Vraiment à faire suivre

Pour discuter de tout ce qui externe à Bob Morane. En gros, tous les hors-sujets c'est par ici.
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LAGON REQUIN
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Vraiment à faire suivre

Message par LAGON REQUIN » 12 sept. 2011 à 11:00

Vidéo suédoise : à voir absolument.....
Un scandale pour les Suédois mais pas pour nous, contribuables français .....
> En pleine réforme des retraites dont un des arguments du gouvernement est de réduire la dette , regardez ce clip , cela laisse pour le moins dubitatif ....
Un scandale pour les Suédois , mais surement méconnu par un grand nombre de citoyens français http://www.youtube.com/user/ObservatoireSubventi
>
> Faites suivre .......
Un ami fidèle est une tour forte , qui l'a trouvé a trouvé un trésor.

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cachi
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Re: Vraiment à faire suivre

Message par cachi » 12 sept. 2011 à 20:25

Faut pas tomber dans le "tous pourris" mais les députés, le bouclier de..., l'ISF revu à la baisse quand on nous affirme le contraire, les journalistes indépendants sous bonne escorte et menacés plus tous les scandales de "mémé" B dite zinzin.
On oubliera l'obsédé de la chambre 312 (spécial blague de Cachi pour pro de BOB).
Ben Marianne, tu es toujours jolie mais faudrait que tu te réveilles :mrgreen:
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cachi
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Re: Vraiment à faire suivre

Message par cachi » 13 sept. 2011 à 20:15

Pour illustrer la déconfiance et le recours à Marianne qui était si jolie. Voici la crise des ânes d'après une fable espagnole.

La crise des ânes
Un homme portant cravate se présenta un jour dans un village. Monté sur
 une caisse, il cria à qui voulait l’entendre qu’il achèterait cash 100 € 
l’unité tous les ânes qu’on lui proposerait. Les paysans le
 trouvaient bien un peu étrange mais son prix était très intéressant et ceux
 qui topaient avec lui repartaient le portefeuille rebondi, la mine 
réjouie. Il revint le lendemain et offrit cette fois 150 € par tête, et 
là encore une grande partie des habitants lui vendirent leurs bêtes. Les 
jours suivants, il offrit 300 € et ceux qui ne l’avaient pas encore fait
 vendirent les derniers ânes existants. Constatant qu’il n’en restait 
plus un seul, il fit savoir qu’il reviendrait les acheter 500 € dans 
huit jours et il quitta le village. 

Le lendemain, il confia à son associé le troupeau qu’il venait d’acheter 
et l’envoya dans ce même village avec ordre de revendre les bêtes 400 € 
l’unité. Face à la possibilité de faire un bénéfice de 100 € dès la
 semaine suivante, tous les villageois rachetèrent leur âne quatre fois
 le prix qu’ils l’avaient vendu et pour ce faire, tous empruntèrent.

 Comme il fallait s’y attendre, les deux hommes d’affaire s’en allèrent
 prendre des vacances méritées dans un paradis fiscal et tous les
 villageois se retrouvèrent avec des ânes sans valeur, endettés jusqu’au 
cou, ruinés. Les malheureux tentèrent vainement de les revendre pour rembourser leur 
emprunt. Le cours de l’âne s’effondra. Les animaux furent saisis puis 
loués à leurs précédents propriétaires par le banquier. Celui-ci
 pourtant s’en alla pleurer auprès du maire en expliquant que s’il ne
 rentrait pas dans ses fonds, il serait ruiné lui aussi et devrait exiger 
le remboursement immédiat de tous les prêts accordés à la commune. 

Pour éviter ce désastre, le Maire, au lieu de donner de l’argent aux 
habitants du village pour qu’ils paient leurs dettes, le donna au
 banquier, ami intime et premier adjoint, soit dit en passant. Or 
celui-ci, après avoir rétabli sa trésorerie, ne fit pas pour autant un
 trait sur les dettes des villageois ni sur celles de la commune et tous
 se trouvèrent proches du surendettement.

 Voyant sa note en passe d’être dégradée et pris à la gorge par les taux
 d’intérêts, la commune demanda l’aide des communes voisines, mais ces
 dernières lui répondirent qu’elles ne pouvaient en aucun cas l’aider car 
elles avaient connu les mêmes infortunes.

 Sur les conseils avisés et désintéressés du banquier, toutes décidèrent 
de réduire leurs dépenses: moins d’argent pour les écoles, pour les 
programmes sociaux, la voirie, la police municipale... On repoussa l’âge
 de départ à la retraite, on supprima des postes d’employés communaux, on
 baissa les salaires et parallèlement on augmenta les impôts. C’était,
 disait-on, inévitable mais on promit de moraliser ce scandaleux commerce 
des ânes.

 Cette bien triste histoire prend tout son sel, quand on sait que le
 banquier et les deux escrocs sont frères et vivent ensemble sur une île
 des Bermudes, achetée à la sueur de leur front. On les appelle les
 frères Marchés.

 Très généreusement, ils ont promis de subventionner la campagne 
électorale des maires sortants.

 Cette histoire n’est toutefois pas finie car on ignore ce que firent les
 villageois.
Et vous, qu’auriez-vous fait à leur place ? Que ferez-vous ?




Ecouterez-vous les populistes ou vous en prendrez-vous aux vrais fauteurs de crise: les nababs, bling-bling et leur clone de Montretout? Les espagnols nous montrent peut-être el camino...
moranien para la vida

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