Bonjour à tous,
Je viens aujourd’hui de recevoir le N° 101 de notre revue « Reflets » préféré.
Félicitations toujours renouvelées à monsieur René Fontaine pour son super travail ainsi qu’à son équipe !
Comme à chaque parution, je garde cette lecture pour la soirée, au coin du feu et avec un petit verre de Zat 77.
Mais cette fois-ci, à la lecture de la page N°2, j’en ai renversé mon verre de Zat 77, ce qui, me direz-vous, est un réel sacrilège !
Dans le petit mot rituel d’Henri Vernes, mes yeux s’arrêtent un instant sur les «
mauvaises nouvelles », et là horreur et putréfaction ! Ma moquette engloutie goulument le reste de mon précieux breuvage.
Que vois-je donc ?
Le «
maître » juge et condamne la toute dernière nouvelle «
Le diable d’Angoulême », commercialisée par l’âge d’or, texte à l’authenticité douteuse (apocryphe).
De plus il précise que cette réalisation et édition a été faite sans son accord et sans qu’il en fut prévenu.
Enfin, il achève cette «
mauvaise nouvelle » en indiquant que cet ouvrage a été édité en dehors de tout droit et que ce n’est ni plus ni moins qu’un plagiat.
Je ne m’attarderai pas sur, je cite, «
le petit opuscule vendu à un prix prohibitif », car malheureusement, ayant été dans un passé proche un acheteur de quelques « HC Bob Morane », non écrit par monsieur Henri Vernes et vendus à un prix «
prohibitif » également, je le comprends fortement !
Cependant, nous aurait-on donc menti ?
Comment une telle nouvelle peut-être réalisée, imprimée, éditée et commercialisée sans l’accord du créateur même des personnages contenus dans ce texte ?
Par quel stratagème et dans quel but, un fan de la première heure d’Henri Vernes et de Bob Morane se serait permis une telle dérive ?
Tout ceci, en final, ne serait-ce pas qu’une question bassement financière (et de droit) entre les différents protagonistes ? Non… je ne peux le croire !
Naïvement, je pensai au départ que ce texte n’était, somme toute, qu’un hommage reconnu, de la part de l'auteur, au travail du créateur initial…
Mais mon âme d’enfant a du sûrement s’égarer un instant !
Quelque chose ne tourne plus bien rond, monsieur Vernes, dans le monde de Bob Morane et ceci n’est pas forcement bon signe !!!
