Après un long silence, il sort comme toujours une oeuvre aux dessins remarquables, en noir et blanc, et où la couleur n'apporterait rien de plus, tant le trait se suffit à lui-même.
Dans cette histoire, il mêle : réalité tragique, fantastique, poésie, tendresse qui amène à une réflexion sur l'absurdité de certaine situation.
Bon, vous avez compris : j'adore COMES depuis ses premières BD et celle-ci ne m'a pas déçue.
Voici, une annonce de sa parution dans un quotidien.
