la phrase à rallonge
Modérateurs : claude, Dom the Cyber Bear
- Jean Roger
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la phrase à rallonge
une proposition de jeu qui s'apparente à l'écriture à plusieurs sauf que
là c'est juste un délire qui n'a ni prétention littéraire ni même forcément
de sens !
je lance une phrase, vous faites répondre sans citer, et vous écrivez
une suite,comme vous le sentez, avec UNE SEULE PHRASE de la longueur qui vous amuse, SANS AJOUTER AUCUN COMMENTAIRE, juste une suite!
(pas de phrases de 15 lignes quand même, c'est pas du proust)
vous pouvez jouer autant que vous voulez A LA SEULE CONDITION
qu'il y ait eu au moins un autre joueur depuis votre derniere participation;
autrement dit défense de répondre deux phrases de suite !
on verra où ça nous menera au bout d'un moment !
je démarre donc par...le début sur le post suivant - bon amusement!
là c'est juste un délire qui n'a ni prétention littéraire ni même forcément
de sens !
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une suite,comme vous le sentez, avec UNE SEULE PHRASE de la longueur qui vous amuse, SANS AJOUTER AUCUN COMMENTAIRE, juste une suite!
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- Jean Roger
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Bien sûr, Bill, bien sûr....répondit Bob pensivement , mais toute machine a des failles..fut-ce t'elle imaginée par l'Ombre Jaune...
J'ai vu tant de choses que vous ne pourriez pas croire. De grands navires en feu surgissant de l'épaule d'Orion. Des rayons fabuleux briller dans ... Tous ces moments se perdront dans l'oubli comme les larmes dans la pluie. Il est temps de mourir."
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Bob se pencha pour saisir la feuille roulée qui avait glissé sur le sol..
"Voilà Bill...Bill...tu m'écoutes...Bill...."
Seul le silence parvint à l'oreille de Morane..
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Seul le silence parvint à l'oreille de Morane..
J'ai vu tant de choses que vous ne pourriez pas croire. De grands navires en feu surgissant de l'épaule d'Orion. Des rayons fabuleux briller dans ... Tous ces moments se perdront dans l'oubli comme les larmes dans la pluie. Il est temps de mourir."
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" à part un besoin soudain de Zat, ce n'est pas dans ses habitudes de me
laisser en plan au milieu d'une conversation" , se dit Bob en passant sa
main,en peigne,dans ses cheveux, signe chez lui d'une préoccupation ;
"pourtant,il y a urgence ;Bill, allo,réponds nom d'un chien" !
laisser en plan au milieu d'une conversation" , se dit Bob en passant sa
main,en peigne,dans ses cheveux, signe chez lui d'une préoccupation ;
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Troublé et indécis, il relut une fois encore le bout de papier.
- Bangkok, december 4, 2004,
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A cet instant, ce dont Bob ne pouvait se douter, c'est que ce n'était pas Bill qui avait coupé ou qui était dans l'impossibilité de lui parler mais que cet "incident" de ligne venait de se produire très exactement dans le sous-sol de son immeuble là où se trouvait le boitier de raccordement au réseau de la ligne téléphonique de l'immeuble .
«Oui, monsieur, moi, je descends du singe. Mais vous, vous y remontez !»
Alexandre DUMAS.
Mon avatar est un fragment d'un dessin de CORIA, inédit , original et personnel.
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" Les dacoïts, il fallait si attendre. On parle de Ming et ils rappliquent" pense Bob.
Vite prévenir Bill, mon portable. Tout en cherchant son mini appareil, il regarda, avec une pointe d'angoisse au coeur, la signature figurant sur le message : Tania !
Vite prévenir Bill, mon portable. Tout en cherchant son mini appareil, il regarda, avec une pointe d'angoisse au coeur, la signature figurant sur le message : Tania !
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A peine eut-il esquissé son geste que l'obscurité se fit dans la pièce.
Bob senti ses muscles se raidir, l'adrénaline s'empara de son corps. Il était prêt à tout, même au pire.
Bob senti ses muscles se raidir, l'adrénaline s'empara de son corps. Il était prêt à tout, même au pire.
Dernière édition par Foxtrot's Goldwing le 06 déc. 2004 à 9:56, édité 1 fois.
J'ai vu tant de choses que vous ne pourriez pas croire. De grands navires en feu surgissant de l'épaule d'Orion. Des rayons fabuleux briller dans ... Tous ces moments se perdront dans l'oubli comme les larmes dans la pluie. Il est temps de mourir."
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C'est à ce moment que Bob eut un soulagement, de savoir que Madame Durant, sa fidèle concierge avait dû partir voir ce lointain parent à ... Bangkok ... Non, se dit-il, ce ne peut-être une coïncidence ... Bob avait beau chercher, il ne voyait pas où Ming voulait en venir ... Mais avant de réfléchir à la question, il allait, une fois de plus, devoir défendre sa vie ...
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Bob tente désespérément de joindre Bill sur son portable. Celui-ci ne répond pas : il a encore dû l'égarer. Bon sang, et ces pas dans l'escalier...
L'obscurité règne partout. heureusement, un peu de clarté venant de la rue, pénêtre par la fenêtre et donne un très faible éclairage dans son salon. De plus, sa nyctalopie dans ces cas là vient à son secours. Il peut ainsi se diriger vers l'armoire où se trouvent ses armes.
Dans sa tête, les mots écrits dans le message, le hantent :
"Bob au secours, mon oncle est devenu fou, il vient d'essayer de me tuer. Je me cache sur "La perle du fleuve". Venez vite !"
L'obscurité règne partout. heureusement, un peu de clarté venant de la rue, pénêtre par la fenêtre et donne un très faible éclairage dans son salon. De plus, sa nyctalopie dans ces cas là vient à son secours. Il peut ainsi se diriger vers l'armoire où se trouvent ses armes.
Dans sa tête, les mots écrits dans le message, le hantent :
"Bob au secours, mon oncle est devenu fou, il vient d'essayer de me tuer. Je me cache sur "La perle du fleuve". Venez vite !"
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Des coups sourds ébranlaient déjà la porte pallière.
"Peuvent toujours de démonter les épaules les dacoïts, ma porte est blindée. Mais je leur réserve une surprise"
Après s'être armé d'un gros colt 45 Bob se dirgea vers la fenêtre qu'il ouvrit. L'enjamber ne lui demanda que quelques secondes. Attraper le rebords du toît et s'y retrouver allongé après un rétablissement lui demanda à peine plus
"Peuvent toujours de démonter les épaules les dacoïts, ma porte est blindée. Mais je leur réserve une surprise"
Après s'être armé d'un gros colt 45 Bob se dirgea vers la fenêtre qu'il ouvrit. L'enjamber ne lui demanda que quelques secondes. Attraper le rebords du toît et s'y retrouver allongé après un rétablissement lui demanda à peine plus
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... de temps et d'éfforts. En rampant silencieusement , il progressa de manière à se retrouver tout à côté du vasistas qui se trouve tout en haut de l'escalier, juste au-dessus de son palier. Avançant la tête et les épaules, il les vit, juste en dessous de lui.
Trois êtres maigres, vêtus de costumes élimés et qui tenaient chacun un long poignard. Ils les connaissaient que trop bien pour les avoir longtemps combattus.
Il se doutait qu'il devait y en avoir d'autres plus bas dans l'escalier.
"Si Madame Durant avait été ici, ils n'auraient pu entrer dans l'immeuble, mais elle est à bangkok ... tout comme Tania. Etrange... "
Trois êtres maigres, vêtus de costumes élimés et qui tenaient chacun un long poignard. Ils les connaissaient que trop bien pour les avoir longtemps combattus.
Il se doutait qu'il devait y en avoir d'autres plus bas dans l'escalier.
"Si Madame Durant avait été ici, ils n'auraient pu entrer dans l'immeuble, mais elle est à bangkok ... tout comme Tania. Etrange... "
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- Robin-des-Bois
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Silencieusement il se mit à ramper le long du toit. Il devait s'y prendre avec précaution car les ardoises avaient été rendues glissantes par une petite pluie fine qui avait tombée une partie de la journée. Il arriva sans encombre au niveau d'une des tabatières qui donnaient sur l'immense grenier. Fermée, bien sûr constata Bob. D'un coup de talon sec et précis il brisa le verre. Puis il ouvrit le chassis pour se laisser tomber souplement dans le grenier
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Bob n'entendant plus rien, il se dirigea vers la porte, l'ouvrit précautionneusement afin de vérifier les raisons de ce brusque silence ... Ils vit monter les Dacoïts, il lui fallait agir vite. Heureusement, la malle était bien présente là où il pensait la trouver, mais comment la déplacer, seul ? Cette malle, remplie de vieux livres, devait bien peser 200 kilos. A ce moment, Bob passa sa main dans ses cheveux taillés en brosse, signe de perplexité et se dit "Ah, si Bill était là" ...
"Mon GSM" pensa Bob. Effectivement le mobile de Bob était dans sa poche. Dans les contorsions que Bob avait faites pour atteindre le grenier, la touche de rappel avait du être actionnée par hasard.
- "Salut mon vieux Bill..."
- "Ca va commandant ? C'que vous fichez ?"
- "Le temps se gâte Bill et il va y avoir de l'orage, Ming est revenu"
Morane ne pu en dire d'avantage. La porte du grenier vola en éclat et des formes humaines se découpèrent dans le contre-jour formé par l'éclairage de l'escalier
- "Salut mon vieux Bill..."
- "Ca va commandant ? C'que vous fichez ?"
- "Le temps se gâte Bill et il va y avoir de l'orage, Ming est revenu"
Morane ne pu en dire d'avantage. La porte du grenier vola en éclat et des formes humaines se découpèrent dans le contre-jour formé par l'éclairage de l'escalier
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Les silhouettes menaçantes se glissèrent dans le réduit. Les muscles tendus Bob se prépara à l’assaut.
Un cri lugubre, reconnaissable entre tous, déchira la nuit. Curieusement, cette longue plainte paraissait lointaine. On aurait dit un appel plutôt qu’un ordre.
Toutes les silhouettes se figèrent puis sans bruit se fondirent dans la nuit. L’instant d’après il ne restait plus que Bob, seul, planté au milieu du grenier.
La lumière se fit plus franche. Le courant avait été rétabli.
Bob s’interrogea sur le pourquoi des événements. Visiblement ce n’est pas à sa vie qu’on en voulait aujourd’hui. On avait voulu l’éloigner.
Il dévala la volée d’escaliers et se précipita dans son bureau. Là, son attention fut immédiatement attirée par un feuillet blanc cloué au dossier d ‘un fauteuil.
Bob l’arracha d’un coup sec sans se soucier du poignard encore planté dans le cuir brun.
« N’y allez pas, Bob,......je vous en supplie….., c’est un piège…
Signé...Tania.. »
« Commandant….vous allez me répondre ?… »
Un cri lugubre, reconnaissable entre tous, déchira la nuit. Curieusement, cette longue plainte paraissait lointaine. On aurait dit un appel plutôt qu’un ordre.
Toutes les silhouettes se figèrent puis sans bruit se fondirent dans la nuit. L’instant d’après il ne restait plus que Bob, seul, planté au milieu du grenier.
La lumière se fit plus franche. Le courant avait été rétabli.
Bob s’interrogea sur le pourquoi des événements. Visiblement ce n’est pas à sa vie qu’on en voulait aujourd’hui. On avait voulu l’éloigner.
Il dévala la volée d’escaliers et se précipita dans son bureau. Là, son attention fut immédiatement attirée par un feuillet blanc cloué au dossier d ‘un fauteuil.
Bob l’arracha d’un coup sec sans se soucier du poignard encore planté dans le cuir brun.
« N’y allez pas, Bob,......je vous en supplie….., c’est un piège…
Signé...Tania.. »
« Commandant….vous allez me répondre ?… »
Dernière édition par Foxtrot's Goldwing le 05 déc. 2004 à 11:27, édité 3 fois.
J'ai vu tant de choses que vous ne pourriez pas croire. De grands navires en feu surgissant de l'épaule d'Orion. Des rayons fabuleux briller dans ... Tous ces moments se perdront dans l'oubli comme les larmes dans la pluie. Il est temps de mourir."
- Jean Roger
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- Localisation : sud ouest france
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"Qu'est-ce que c'est que cette embrouille" pense Morane.
"Un coup Tania appelle à l'aide et juste après, apparemment, elle me fait prévenir que c'est un piège... Et, madame Durant qui est aussi à Bangkok. J'y comprends rien, moi... Va falloir qu'on y aille. Bon, mettons nous d'accord avec Bill !"
"Un coup Tania appelle à l'aide et juste après, apparemment, elle me fait prévenir que c'est un piège... Et, madame Durant qui est aussi à Bangkok. J'y comprends rien, moi... Va falloir qu'on y aille. Bon, mettons nous d'accord avec Bill !"
«Oui, monsieur, moi, je descends du singe. Mais vous, vous y remontez !»
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- Mon cher Bill, comme si l'idée d'un piège nous avait une seule fois effrayé au point de nous défiler!
(parenthèse) Euh, Foxtrot's Goldwing, tu arriveras à suivre avec ton (génial) récapitulatif?
je triche pas, moi! (mais c'est vrai que des fois on ne peut pas bien dire son idée en une seule phrase...J.R. a écrit :(parenthèse : ça triche !! j'avais dit UNE SEULE PHRASE bande de boulimiques!)
(parenthèse) Euh, Foxtrot's Goldwing, tu arriveras à suivre avec ton (génial) récapitulatif?
Moi, pour ce que j'en dis... ©
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" - Vous savez Commandant, moi c'que j'en dis...j'suis toujours partant quand il s'agit de l'Ombre Jaune"
" - ...et de Zat 77, Bill, ...pas oublier le zat 77..."
(parenthèse pour Caoa54) : Je viens de téléphoner au boulot..j'ai pris un an de pose carrière. ..De tte façon à mon âge ça fait un petit temps qu'ils voudraient que je lève la pantoufle...j'coûte trop cher... Pourtant 50 ans ça va encore, non..Faut dire qu'avec tous les départs déjà enregistrés j'suis devenu le plus vieux du bureau...c'est dire....C'est comme ça dans les banques..j'vais leur envoyer Bill. J'lui dirai pour le motiver que je travaille dans une distillerie
" - ...et de Zat 77, Bill, ...pas oublier le zat 77..."
(parenthèse pour Caoa54) : Je viens de téléphoner au boulot..j'ai pris un an de pose carrière. ..De tte façon à mon âge ça fait un petit temps qu'ils voudraient que je lève la pantoufle...j'coûte trop cher... Pourtant 50 ans ça va encore, non..Faut dire qu'avec tous les départs déjà enregistrés j'suis devenu le plus vieux du bureau...c'est dire....C'est comme ça dans les banques..j'vais leur envoyer Bill. J'lui dirai pour le motiver que je travaille dans une distillerie
J'ai vu tant de choses que vous ne pourriez pas croire. De grands navires en feu surgissant de l'épaule d'Orion. Des rayons fabuleux briller dans ... Tous ces moments se perdront dans l'oubli comme les larmes dans la pluie. Il est temps de mourir."
A cette évocation, la sainte face de Bill s'illumina et il ne put s'empêcher, malgré les heures tragiques qu'il s'apprêtait à vivre, de faire passer sur ses lèvres soudainement asséchées sa langue déjà aussi peu humide qu'un morceau d'étoupe abandonné sur la planète Mars depuis 2 milliards d'années .