On voit mal en effet un produit fabriqué à quelques centaines d'exemplaires être disponibles chez tous les détaillants !
Plus prosaïquement, la question revient sans doute à tenter de déterminer quelle somme les collectionneurs sont-ils prêts à investir dans la satisfaction de leur passion, et jusqu'à quel point certains d'entre eux accepteront de ne pas posséder dans leur bibliothèque tel ou tel titre qu'ils n'auront pu se procurer, sans pour autant renoncer complètement à leur activité.
Avec pour conséquence, tel le serpent qui se mord la queue..., une diminution des acheteurs, une diminution du nombre de livres édités, une augmentation des coûts.......j'arrête là...
