AUTOUR D'AIGLE 2 ET 3 JUIN 2007

[Masque Jade]

Si, mais je n'ai pas encore reçu les photos de tout le monde.
J'ai celles de Dan, Caoa, Cédric et les... miennes.

[caoa54]

Mise des photos en cours, faut du temps!


Bon, histoire de se rappeler d'excellents souvenirs.
Et avant de reprendre du retard avec la prochaine AG...

version quasi descriptive sans aucune exagération genre celles de Para et bon chic bon genre pour ne choquer personne, surtout les plus musclés

Bon, pour nous, la virée a commencé vendredi soir... En fait, il était prévu que l'ami Souris 3615 (je n'en dirai pas plus, car il est actuellement à 18 cm à ma gauche!) se libère de son activité postale favorite pour l'après midi et vienne à Nancy tôt pour visiter. En fait, vu la commande de Dan et de je-ne-sais-plus-qui-et-je-ne-veux-pas-me-fâcher-avec, et surtout les délais de l'Age d'or, il n'a pu prendre le train que tard... Arrivée prévue à Nancy gare à 19h34... C'était sans compter les grèves d'une certaine catégorie du personnel de la èsènecéèffe qui l'a bloqué à Luxembourg, puis à Metz; lui il me raconte par multiples sms qu'il est attqué par les dacoïts et qu'il doit moult fois changer de trains... Tu parles d'une excuse!
Donc arrivée vers 20h30.

Présentations ma femme<-Souris->la soeur d'Emma, visite guidée de la cuisine... (merci, c’est bon, on en aura parlé) Transmission d'une estafette achetée sur Ebay en janvier et que j'ai fait envoyer chez Souris... Suis content!
Soirée quiche-lorraine-tart'au-thon-gewurstraminer... Fin de soirée avec Madame Caoa et rois verres de Jaegermeister… Emma a du mal à se coucher… Un peu de discussions plus ou moins diverses, quelques raids sur Ogame, échanges culturels de nos ruses et expériences plus ou moins cuisantes sur ce jeu et on se couche avec les poules pour être en forme le lendemain: tout le monde est au lit à 1h30! Un record ici, surtout pour moi!

Courte nuit : Levé à 4h00, - =record, surtout pour Emma...

On part vite après un sms vite fait à Dan, qui n'a pas trouvé ses lunettes car il va le lire/mélanger avec le message suivant, vers 6 heures, lui disant qu'on avait voulu voir... euh… qu'on déjeunait à Vesoul, mais ça, c'était bien plus tard.
NB: Faut dire Vzoul, d'après Dan...
Donc, on suit l'itinéraire Michelin (faites gaffe, le bibendum, je pense qu'il est plutôt très politiquement correct et qu'il vous fait passer là où c'est pas forcément mieux qu'ailleurs.... pour désengorger là où ça arrange)
Donc Epinal (zéro minutes d'arrêt pour ceux qui ont entendu parler de ma belle mère), Remiremont (brouillard), Luxeuil (brume), Vesoul (café-croissant, Souris envoie des sms, moi : deux, Emma : un), Besançon (GPL? ligne blanche francie vite fait pour repartir dans le bon sens, mais demi-tour 1km plus loin, car la E25 n'existe pas, c'est la RN57 qu'on cherche mais c'est écrit "Pontarlier" à la place sur les panneaux... ViaMichelin ,je t’aimais mais là, je te hais !
Traversée du Jura (camion-benne orange sur 12,249km, à 62,36km/heure)

Douane... =Moments d'inquiétudes...

Déjà, on a vu trois fois la douane volante... Sont-ils prévenus de notre passage???? Un Français et sa fille avec un Belge, quelques centaines d'euros de marchandising sur un héros quasi oublié, 6 sacs de bergamottes de Nancy, 25 DVD du même héros (pas l'abbé Rgamotte!)... et un réservoir de GPL (ils ont déjà voulu me le fouiller une fois, en partant à Aigle 1)... qui vont en Suisse visiter un fort...
Bref, ils ne nous voient même pas. Ils causent… Sourire d'Emma à qui j'avais mille fois demandé si elle avait bien sa carte d'identité... Faut même aller réclamer s'ils peuvent me vendre une vignette autoroute... Claude, est-ce qu'ils ne risquent pas de porter plainte contre moi pour achat forcé? Je m'inquiète... Fus-je dans mon droit en exigeant cette vignette ?
J'avais prévu de ne pas acheter la vignette et de longer le lac, de peur de chutes de neige tardives toujours possibles, mais vu l'heure, on paye et on colle: avec le contrôle technique, la vignette véhicule propre, on dirait une valise globe trotter, mon pare brise!
Quelques sourcils broussailleux plus tard (prise de photos du poste de douane), nous reprenons la route: merde, les panneaux d'autoroute suisses sont verts! Ceux des routes bleus...
Direction Lausanne, on ne voit rien de la ville, je pense qu'ils doivent la démonter quand des touristes approchent à cause de la peur de l'espionnage, on reconnaît des endroits que nous vîment il y a deux ans et un mois sous 40cm de neige (les tunnels)...
Souris envoie des sms...


On vise une aire de repos, achats de chocolats souvenir (une fois cela fait, on sera quitte d'y penser et de courir les rues d'Aigle où on ne vend que du vin et de la bière)... J'ai trouvé des belles boites en fer de chocolat pour madame caoa54...
On repart... On compte les sorties, Emma mitraille le lac avec l'appareil photo (ben on n'avait rien d'autre..)


Elle mitraille aussi, par la même occasion son père aux commandes de la machine...

Sortie Aigle, on arrive sans encombre en ville (d'être venus à Aigle 1, ça aide!): Cédric a vachement bien fait les choses pour nous : il y a une fanfare, des gardes à cheval qui nous accueillent, mais le public n'a pas trop l'air de nous applaudir...

Discrets, nous contournons cette foule sympathique et encore presque à jeun, et visons l'hôtel où nous arrivons comme prévu à 11h30 pile, soit avec l'heure de retard prévue...
Souris envoie des sms...
Retrouvailles émues sur le tarmac de l'hôtel... On n'attendait plus que nous... Mais c'est quand même nous qui venons le plus loin, ce matin (para, la ferme, toi t'es venu dès la veille et tu seras pas plus à l'heure demain matin!)
Les pizzas étant cuites ou presque nous montons nos valises aux chambres et couront chez Cédrix où Anne Christine œuvre en contrôlant ses ouailles.

Quel plaisir de retrouver tous ces amis!
Quelques choux chinois et pizzas plus tard, Dan ayant mangé sa fourchette par les dents -et Masque par le manche-, nous passons au café, qui en Suisse est composé de micro copeaux de bois (enfin, c'est ce à quoi ça ressemble le plus!).
Et zut, j’allais oublier le tiramisu maison de Serge de Jade ! miamm
Anne Christine, pour cause de chevilles, ne nous rejoindra qu'au resto du soir, et nous on embarque pour le fort de Saint Maurice...

Attente du guide sur le parking entre la route, le Rhône (brree, l'a pas l'air chaud, et de zouliees voitures de courses d'antan, qui passent en faisant vibrer Chantale (dite Danette, celle qui vous fait tous nous lever) mais que Dan fait semblant de ne pas voir, tout occupé qu'il est à raconter des histoires de...
Le guide arrive, sympa, accueillant, pédagogue, vite essoufflé qu'il fait peur.
Grimpette. Les jeunes sont presque aussi essoufflés que le guide, mais on double quand même plusisuer limaces en pleine ascension.
Entrée du fort; Souris envoie des sms...
Cédric me leste de quelques bouteilles d'eau pour que je ne m'envole pas dans les courants d'air...

On entre d'abord dans une grotte naturelle (Dan, tu expliqueras, dateras, professeurerras..)... On suit un long couloir plus ou moins bas de plafond suivant l'altitude des têtes... On laisse à droite une galerie d'où émane un bruit de chute d'eau... Chute? chuuuut!
Souris n'envoie plus de sms...
Une ou deux portes plus ou moins blindées plus tard, on arrive dans les parties creusées par la main du Suisse (ils devaient avoir de super couteaux, à l'époque, dans l'armée suisse!): on découvre tour à tour, et dans le désordre le cantonnement (un lit à trois étages de 100 et quelques places), une cuisine (toute finie... avec des grosses gamelles... Cédrix est tout content!), des cantonnements, des salles de radio, de commandement, les moteurs diesel pour faire du courant, des balais, des pelles et des balayettes, des soutes à munitions, les citernes d'eau, de gasoil et de vin blanc et quelques canons de 7,5 (en fait, ils ont copié notre 75, mais pour ne pas le dire, ils disent 7,5cm pour nos 75mm: c'est ça, le contre-espionnage discret)...

Dan et Danette avaient froid aux pieds : c’est du pur feutre suisse !

Dans une caponnière de couverture, Para se découvre et, torse nu et poilu, saisit une mitrailleuse (je sais plus le modèle) pour mimer quelques secondes (pas plus, il fatigue vite!) une scène de Rambo 18, le retour du revenant.

Danette qui doit avoir des hallucinations, croit à un moment qu’elle se fait mordre par un chien. Elle crie si fort qu’elle me fait peur ! Mais je ne lui en veut pas, elle devait être fatiguée et elle reste finalement très impressionnable, sous son couvert d’Haute Saônoise qui en a vu d’autres !
On sort 10 minutes sur l'extérieur pour découvrir les subtilités du camouflage des ouvertures (sabords et tubes de canons, meurtrières de mitrailleuses). A l'arrivée du téléphérique, c'est encore mieux, on se croirait dans un décor de parc de jeu et la station supérieure ressemble à du carton pâte couleur rocher...
Souris envoie des sms... Emma demande par sms les résultats du foot à un copain, mais on re-rentre... on verra ce soir, promis… C’est Para, super équipé chez Orange, qui s’y mettra…
Petit casse croûte avec eau à la cantine militaire, chocolat militaire… (miamm !)


Et on revient vers l'entrée à travers les couloirs puis la grotte...
Là… Incident diplomatique et quasi-scandale quand -seuls en tête et non prévenus- nous ne revenons pas directement vers l'entrée, mais nous enfilons dans le diverticule qui arrive à la cascade: nous aurions, semble-t-il abusé de la confiance de notre guide et volé le préposé de la grotte en voyant cette cascade souterraine sans acquitter l'écot réglementairement dû pour cette vue... ca a failli nous vexer et presque gâcher la fin de cette randonnée formidable... Cédrix devra négocier ferme, s’excuser... On en profite pour presque perdre Danette qui a fui la crise et est peut être retournée en arrière en ratant le couloir d’entrée... Ben non, finalement, Dan s’est inquiété pour rien, elle ne s’est pas perdue, sa Danette !
Mais enfin, on en a bien profité, on tachera de vous coller une ou deux photos mais franchement, vous auriez du venir, ça aurait quand même été plus simple!!!!

Retour vers les autos.

On est dehors, donc Souris envoie des sms...
On reprend la route vers le restaurant appelé Hôtel de ville (bizarrerie suisse ?), tenu par une Alsacienne de Mulhouse... qui devait en avoir marre de la choucroute. Avant ça, on voit que des barrières ont été prévues pour accueillir la foule de nos admirateurs, il y a même un service de garde qui nous fait garer nos autos dans un parking VIP (un pré sous la gare du petit train, je vous ai dit que les Suisses sont des adeptes du train miniature à l'échelle 1/1?)... Dan drague un groupe d'ados, semblant amoureux de ces petites Suisses, qui se révèlent n’être que des Françaises! Et qui s’étonnent que des vieux comme nous fassent plus de bruit que leur bande de jeunes !
ACC and Co nous rejoignent à table........on leur a gardé une place...
Je distribue une courte nouvelle qui a un vague rapport avec notre rencontre (lien à faire), mais c’est surtout dans ma tête que je la vois courte car je ne distribue que deux pages sur trois. Quel gros con !
Repas très sympas dans le caveau au rez de chaussée. Nos voisins sont un peu bruyants, mais avec un peu d'échauffement de nos voix, nous parvenons rapidement à rétablir l'équilibre naturel des choses et dominons bien vite l'ambiance de la salle. D’autant plus que quand ils disent haut et fort qu’ils viennent de passer dans le journal local, je lance qu’ils ne sont pas dans un journal parlé… Mais ils sont sympas et on rigole en sortant… Ils s’étonnent quand même qu’on se rassemble de si loin pour parler d’un héros de notre enfance !
Donc, on mange bien, très bien, même... On est très raisonnables sur les boissons... on l’avait promis à Cédric pour qu'il nous laisse prendre nos volants ( et nos voitures).

Retour sur Aigle: C'est pire que le 14 juillet chez nous ! Deux scènes de part et d'autre de LA rue principale… Sur la première, un excité aviné tape sur un clavier en hurlant, mais ça suffit à animer quelques couples de danseurs chargés dans la rue: je n'ai pas osé faire de photos, car ils étaient quand même plus nombreux que moi.
Je surveille en papa poule ma fifille; mais on ne l'embête pas, ils semblent assez bourrés entre eux pour rester entre eux.
Tout le long de la rue, il n'y a que tables et bancs de foire, nombreux cadavres (de bière), consignes (de vin), couples (avinés)… Il est pourtant encore tôt, même pour eux…
Souris envoie des sms...
...Epuisées et fatalistes, des serveuses de bars balayent les détritus... On attend Cédric qui est passé chez lui et nous a perdus, puis on attend Para qui cherchait Cédric. En attendant, on contemple la vespérale foule locale... Chaude !
On hésite un peu à entrer dans les bar, on en même assez envie… mais ça fait peur à notre Cédric qui doit connaître son monde. On lui fait confiance, c'est vrai qu'ils sont plus qu'un peu... alcoolisés...
Pause devant la seconde scène (un chanteur au clavier plus un chœur (sa femme))... mais pas si mal, en fait!
Bataille d’eau à la fontaine…
On retraverse la grande rue… Encore des hésitations: consommerons-nous là? Cédric est vert comme le forum... Non! C’est vraiment pas prudent !
On rentre donc sagement à l'hôtel dont le bar ferme, mais on négocie un petit coup à boire. Bières, cocas, orangina et un rivella pour Dan qui découvre l'exotisme de cette boisson à base de petit lait. Ca ne l'empêche pas de sortir deux vannes plus ou pire à chaque phrase!
Le bar ferme, on monte.
Discussion sur le palier (heureusement, Cédric ne l'a peut-être pas fait exprès mais il n'y a personne d'autre dans les chambres et c'est pas plus mal!
Danette a couché Dan en bas, nous, on cause... Ils semblent sages...
Je redistribue à ceux qui restent ma nouvelles de TROIS pages… et bien sur, je me fais chambrer !
Para charge sur son portable les résultats du foot pour Emma (Ne lui en parlez pas, il en est encore vert pomme (alors qu’il bosse chez Orange): 12mn par page... quand ça ne plante pas!). Souris envoie des sms...
Para arrive enfin à lire les résultats du foot et on commente…
Cela dure une ou deux heures mais le taux de calembours+vannes/minutes est proche du record du monde toutes catégories.
On évoque ainsi par exemple, le ramassage de ballons de foot au râteau pour que les footballeurs ne se battent pas... ou le skieur qui chausse ses baguettes de pain... Franchement, je ne sais plus comment on en arriva là… Mais hors contexte, cette poésie créatrice ne peut vous atteindre et vous n'aviez qu'à venir si vous vouliez profiter de ces fous rires! Nous dûment arrêter pour ne pas risquer la crise cardiaque de Cédric, tellement explosé de rire hocquetants qu'il ne reconnaît plus le bas du haut et ne trouve plus son air entre deux quintes... Il se roulait par terre en se roulant, accroché des deux mains au pouf sur lequel il avait commencé à s’asseoir…
Pour encourager Emma à rejoindre sa couche, mais aussi pour tenter de rattraper la nuit précédente (je ne parlerai pas des nuits de cette année en général..), je fais l'effort surhumain de me coucher tôt (il est dans les 2h00…) et abandonne lâchement ce pauvre Para qui part se saouler seul... ou plutôt avec le premier ivrogne venu…
Je lis deux chapitre du dernier Bob. Je ne comprend pas tout l’accident du camion, faudra que je relise ça un jour plus clair...
4h00 Discussion entre flics dans la rue, diesels des 2 voitures au ralentis… Je n’ose pas les flasher de ma chambre : le flic suisse est paraît-il susceptible…. Peut-être cherchent-ils Para ?

Courte nuit.

Matin du dimanche
Pas de neige dans les rues. Il y a même un mini mini coin de ciel bleu !
Masque a lu ma nouvelle : il n’aime pas la fin, faudra que je complète pour lui coller les points sur les i.
Il a bien fallu se lever pour le petit déj à 9h00. Emma, c’est étonnant, émerge comme une fleur. Cédrix est déjà là, qui cause avec Masque (ils m’ont servi de réveil matin). Souris envoie des sms... Para dort encore, malgré quelques coups de poings virils dans sa porte. Ca ne doit pas être à lui que Souris envoie ses sms...
Super petit dej. La madame qui est venue exprès pour nous (normalement, c’est fermé le dimanche) s'étonnera peut-être quand même de notre appétit... Croissants, pain, confiture, beurre, ET CAFE… il ne lui reste plus grand chose quand nous avons empli nos vastes panses !
Dan va tirer Para du lit. Je ne sais pas comment il fait mais il y arrive…
Trafic de dvd…
Passage dans une supérette, le temps que Para trouve son rasoir et que la madame de l’hôtel lui trouve quelques restes
Promenade… Chantal (=Danette, c’est pas Chantal Goya !) veut y acheter un petit truc pour Anne Christine qui nous mobilise son intérieur avec tant de gentillesse… Emma, la p‘tite fillotte, en profite pour tomber amoureuse d’une fleur de tournesol presque aussi grande qu’elle, mais je n’ai déjà plus de francs suisses. Souris me sauve et Emma est heureuse ! Merci Souris ! Retour vers l’hôtel : Para est prêt ! tout beau out neuf… C’est -quand il veut- un para bel homme ! OK, je sors… Non, je finis, ce coup-ci…

Départ en promenade… Cédrix nous laisse pour aller s’activer dans sa cuisine… car on lui devra notre repas… Alain sort son GPS et on remonte la vallée (pas infernale) en amont de la ville : passage touristique obligé devant le château d’Aigle en travaux, puis remontée entre les vignes, puis à travers la forêt.
On retrouve avec plaisir une borne d’incendie dite du bagnard, qu’on avait vue à Aigle 1. Et il faut là vous compter l’histoire des bornes d’incendie suisses…
Lors d’Aigle 1, Cédrix nous avait expliqué, vu notre étonnement, que les plus canaillous des petits Suisses avaient pris l’habitude de peindre les bornes d’incendie en personnages divers et variés : on avait alors vu un pompier, un policier et d’autres personnages rigolos, dont un bagnard… Cette habitude, d’après lui, avait fini par être tolérée, faute de repeindre régulièrement les dites bornes polychromées nocturnement… Finalement, depuis, les autorités suisses locales, dont l’humour doit être en fait à l’échelle de l’épaisseur du papier d’alu sur une plaque de chocolat face au barrage de la Manicouagan, ces autorités autoritaires ont du payer des dizzaïnneurs pour créer de nouvelles et sans aucune doute coûteuses bornes qui ne peuvent plus être prises, même de loin, pour des bonhommes… Et exit nos anciens bonhommes peinturlurés qu’on avait adorés ! Je conseillerais quand même aux petits Suisses de penser à des extra terrestres qui seraient une source de créativité très ouverte pour ces nouvelles formes un peu psychédéliques… Donc, on était heureux de retrouver notre bagnard.
Coup d’œil latéral gauche sur un aventure-parc accro branches, sur lequel Danette jette quelques regards dédaigneux… Trop facile ! Ouaih, bon… sans doute pas pour tout le monde, hein ! Dan, lui, a des regards moins dédaigneux su certaines passantes qui passaient et qui n’en reviennent pas…
Découverte le long du chemin, de quelques totems surmontés d’aigles de bois… Le chemin tourne, franchit un petit pont -que Souris détériore en s’appuyant sur le garde corps- et redescente vers Aigle par la rive droite (et vers l’aval, je sais, Dan !).
Premières maison, et d’une usine de champignons, qui a du inspiré notre Cédrix à qui j’ai d’ailleurs oublié de demander… Danette sent les fleurs des jardins… Un Suisse local lui indique qu ce ne sont pas les meilleures et elle doit aller mettre son nez plus loin dans son jardin.. Moi, je prends des photos, et il paraît que je traîne… Mais quand même, suis-je obligé de me justifier, si on veut des souvenirs, faut les prendre ! Et de toute façon, on est vachement dans les temps pour que Cédrix ait le temps de terminer ses préparations culinaires…
Le long de la balade, quelques séquences d’arrosage… et de mise en boite maison… On découvre aussi une bouche d’incendie spéciale pour nous : dédiée à l’Ombre jaune (photos plus tard)
Passage près des gares des petits trains… photos…
Savez-vous que les Suisses jouent au train miniature à l’échelle 1/1 ? N’empêche, ça, c’est du service public ! Quand je pense à nos petits chemins de fer départementaux, les tacots, qu’on a démontés pour le modernisme de la mode rentable !
Arrivée chez Cédrix et Anne Christine.
Il paraît que les voisins ne seront pas gênés : un sourd en dessous, un escroc de la santé qui ne travaille pas le dimanche. Tant mieux !
Cédrix nous a préparé des bonnes choses (avec des champignons, on se demande pourquoi !).
Séance de « combat de regards » entre Para qui se fait toujours remarquer et Emma qui gagne haut la main, malgré la flagrante mauvaise fois de Para qui dit avoir fait preuve de galanterie. Mon œil !
Bref, comme tout ce bref weekend, le repas passe à une vitesse supersonique…
On ose à peine regarder l’heure… mais il faut se résoudre à prendre la route… Il parait qu’on a des obligations… Souris ayant un éventuel train à 18h40 et quelques à Nancy, on vise l’autoroute efficace plein nord (avec petit détour côté Est) au lieu prendre l’itinéraire michelin via le Dan-and-Danette’s land… Bien nous en a pris, ça ira quand même vachement plus vite (presque deux heures de moins !) mais on verra vite qu’il manquera 15 à 20 minutes pour prendre le train à Nancy… Souris envoie des sms à sa chef… C’est bon, il couchera chez nous où madame Caoa, de toute façon, l’attend avec des gâteaux !
On se confie nos soucis non-moraniens… Putin de vie, quand même…

Emma n’en peut plus… On ne l’entend plus…
On veille encore un peu avec Souris pour voir si le Jaegermeister a bien le même goût que vendredi soir… La vrave liqueur a surtout un goût d’amertume… Aigle 2 est passé si vite ! Les copains sont déjà si loin…

Petit passage cote à cote sur Ogame : on ne s’est pas fait raider !
Courte nuit.
Je conduis notre triste Souris à la gare… Je pense qu’il est dans le train.

Dur retour à la réalité du collège… et du chef… Je rêve de dacoïts qui débarqueraient à la récré pour le….

[Parazythum]

Bon, après cette photo très impressionnante, qui va encore vouloir m'agresser ici ? Hein ? Hein ?!

Merci à Caoa pour les lunettes, tu t'es surpassé mon vieux ! (tu aurais pu quand même gommer un peu le bronzage "camionneur" mais bon, ça fait encore plus viril

Que ceux qui ont des photos non encore envoyées les envoient à Serge, j'aimerais bien les voir toutes moi aussi

[SUN]

C'est une grosse mitrailleuse ou c'est toi qui est tout petit

[CEDRIC CHOLLET]

Mitailleuse portatitve de forteresse

un homme pour la mun
un homme pour la plaque et le pied
Un homme pour la bette

et sa pèse un poid de chien ( plus de 40 kilogrammes sans la mun )


Ceci dit on les déplace le moin possible


Cédric