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Modérateur : La Patrouille du Temps
- Jean Roger
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Connues, méconnues, célèbres ou de vous, déposez ici les petites citations et pensées qui vous ont plu !
Nous avons fait 68 pour ne pas devenir ce que
nous sommes devenus (Wolinski)
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- Jean Roger
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"il pleut toujours là où c'est mouillé"' (populaire)
"pour la première fois il se demanda : est-ce vraiment, réellement nécéssaire de me lever ce matin " ? (jr)
"le pire est tujours certain " (pop)
"et si, en fait, je m'étais toujours trompé ." ?? (jr)
"dépéchons nous de succomber à la tentation avant qu'elle ne s'éloigne"
(-épicure.... et les collectionneurs de bm!)
'le bonheur est un travail solitaire" (giono)
"pour la première fois il se demanda : est-ce vraiment, réellement nécéssaire de me lever ce matin " ? (jr)
"le pire est tujours certain " (pop)
"et si, en fait, je m'étais toujours trompé ." ?? (jr)
"dépéchons nous de succomber à la tentation avant qu'elle ne s'éloigne"
(-épicure.... et les collectionneurs de bm!)
'le bonheur est un travail solitaire" (giono)
Nous avons fait 68 pour ne pas devenir ce que
nous sommes devenus (Wolinski)
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"L'abus de zinc conduit au sommeil de plomb"
Pensée de Pierre Dac que ne peuvent comprendre les jeunes générations pour lesquelles le plastique a remplaçé le zinc
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Une que me souffle Bill:
"Le climat de leur pays a beaucoup favorisé la vocation des Britanniques pour la colonisation. " (Russel Greene)
Une dont l'auteur est tout à fait inattendu et qui pourrait parfois valoir commentaire de certains de mes écrits :
"Si quelqu'un a compris quoi que ce soit à ce que je viens de dire, c'est que je me suis mal exprimé" (Alan Greenspan)
"Le climat de leur pays a beaucoup favorisé la vocation des Britanniques pour la colonisation. " (Russel Greene)
Une dont l'auteur est tout à fait inattendu et qui pourrait parfois valoir commentaire de certains de mes écrits :
"Si quelqu'un a compris quoi que ce soit à ce que je viens de dire, c'est que je me suis mal exprimé" (Alan Greenspan)
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Une de Chateaubriand citée par un grand admirateur : Jean d'Ormesson.
"Il faut être économe de son mépris, étant donné le grand nombre de nécessiteux".
Et une autre d'un prosateur persan, Farîd al-Dîn 'Attar :
"Tout ce que tu as vu ou entendu un jour, tout ce que tu as cru savoir n'est plus cela mais autre."
"Il faut être économe de son mépris, étant donné le grand nombre de nécessiteux".
Et une autre d'un prosateur persan, Farîd al-Dîn 'Attar :
"Tout ce que tu as vu ou entendu un jour, tout ce que tu as cru savoir n'est plus cela mais autre."
«Oui, monsieur, moi, je descends du singe. Mais vous, vous y remontez !»
Alexandre DUMAS.
Mon avatar est un fragment d'un dessin de CORIA, inédit , original et personnel.
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- Jean Roger
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"Mais que devient le plat du jour la nuit ?"
Ca aurait pu être du Mike
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- Il vaut mieux mobiliser son intelligence sur des conneries plutôt que de mobiliser sa connerie sur des choses intelligentes. (? je sais plus de qui c'est, peut-être les shadocks)
- l'amour est aveugle et sa canne est rose (Gainsbourg)
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Parazythum.
Don't Bug Me !
Auteur et webmaster du Grenier de Bob Morane http://parazythum.free.fr/grenier
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- Localisation : Belgique - Brabant Wallon - Braine l'Alleud
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J'aime le travail, je passerais des heures á le regarder
Un égoïste, c'est quelqu'un qui ne pense pas à moi
Si le travail c'est la santé, donnez donc le mien à quelqu'un de malade
Quand la merde tombe du ciel, le malchanceux n'a pas de chapeau
Qui ne pète ni ne rote est voué à l'explosion
Si tu pisses contre la tempête, tu mouilles tes chaussettes
Quand on voit les dégâts que font les pigeons on remercie dieu de ne pas avoir donné d'ailes aux vaches
Sauvez un arbre, mangez un castor !
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Vous souvenez-vous de celle-ci :
"Le couard, c'est celui qui, dans une situation périlleuse, pense avec ses jambes " (Ambrose Bierce).
Imprimée en première page des Marabout Pocket.
"Le couard, c'est celui qui, dans une situation périlleuse, pense avec ses jambes " (Ambrose Bierce).
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«Oui, monsieur, moi, je descends du singe. Mais vous, vous y remontez !»
Alexandre DUMAS.
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- Jean Roger
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- Jean Roger
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un extrait de Djian un peu long mais tellement vrai et plus encore avec
dix ans de plus !
- Oh, merci mille fois, jeune homme, a-t-elle gazouillé.
Bien évidemment, tout était relatif. J'avais toutes mes dents et je portais un Levi's, mais le poids du temps m'était tout de même tombé dessus. Je commençais à perdre mon souffle, je pouvais annoncer la pluie grâce à un rhumatisme dans le genou, mes yeux se fatiguaient plus vite en lisant, deux taches de rousseur étaient apparues sur mes mains. Je récupérais plus lentement, je voulais qu'on me foute la paix, je traversais plus souvent dans les clous, certa[ns matins j'avais les yeux pochés, je ne me levais pas d'un hond, je pensais à ma vie. on entendait un craquement dans mon épaule quand je faisais un moulinet avec mon bras, je supportais de plus en plus mal le bruit. J'avais pratiquement perdu tout espoir, mon dégoût du monde l'emportait sur mon amour -du monde, parfois je restais la journée entière sans prononcer un seul mot. ma mémoire ne remontait plus très loin dans mon -enfance, je m'amusais d un rien, j'avais déjà jeté un œil sur la profonde, la délirante, l'effroyable solitude qui vous étreignait lorsque vous alliez au fond des choses, les types qui parlaient trop me faisaient chier.
Ça n'avait I air de rien, mais c'était ce genre de détails qui vous mettaient dans la peau d'un type de quarante ans, sans oublier que maintenant je fonctionnais avec ma boîte de pilules. Le drame de l'histoire, c'est que ça n'irait pas en s'arrangeant, il n'y avait pas l'ombre d'un doute, je me demandais si ça donnait réellement un coup de frein que de s'appliquer régulièrement un masque avec des rondelles de concombre, si des gens en étaient contents.
dix ans de plus !
- Oh, merci mille fois, jeune homme, a-t-elle gazouillé.
Bien évidemment, tout était relatif. J'avais toutes mes dents et je portais un Levi's, mais le poids du temps m'était tout de même tombé dessus. Je commençais à perdre mon souffle, je pouvais annoncer la pluie grâce à un rhumatisme dans le genou, mes yeux se fatiguaient plus vite en lisant, deux taches de rousseur étaient apparues sur mes mains. Je récupérais plus lentement, je voulais qu'on me foute la paix, je traversais plus souvent dans les clous, certa[ns matins j'avais les yeux pochés, je ne me levais pas d'un hond, je pensais à ma vie. on entendait un craquement dans mon épaule quand je faisais un moulinet avec mon bras, je supportais de plus en plus mal le bruit. J'avais pratiquement perdu tout espoir, mon dégoût du monde l'emportait sur mon amour -du monde, parfois je restais la journée entière sans prononcer un seul mot. ma mémoire ne remontait plus très loin dans mon -enfance, je m'amusais d un rien, j'avais déjà jeté un œil sur la profonde, la délirante, l'effroyable solitude qui vous étreignait lorsque vous alliez au fond des choses, les types qui parlaient trop me faisaient chier.
Ça n'avait I air de rien, mais c'était ce genre de détails qui vous mettaient dans la peau d'un type de quarante ans, sans oublier que maintenant je fonctionnais avec ma boîte de pilules. Le drame de l'histoire, c'est que ça n'irait pas en s'arrangeant, il n'y avait pas l'ombre d'un doute, je me demandais si ça donnait réellement un coup de frein que de s'appliquer régulièrement un masque avec des rondelles de concombre, si des gens en étaient contents.
Nous avons fait 68 pour ne pas devenir ce que
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Neige en décembre, défilé le 14 juillet
(Citation strictement française)
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- Lilou Multipass
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"Loi de finances le 31 décembre, défilé syndical le 1er mai, 10 % supplémentaire à payer dès le 2 mai " (un contribuable anonyme)
"Quand un diplomate dit oui, cela signifie peut-être. Quand il dit peut-être, cela veut dire non. Et quand il dit non, ce n'est pas un diplomate."
(H.L. Mencken)
"Le couard est celui qui pense avec ses jambes" (Ambroise Pierce)
"Les livres, c'est là où l'on range les rêves." (cela me décrit bien )
"Quand un diplomate dit oui, cela signifie peut-être. Quand il dit peut-être, cela veut dire non. Et quand il dit non, ce n'est pas un diplomate."
(H.L. Mencken)
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"Les livres, c'est là où l'on range les rêves." (cela me décrit bien )
- Lilou Multipass
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