Ils signalent en n° 2043 (inédit 200) les mystères au lieu des secrets de l' OJ...
Sont toujours très forts chez Ananké
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C'est ça SUN ?
Modérateur : La Patrouille du Temps
C'est bien çaSerge a écrit :C'est une coquille de plus chez Ananké...
Ils signalent en n° 2043 (inédit 200) les mystères au lieu des secrets de l' OJ...
Sont toujours très forts chez Ananké![]()
C'est ça SUN ?
t'as vu il y a même l'enveloppe à bulles de l'oj compris dans l'envoiTwinCobra a écrit :Quelque que soit son numéro ça ne traine pas![]()
http://cgi.ebay.fr/NOUVEAU-LA-RESURRECT ... dZViewItem
Je m'y perds un peu.Louis Parent a écrit : - HC1 "Les cavaliers de l'apocalypse" (Inédit 199):
- HC2 "Un collier pas comme les autres" (réédition de 167quad) :
- HC3 "L'Œil d'émeraude" (réédition de 21 bis) :
- HC4 "Retour au Crétacé" (réédition de 165 bis) :
- HC5 "L’Ombre Jaune" (réédition de 35) :
- HC6 "La dernière rosace" (réédition de 164 bis) :
- HC7 "La résurrection de l’Ombre Jaune" (Inédit 192bis ?) :
-HC8 "La mort de l'épée" (réédition de 167bis)
-HC9 "La jeunesse de l'OJ" (réédition de 167ter, 168bis et 169bis)
ben y a rien comme les autres HC !!!TwinCobra a écrit :Le n° d'ISBN est au dos dans un petit cartouche avec un code barre
Si tu googles "hors commerce", tu trouveras (en cherchant au milieu des références aux "Editions Hors-Commerce" - si, si ça existe -) pas mal de références à des éditions hors commerce de livre par des éditeurs tout à fait sérieux, pour des livres, des disques, etc.claude a écrit :Le hors commerce, cela peut être un fanzine né d'un tirage d'un éditeur très particulier.
Mais normalement un éditeur inscrit comme commerçant ne peut éditer ce type d'ouvrages.
C'est effectivement la réglementation française, mais s'applique-t-elle aux éditeurs étrangers ? Je serais tenté de dire que la législation belge s'appliquera en l'occurrence. Quelle est-elle ?claude a écrit :Le procédé est plaisant pour permettre des éditions; mais il reste que le dépôt légal est obligatoire afin de permettre au Parquet et au Ministère de l'intérieur d'opérer un contrôle et afin de conserver une trace pour les générations futures. Et là l'éditeur joue avec le feu.
Si la déclaration ne suffit pas, elle est indispensable à l'obtention d'un ISBN. Et l'ISBN a de GROS avantages pour une publication, au niveau postal.Prenons notre fanzine Reflets: il est déclaré. Ce n'est pas un hasard.
J'ai bien dit : "Il faudrait un juriste spécialisé pour indiquer exactement les limites de ce type d'édition mais elle ne paraît absolument pas impossible."Je ne veux pas préciser trop de points juridiques sur ces éditions particulières, sauf si on me les demande
J'ai des doutes sur leur utilité en la matière. A priori aucun de ces Droits n'oblige un éditeur à chercher l'édition la meilleure marché, à faire un tirage minimum, ni à passer obligatoirement par le circuit des librairies.mais il faut savoir que le Droit de la presse n'est pas le seul qui s'applique : le Droit de la consommation et le Droit de la concurrence apportent leurs régulations.
Sauf que par définition, un produit "hors commerce" n'a pas de "lieux habituels de vente"...claude a écrit :La réglementation communautaire prévoit la libre circulation des produits. Dès lors qu'un produit fait l'objet d'une vente en dehors d'un cercle privé, les circuits limités sont interdits d'une part au nom du droit des consommateurs à pouvoir se procurer le produit dans les lieux habituels de vente d'un tel produit et d'autre part au nom des commerçants qui doivent être traités à égalité.
Certes , sauf que si je me souviens bien, ce texte vise plutôt à encadrer les ventes genre "Carreflerc" qui à une époque passaient des pubs annonçant "Téléviseur Micro$oft à repasser à 0.99€ - Il y en a 100 pas un de plus", comptant que les personnes qui arriveraient "après" les 100 achèteraient rien que pour ne pas avoir fait le déplacement pour rien.De plus le fait de faire savoir que l'on met en vente un stock limité de produits est considéré par la loi française et la loi belge comme un procédé d'appel destiné à attirer des clients qui , faute de pouvoir acheter ce qu'ils auraient voulu acheter, sont susceptibles de se rabattre sur un autre produit vendu par le même vendeur. Ce procédé d'appel est interdit d'une part par le Code de la consommation (français et belge) qui cherche à protéger le consommateur contre des achats inutiles (même si l'achat opéré est moins coûteux que l'achat envisagé: le texte ne distingue pas) et d'autre part par le Droit de la concurrence qui estime que ce procédé est déloyal à l'égard des autres commerçants.