la phrase à rallonge
Modérateurs : claude, Dom the Cyber Bear
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- Oui, Bill ! Je crois qu'il en ont à Bangkok du ZAT 77, mais cessons de plaisanter. Piège ou pas ! La seule façon d'en être certain, c'est d'y aller et puis, je ne peux laisser Tania nous lancer un appel sans y répondre d'une façon ou d'une autre.
Il faudrait que nous y soyons déjà, Bill !
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«Oui, monsieur, moi, je descends du singe. Mais vous, vous y remontez !»
Alexandre DUMAS.
Mon avatar est un fragment d'un dessin de CORIA, inédit , original et personnel.
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- Oui, Bill ! Pour une fois, ce sera nous qui allons faire appel à la Patrouille du Temps, Elle nous doit bien ça ! Tu sais, qu'en tant qu'Agent Extrordinaire nous sommes constamment surveillé, je vais actionner le signal de détresse de mon Locator et normalement, ils devraient rappliquer.
«Oui, monsieur, moi, je descends du singe. Mais vous, vous y remontez !»
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- Jean Roger
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A peine ces mots furent-ils prononcés qu'une stridulation se fit entendre. Déjà à leurs pieds se présentaient 2 ceintures qui, nos 2 amis le savaient, étaient équipées de tous les gadgets pour un voyage dans le temps ou dans l'espace. La Patrouille du Temps avait considérablement amélioré les voyages, car la ceinture créait autour de son porteur une aura électromagnéticoquelque chose comme le disait si bien Bill , ce qui évitait toute décapitation ou tout découpage dans le sens de la longueur ou de la largeur.
Outre la ceinture, trônaient devant les chaussures de Bill 6 flasques métalliques, qui se mariaient idéalement aux 6 poches du parka du grand Ecossais et qui eurent le don d'éclairer le large visage du patriote des Monts Grampians.
- Chouette, s'écria le géant .
- Je peux dire, sans me tromper mon vieux Bill, que nous voici parés, s'exclama Bob en ceignant le viatique envoyé par le colonel Graigh.
Outre la ceinture, trônaient devant les chaussures de Bill 6 flasques métalliques, qui se mariaient idéalement aux 6 poches du parka du grand Ecossais et qui eurent le don d'éclairer le large visage du patriote des Monts Grampians.
- Chouette, s'écria le géant .
- Je peux dire, sans me tromper mon vieux Bill, que nous voici parés, s'exclama Bob en ceignant le viatique envoyé par le colonel Graigh.
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En moins de temps qu'il ne faut pour le dire -normal avec la Patrouille du Temps, le temps ne comptait plus- nos deux amis se retrouvaient dans l'un des patrouilleurs. Malgré l'inquiétude qui les rongeait, ils retrouvaient avec joie le colonel Graig. Au moins, maintenant, même si celui-ci n'intervenait jamais, ou presque, ils se sentaient moins seuls pour affronter l'inconnu et le danger que leur réservait le... futur.
Passé, présent, futur... qu'est-ce que cela veut dire pour Bob et Bill, surtout quand La Patrouille est de la partie...
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«Oui, monsieur, moi, je descends du singe. Mais vous, vous y remontez !»
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- Bon, mon cher Bill, je crois qu'il faut qu'on réfléchisse sérieusement à un plan, à une stratégie adaptée à ce qu'on sait, c'est à dire: rien... Et pourtant, Tania, je le sens a quelque part besoin de nous! Et je crois que notre planète a aussi besoin d'un coup de main...
- Votre côté Don Quichotte qui vous démange, hein, commandant!? Et comme d'habitude, à moi de jouer les Sancho Pansa...
- Bienvenue à bord, dit alors le colonel en leur serrant la main.
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- Bienvenue à bord, dit alors le colonel en leur serrant la main.
Dernière édition par caoa54 le 07 déc. 2004 à 16:52, édité 3 fois.
Moi, pour ce que j'en dis... ©
- Jean Roger
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"Colonel",commença Bob, "vous devez savoir que M Ming a inventé un
système à première vue imparable pour anéantir toute civilisation afin
de mieux recréer celle qui lui convient ; mais comme souvent par le
passé,il a tenu à me faire part de son plan démoniaque par fax ; mais
là j'avoue voir difficilement la parade "!
"bof", fit Bill, "jusqu'ici a-t-on jamais échoué en contrecarrant les
plans de ce gros plein de soupe d'ombre jaune de mes fesses " ?!
système à première vue imparable pour anéantir toute civilisation afin
de mieux recréer celle qui lui convient ; mais comme souvent par le
passé,il a tenu à me faire part de son plan démoniaque par fax ; mais
là j'avoue voir difficilement la parade "!
"bof", fit Bill, "jusqu'ici a-t-on jamais échoué en contrecarrant les
plans de ce gros plein de soupe d'ombre jaune de mes fesses " ?!
Nous avons fait 68 pour ne pas devenir ce que
nous sommes devenus (Wolinski)
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- Robin-des-Bois
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- Z'êtes sûr que c'est de ça qu'il s'agit, commandant ? De tout temps, y a eu des hommes qui ont voulu dominer le monde que ce soit par la religion ou par les armes et z'ont pas réussi ! Alors Ombre Jaune ou pas il réussira pas mieux. Non, j'crois que c'est plus sérieux que ça. Vous parliez tout à l'heure de réduire à néant toute civilisation : c'est pas pareil !
J'pense qu'il vaut mieux attendre de voir Tania. Elle nous en dira plus... Si... On retrouve cette "perle du fleuve" ???
J'pense qu'il vaut mieux attendre de voir Tania. Elle nous en dira plus... Si... On retrouve cette "perle du fleuve" ???
«Oui, monsieur, moi, je descends du singe. Mais vous, vous y remontez !»
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Réduire à néant toute civilisation, Bill, mais afin de mieux recréer celle qui lui convient ...
Et quel meilleur moyen que de jouer sur lec croyances du peuple pour cela ... Mais tu as raison, tout ceci n'est que supputation, filons rejoindre Tania ... Pour peu qu'il ne s'agisse pas d'un piège, évidemment ... Mais pour le savoir, une seule solution : y aller ...
Et quel meilleur moyen que de jouer sur lec croyances du peuple pour cela ... Mais tu as raison, tout ceci n'est que supputation, filons rejoindre Tania ... Pour peu qu'il ne s'agisse pas d'un piège, évidemment ... Mais pour le savoir, une seule solution : y aller ...
- Euh, si je puis le permettre, dit alors le colonel, je ne voudrais pas avoir l'air de jouer le modérateur, l'aministrateur de vos débats ou quoi que ce soit dans le genre, mais comme vous m'avez appelé, je vous le demande maintenant, vous voyant causer semble-t-il pour ne rien dire :
Que voulez-vous faire maintenant? Vous avez besoin de moi, ou pas? Parce que ça peut continuer comme ça longtemps...
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- Oui! c'est lui! murmura Morane d'une voix blanche mais ferme. Pas besoin de le chercher, ni de réfléchir à ce qu'on peut faire! Comme toujours, c'est lui qui a la main et qui décide de comment les choses doivent se passer.
- Et comme d'hab', on va l'empècher de jouer sa pièce, hein, commandant! Allez, approche gros lard, on t'attend!
- Si je puis me permettre, le vaisseau inconnu a terminé son approche: il est stationné à la limite de notre champs de force!
- Et comme d'hab', on va l'empècher de jouer sa pièce, hein, commandant! Allez, approche gros lard, on t'attend!
- Si je puis me permettre, le vaisseau inconnu a terminé son approche: il est stationné à la limite de notre champs de force!
Dernière édition par caoa54 le 08 déc. 2004 à 16:57, édité 1 fois.
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- Je préfèrerais quand même connaitre ses intentions, déclara Bob. D'autant plus qu'on ne connait tous les gadgets de cet engin... et qu'on ne sait pas de quoi il est capable... Ming ne se serait pas approché d'une machine de la patrouille du temps sans être sur de lui!
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C'est alors qu'une voix, que Bob, Bill et le colonel Graigh reconnaîtraient entre mille, s'élève dans le poste de pilotage et que sur l'écran du spaciophone apparaît le visage de Ming.
- Messieurs, je veux vous rencontrer. Je n'ai aucune intention belliqueuse. Je demande au colonel Graigh la permission de venir à votre bord. Je serai sans arme et mon vaisseau va s'éloigner dès que vous m'aurez accueilli.
- Messieurs, je veux vous rencontrer. Je n'ai aucune intention belliqueuse. Je demande au colonel Graigh la permission de venir à votre bord. Je serai sans arme et mon vaisseau va s'éloigner dès que vous m'aurez accueilli.
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- Je ne pense pas que ce soit un piège ; Ming n'a pas besoin de cela ! Il doit y avoir autre chose.
- Je suis d'accord avec vous commandant Morane. Nous ne courrons aucun risque. Notre système de défense et de protection est en place. laissons-le venir assure le colonel Graigh.
- Je suis d'accord avec vous commandant Morane. Nous ne courrons aucun risque. Notre système de défense et de protection est en place. laissons-le venir assure le colonel Graigh.
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- Il faut parfois faire confiance au diable, Bill, répond Morane.
Une nouvelle fois, la voix de Ming se fait entendre. Apparemment, il a dû suivre cet échange de paroles car, avec son petit rire satanique, il ajoute.
- N'ayez aucune crainte. Je viens en paix et il n'y a aucun piège. La seule chose que j'exige c'est la parole du commandant Morane, comme quoi je pourrais quitter votre vaisseau librement et je sais que, quand le commandant Morane donne sa parole...
Une nouvelle fois, la voix de Ming se fait entendre. Apparemment, il a dû suivre cet échange de paroles car, avec son petit rire satanique, il ajoute.
- N'ayez aucune crainte. Je viens en paix et il n'y a aucun piège. La seule chose que j'exige c'est la parole du commandant Morane, comme quoi je pourrais quitter votre vaisseau librement et je sais que, quand le commandant Morane donne sa parole...
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- Et la mienne, Ming, elle ne vaut rien ? s'exclama Bill en bougonnant. Puis se radoucissant.
Bon OK Ming, vous avez encore réussi à m'énerver; j'ai failli marcher, mais je sais me contrôler. Vous savez de toute façon que vous aurez également ma parole si le commandant vous la donne. Nous sommes de trop vieux adversaires pour ne pas nous connaître par coeur.
Bon OK Ming, vous avez encore réussi à m'énerver; j'ai failli marcher, mais je sais me contrôler. Vous savez de toute façon que vous aurez également ma parole si le commandant vous la donne. Nous sommes de trop vieux adversaires pour ne pas nous connaître par coeur.
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Bob se tourne vers le colonel Graigh. Il sait que son accord est nécessaire, que sans lui, rien ne se fera : il est le seul maître à bord de ce vaisseau. Sur l'écran géant, imperturbable, visage n'exprimant aucun sentiment, Ming attend.
- Je suis d'accord, mais attention, Ming, toutes nos armes sont pointées sur vous. A la moindre manoeuvre qui semblerait suspecte, nous tirerons. Nous ne pouvons nous permettre de prendre le moindre risque.
- Mais, qu'a-t-il de si important à nous dire qu'il ne puisse le faire par radio, demande Bill, toujours un tantinet soupçonneux mais avec son apropos habituel ?
- Je n'en sais rien, mon vieux ! Je n'en sais rien ! Je suppose, pour vous colonel et pour toi Bill, que c'est OK pour donner notre parole ?
Les deux hommes font signes que oui.
- Okay, Ming vous avez notre parole, vous pourrez repartir libre du vaisseau de la patrouille du temps !
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HORS TEXTE : un peu long, je sais mais il faut parfois installer le décor et la situation. A vous, maintenant !
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- Je suis d'accord, mais attention, Ming, toutes nos armes sont pointées sur vous. A la moindre manoeuvre qui semblerait suspecte, nous tirerons. Nous ne pouvons nous permettre de prendre le moindre risque.
- Mais, qu'a-t-il de si important à nous dire qu'il ne puisse le faire par radio, demande Bill, toujours un tantinet soupçonneux mais avec son apropos habituel ?
- Je n'en sais rien, mon vieux ! Je n'en sais rien ! Je suppose, pour vous colonel et pour toi Bill, que c'est OK pour donner notre parole ?
Les deux hommes font signes que oui.
- Okay, Ming vous avez notre parole, vous pourrez repartir libre du vaisseau de la patrouille du temps !
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HORS TEXTE : un peu long, je sais mais il faut parfois installer le décor et la situation. A vous, maintenant !
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La réponse de Ming fut instantanée... car dans la seconde même, après un éclat de lumière aveuglante, Ming était là, au centre de la salle de commandement du vaisseau.
Chers amis, je vous salue, dit-il alors simplement, avec un large sourire, comme si c'était la plus naturelle des visites amicales.
Chers amis, je vous salue, dit-il alors simplement, avec un large sourire, comme si c'était la plus naturelle des visites amicales.
Dernière édition par caoa54 le 09 déc. 2004 à 16:03, édité 1 fois.
Moi, pour ce que j'en dis... ©
-Ce cachottier de Monsieur Ming qui vient nous rendre une petite visite de politesse . La dernière fois, Ombre de mon coeur que vous êtes paru aussi aimable devant nous, c'était juste après nous avoir fait participer à l'élimination du dictateur nord-coréen. Quel mauvais vent solaire vous amène jusqu'à nous, cette fois-ci ? s'impatienta le géant écossais .
- MB 152
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Que voulez-vous, M. Ballantine, parfois il faut savoir s'allier pour vaincre un ennemi commun. En effet, j'ai rencontré un adversaire qu'il m'a été impossible de vaincre, ou même de dominer.
Je suis convaincu que pour une fois, nous devons travailler ensemble, vous, commandant Morane, votre organisation Col. Graigh, et moi-même...
Cette tirade fut accueillie par un silence de mort
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