Les livres auraient forcément été nettement moins bien avec un nom Belge ou Français.
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Masque Jade a écrit :Ce doit être super vachement bien avec un nom d'auteur "d'américain"...
Les livres auraient forcément été nettement moins bien avec un nom Belge ou Français.
Page 332 (années 70), Roger Moore aborde un sujet qui est encore aujourd'hui sous les feux de l'actualité:Si je n'ai rien de sympathique à raconter sur quelqu'un, je préfère m'abstenir-sauf si mon éditeur insiste lourdement
Un livre qui se lit avec plaisir, un ouvrage consacré à:Les revenus étaient taxés à 87%. Et l'impôt sur le capital était encore plus lourd... Je sais ce qu'on peut penser de moi quand j'écris que je ne voulais pas payer autant d'impôts, mais les sources de revenus peuvent se tarir du jour au lendemain quand on exerce le métier de comédien.... Dans un premier temps, je fis comprendre à mes comptables que je ne bougerais pas. J'aimais mon pays, ma maison et ma famille... Mes conseillers finirent par me convaincre que je travaillerais pour presque rien si je ne m'exilais point. D'autres acteurs étaient d'ailleurs déjà passés à l'acte...
un homme sophistiqué, modeste, doué, modeste, débonnaire, modeste et charmant-au sujet duquel il y a tant à raconter...
Ne pas confondre cause et effet. J'ai lu plusieurs livres écrits par des soldats de forces spéciales (SAS, SEal's...) et j'ai dans mes relations quelqu'un qui en fait partie, et ce ne sont pas des malades, comme tu le sous-entend. Dans les Seal's, le niveau moyen d'éducation est souvent universitaire, et ceux qui ont résisté au long programme de sélection et entraînement sont sains d'esprit.cachi a écrit :Ombre Jaune avait écrit:
"Pour terminer sur une note plus humoristique (humour noir, bien sûr) : Une équipe de psychologues de l'armée américaine voulait s'enquérir des effets collatéraux éventuellement subis par les snipers qui étaient amenés à ôter plusieurs fois par jour la vie à l'un ou l'autre des "Vou allah le snack barrr" rencontrés en Irak, ou Afghanistan.
La question était : "Ne ressentez-vous rien, lorsque vous tuez un ennemi à l'aide de votre fusil ?"
Une réponse fût : "Si, un léger recul". (recoil, le recul provoqué sur l'arme, lors de la mise à feu de la munition lors de son tir)"
Je le prévenai alors que les tireurs d'élite et soldats d'élite des Navy Seal avaient de gros problème psycho. Le "roi" d'entre eux Chris Kyle (255 morts revendiqués de 1999 à 2009 (en Irak principalement) vient d'être abattu sur un champ de tir récréatif par un de ses anciens collègues, Eddy Ray Routh, victime du PTSD contacté en Afghanistan.
Que cela fasse réféchir, la guerre est une affaire trop sérieuse pour être laissée à des "malades" pareils.
Amen
Masque Jade a écrit : A ce propos, j'ai lu certaines des aventures de Laurent Saint-Pierre que nous devons à notre ami Gilles Devindilis et bien ces histoires contiennent aussi ces "ingrédients" qui, pour moi, m'ont rappelé les bonnes heures de la saga moranienne.