétractiles ceux-là et terminés par deux larges pales en forme de fer de lance, s'étiraient jusqu'à une longueur de dix mètres. Les yeux jaunes, brillants et fixes, avaient la largeur de tambours...
Du très bon Vernes, donnant l'inspiration...
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Jannick DENIS
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L'idée m'est venue de construire cette maquette très récemment lorsque ma femme ramena parmi ses courses, un lot de 3 chapeaux contenant des cure-dents...
Instantanément, je ne sais pas pourkoi, je savais que ce chapeau allait me servir à construire ce calmar. Kan j'y pense d'ailleurs, c'est bizarre.
Je possédai ce très beau petit bateau, trouvé en Bretagne il y a une dizaine d'années et qui traînait là kome un malheureux, tout poussiéreux... Bin il en a de la chance çui-là, maintenant il est figé dans l'enduit pour des siècles et des siècles... hum.
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Instantanément, je ne sais pas pourkoi, je savais que ce chapeau allait me servir à construire ce calmar. Kan j'y pense d'ailleurs, c'est bizarre.
Je possédai ce très beau petit bateau, trouvé en Bretagne il y a une dizaine d'années et qui traînait là kome un malheureux, tout poussiéreux... Bin il en a de la chance çui-là, maintenant il est figé dans l'enduit pour des siècles et des siècles... hum.
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Jannick DENIS
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Pour construire ce monstre, rien de plus simple : couper les bords du chapeau, remplir d'enduit ce petit récipient, y placer ensuite 8 tiges de fil de fer de même dimension très rigide plus 2 autres plus longues.
Laisser sécher une heure.
Ensuite, enrober le haut du chapeau de patafix ou pate à modeler ainsi que les 10 tiges de fil de fer.
Pour les deux plus grandes, les terminer en forme de pales, et laisser sécher.
Pour les personnages, j'ai utilisé Yan Solo de "Star Wars" et je lui ai coupé la tête, pour lui en mettre une autre d'une figurine insignifiante.
J'ai essayé de faire une tête chauve, mais le résultat n'était pas concluant
(car le Pr Frost est chauve), donc je lui ai mis une casquette (bof, c'est pas plus mal).
Pour Bob, je me suis servi d'une figurine qui pullule actuellement sur les brocantes, et je lui ai taillé la tête, car il avait un chapeau incorporé dans la masse. J'en ai profité pour lui tailler des artifices inutiles
Voici le résultat (photo normale et après fignolage).
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Laisser sécher une heure.
Ensuite, enrober le haut du chapeau de patafix ou pate à modeler ainsi que les 10 tiges de fil de fer.
Pour les deux plus grandes, les terminer en forme de pales, et laisser sécher.
Pour les personnages, j'ai utilisé Yan Solo de "Star Wars" et je lui ai coupé la tête, pour lui en mettre une autre d'une figurine insignifiante.
J'ai essayé de faire une tête chauve, mais le résultat n'était pas concluant
(car le Pr Frost est chauve), donc je lui ai mis une casquette (bof, c'est pas plus mal).
Pour Bob, je me suis servi d'une figurine qui pullule actuellement sur les brocantes, et je lui ai taillé la tête, car il avait un chapeau incorporé dans la masse. J'en ai profité pour lui tailler des artifices inutiles
Voici le résultat (photo normale et après fignolage).
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Jannick DENIS
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Après avoir repeint ces personnages, il ne restait plus qu'à pondre la scène.
J'aurai pu faire plus grand, avec un champ de menhir dans la mer comme le décrit H. Vernes, mais maintenant j'essaie de faire des petites maquettes, çà prend trop de place (j'ai pas un chateau). Donc je n'ai fais que 2 blocs rocheux et un petit, où l'eskif se fraye un passage...
Et les couleurs ensuite.
De A à Z, 5 à 6 heures de travail.
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J'aurai pu faire plus grand, avec un champ de menhir dans la mer comme le décrit H. Vernes, mais maintenant j'essaie de faire des petites maquettes, çà prend trop de place (j'ai pas un chateau). Donc je n'ai fais que 2 blocs rocheux et un petit, où l'eskif se fraye un passage...
Et les couleurs ensuite.
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Jannick DENIS
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Jannick DENIS
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Jannick DENIS
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Jannick DENIS
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Jannick DENIS
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Jannick DENIS
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Jannick DENIS
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Ce matin, sur une très grande brocante, j'ai trouvé plein de choses intéressantes, dont ce livre.
"Paititi dernier refuge des Incas".
Paititi est la ville dont recherche Fawcett et le grand Bob, (la cité de l'empereur des Musus).
Cette trouvaille m'a donné envie de prendre quelques clichés de cette vieille maquette "Sur la Piste de Fawcett".
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"Paititi dernier refuge des Incas".
Paititi est la ville dont recherche Fawcett et le grand Bob, (la cité de l'empereur des Musus).
Cette trouvaille m'a donné envie de prendre quelques clichés de cette vieille maquette "Sur la Piste de Fawcett".
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LAGON REQUIN
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réponse
super 
tu l'ai mes ou 
tous ça 
lagon requin
tu l'ai mes ou tous ça lagon requin
Re: réponse
Plus j'y pense, plus je me dis qu'il n'y a aucune raison pour que le carré de l'hypoténuse soit égal à la somme des carrés des deux autres côtés.
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LAGON REQUIN
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- Localisation : au soleil du sud-ouest ( Boé )
réponse pour mike
merçi 
super le mot est petit 
SUPER
lagon requin
super le mot est petit SUPERlagon requin
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Jannick DENIS
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Jannick DENIS
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J'ai retrouvé hier sur brocante le personnage de walt disney "Mulan", que voici
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Jannick DENIS
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J'ai donc transformé ce dernier en Bob lépreux que j'ai pas trop fignolé car on le voit de l'arrière. Je lui ai mis la cappe de Robin, le copain de Batman, que j'ai retaillé, car elle était trop large et trop haute.
Voici ce que celà donne.
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Voici ce que celà donne.
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Jannick DENIS
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... Et, tout à coup, la jungle s'ouvrit devant eux. A la place de la végétation exubérante, ils découvrirent, en plein soleil, un terrain chaotique, parsemé de maigres buissons surmontant de curieux monticules aux lignes vaguement géométriques...
Bob et Bill avaient vu en même temps. Un gros nuage de poussière. Encore loin dans la plaine, sur leur gauche. En même temps, le bruit sourd d'un roulement ininterrompu leur parvint. Et puis, brusquement, aussi strident et bref que le sifflet d'un train, le cri retentit, terriblement proche à présent...
... Maintenant, la terre tremblait sous les pas des deux fuyards. Devant eux, lesrails enchevêtrés grinçaient, secoués par la charge violente qui ébranlait le sol. Autour de Morane et Ballantine, la poussière noyait tout, et eux, bouche grande ouverte, happaient en grimaçant la fine poudre grise dans l'effort qu'ils faisaient pour reprendre leur souffle.
Le premier, Bob atteignit l'amas de rail, s'écarta vivement et baissa la tête en catastrophe pour éviter une pointe rouillée et effilée comme une lame d'épée. Il poursuivait sa course folle à travers le labyrinthe de rails. Il jaillit de l'autre côté de l'amas d'acier, le colosse sur ses talons. Les deux hommes, la poitrine en feu, le souffle court, les poumons envahis par l'impalpable poussière grisâtre, parcoururent encore quelques trente mètres lorsque, dans leur dos, dans un fracas de fin du monde, toute la masse de rails enchevêtrés bascula littéralement dans un choc d'une violence inouïe. En même temps, un hurlement atroce figea Bob et Bill, leur faisant littéralement dresser les cheveux sur la tête. Une meute de mille loups qui se seraient mis soudain à hurler à la mort. Et, tandis que cette clameur d'agonie paraissait devoir se poursuivre éternellement, les rails furent tout à coup agités en tous sens, dans un tintamarre de métal broyé et brisé...
... Emportée par son élan et son poids, la bête s'était empalée sur le rail appointé comme un glaive. La poutrelle d'acier avait pénétré au défaut de l'épaule, un peu au-dessus du poitrail, et ressortait par le dos, juste derrière la tête...
... Un léger vrombissement, un peu semblable au bourdonnement d'une grosse mouche se fit entendre. Il était difficile de dire d'où cela venait exactement.
- L"oiseau rouge ! s'écria Ballantine.
Il n'y avait pas à douter. Chaque fois, désormais, que Morane et Bill entendraient ce vrombissement, les bruits se mettraient à avoir une couleur. Rouge en l'occurence...
Bob et Bill avaient vu en même temps. Un gros nuage de poussière. Encore loin dans la plaine, sur leur gauche. En même temps, le bruit sourd d'un roulement ininterrompu leur parvint. Et puis, brusquement, aussi strident et bref que le sifflet d'un train, le cri retentit, terriblement proche à présent...
... Maintenant, la terre tremblait sous les pas des deux fuyards. Devant eux, lesrails enchevêtrés grinçaient, secoués par la charge violente qui ébranlait le sol. Autour de Morane et Ballantine, la poussière noyait tout, et eux, bouche grande ouverte, happaient en grimaçant la fine poudre grise dans l'effort qu'ils faisaient pour reprendre leur souffle.
Le premier, Bob atteignit l'amas de rail, s'écarta vivement et baissa la tête en catastrophe pour éviter une pointe rouillée et effilée comme une lame d'épée. Il poursuivait sa course folle à travers le labyrinthe de rails. Il jaillit de l'autre côté de l'amas d'acier, le colosse sur ses talons. Les deux hommes, la poitrine en feu, le souffle court, les poumons envahis par l'impalpable poussière grisâtre, parcoururent encore quelques trente mètres lorsque, dans leur dos, dans un fracas de fin du monde, toute la masse de rails enchevêtrés bascula littéralement dans un choc d'une violence inouïe. En même temps, un hurlement atroce figea Bob et Bill, leur faisant littéralement dresser les cheveux sur la tête. Une meute de mille loups qui se seraient mis soudain à hurler à la mort. Et, tandis que cette clameur d'agonie paraissait devoir se poursuivre éternellement, les rails furent tout à coup agités en tous sens, dans un tintamarre de métal broyé et brisé...
... Emportée par son élan et son poids, la bête s'était empalée sur le rail appointé comme un glaive. La poutrelle d'acier avait pénétré au défaut de l'épaule, un peu au-dessus du poitrail, et ressortait par le dos, juste derrière la tête...
... Un léger vrombissement, un peu semblable au bourdonnement d'une grosse mouche se fit entendre. Il était difficile de dire d'où cela venait exactement.
- L"oiseau rouge ! s'écria Ballantine.
Il n'y avait pas à douter. Chaque fois, désormais, que Morane et Bill entendraient ce vrombissement, les bruits se mettraient à avoir une couleur. Rouge en l'occurence...
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