Archibald Baywatter (origine du choix de son prénom) ?
Modérateur : La Patrouille du Temps
Archibald Baywatter (origine du choix de son prénom) ?
Quelle peut être la source d'inspiration du prénom du commissionner Baywatter? Archibald.
Et une petite élucubration.Une!
Archi , étymologiquement, vient de arkhê = principe.
Le préfixe archi donne le sens de premier, de chef, de maître...
Quant à Balde, il y eut un Jacob Balde (1604- ) qui a écrit un ouvrage qui peut se traduire par The battle of the Frogs and the Mice.
http://www.newadvent.org/cathen/02218a.htm
Frog, ce n'est pas loin de fog, le brouillard londonien où enquête ce vieil Archie.
A la fin de l'enquête, un policier tend une souricière pour arrêter les bandits.
Et qu'attrape-t-on dans une souricière? Des souris ! Qui se disent en anglais mice.
HV aime les jeux de mots, y compris en anglais. Et en passant de l'anglais au français.
D'où le sens général de maître qui combat brouillard et rats d'hôtel.
Le chef de la Police combattant dans le brouillard les bandits en leur tendant des souricières ne pouvait que se prénommer Archibald.
CQFD.
NB Je crois que je vais pouvoir aller en week-end après celle-là!
2 gentilles personnes en blouse blanche me proposent de monter dans leur voiture.
Archi , étymologiquement, vient de arkhê = principe.
Le préfixe archi donne le sens de premier, de chef, de maître...
Quant à Balde, il y eut un Jacob Balde (1604- ) qui a écrit un ouvrage qui peut se traduire par The battle of the Frogs and the Mice.
http://www.newadvent.org/cathen/02218a.htm
Frog, ce n'est pas loin de fog, le brouillard londonien où enquête ce vieil Archie.
A la fin de l'enquête, un policier tend une souricière pour arrêter les bandits.
Et qu'attrape-t-on dans une souricière? Des souris ! Qui se disent en anglais mice.
HV aime les jeux de mots, y compris en anglais. Et en passant de l'anglais au français.
D'où le sens général de maître qui combat brouillard et rats d'hôtel.
Le chef de la Police combattant dans le brouillard les bandits en leur tendant des souricières ne pouvait que se prénommer Archibald.
CQFD.
NB Je crois que je vais pouvoir aller en week-end après celle-là!
2 gentilles personnes en blouse blanche me proposent de monter dans leur voiture.
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Kijang
Tiens, voilà Claude qui arrive...
Aaaaaahhh... il a une camisole, comme moi quand je suis arrivé ici...
Tu vas voir, Claude, c'est bien ici, on nous laisse lire des Bob Morane tranquilles...
(Mais bravo quand même pour le délire philologico-étymologique, j'aime bien !!!!)
Aaaaaahhh... il a une camisole, comme moi quand je suis arrivé ici...
Tu vas voir, Claude, c'est bien ici, on nous laisse lire des Bob Morane tranquilles...
(Mais bravo quand même pour le délire philologico-étymologique, j'aime bien !!!!)
Malgré sa lourdeur physique apparente, Bill Ballantine était l'homme des décisions promptes.
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Moranoloco
- Messages : 555
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- Localisation : Auprès de Sophia!
Cela remonte à pas mal d'années déjà.
En Angleterre, sir Baywatter (père du futur commissionner Baywatter) avait une passion: le golf.
Il lui arrivait souvent au cours de ces Week-End de jouer ainsi avec ses amis.
Sir Baywatter était vraiment imbattable. A tel point qu'aucun de ses amis ne parvint bientôt plus à le battre.
Sir Baywatter s'ennuyait. Plus personne ne voulait se risquer à jouer avec lui car ces personnes-là savaient, par avance, que la seule issue possible pour eux, était la défaite.
Ce jour-là, il faisait très beau sur le terrain, un beau soleil, un beau soleil qui allait bientôt donner naissance au fils de sir Baywatter. Muni de son club de golf, sir Baywatter s'apprêtait à jouer lorsque un personnage s'approcha du couple formé par sir Baywatter et sa femme dont on pouvait craindre à tout moment de voir son ventre explosé sous l'effet d'une poussée intérieure. Mrs Baywatter était enceinte et elle venait souvent voir son mari jouer à son sport favori.
Le personnage qui s'avançait vers eux était grand, costaud avec une chevelure de feu dont le visage rougeaud était souligné par une épaisse moustache couleur de feu également.
L'individu se présenta et leur fit comprendre qu'une personne venue d'au-delà de l'Atlantique voulait faire connaissance avec le valeureux sir Baywatter dont la renommée dans le domaine du golf n'était plus à faire.
Sir Baywatter accepta et bientôt, après que le colosse fut reparti, un homme s'avança à travers la pelouse luxuriante. Un homme comme beaucoup d'autres et qui se présenta comme étant Français. Une seule chose le distinguait de ses semblables, ses yeux gris.
Sir Baywatter proposa à l'homme de jouer mais celui-ci refusa, préférant regarder l'Anglais s'exprimer dans son art et pour apprécier toutes les finesses du style.
Le premier coup de club fut le bon, la balle de golf fila droit au trou et sy engouffra.
"Eh bien ! Quel coup ! Cet homme est diablement bon !" pensa le Français.
Le deuxième trou fut exécuté de la même façon.
" Vraiment très bon !" se prit à penser le Français.
Le troisième coup fut du tonnerre:
" Démoniaque ! Ce n'est plus très bon, c'est archi bon ! " murmura le Français comme pour lui-même.
Celui-ci observait la technique de l'Anglais et une curieuse combinaison de mots se cala dans son esprit comme pour mieux calquer les mouvements du golfeur fantastique.
Tout d'abord, le golfeur levait son club;
puis, il frappait la balle;
ensuite, la balle comme animée d'une vie propre volait en l'air pour retomber et rouler vers sa detination:
et enfin, la balle atteignait le trou qui l'engloutissait.
A chacune de ces quatre phases, le Français associait un mot formant ainsi une phrase vraisemblablement absurde mais qu'une force invisible semblait lui dicter. C'était cette phrase-là et pas une autre.
"Archi........balle......de..........golf !"
Ainsi au huitième trou, l'Anglais entendit, à chacun de ses gestes, le Français scander: "Archi....balle......de....golf !". Le trou fut atteint. L'anglais se tourna alors vers celui qui était un peu son hôte et sourit. Comprenait-il le sens de cette phrase absurde prononcé en français? Peu probable.
Au neuvième trou, l'Anglais leva son club. ("Archi", fit l'hôte).
Frappa la balle ("Balle", fit le Français en même temps). La balle décola du sol accompagné par un "de" prononcé par le Français. Ce dernier ne put finir sa phrase car un hurlement de douleur le fit se retourner. La première chose qu'il vit, fut Mrs Baywatter affalée sur l'herbe poussant des gémissements de douleur. Sir Baywatter se précipita, déjà d'autres golfeurs se précipitait auprès de la femme qui allait bientôt accoucher.
Lorsque le bébé naquit, dans la maison du propriétaire du golf accolée au vaste terrain de jeux, la question se posa de savoir quel nom donnerait-on au bébé. Sir Baywatter et sa femme se regardèrent, ils avaient pensé à tout sauf à ça. La chose pourtant la plus élémentaire. Un peu honteux, l'Anglais se retourna à demi pour réfléchir. Son regard plongea alors sur l'étendue du golf livrée à lui grâce à la grande véranda vitrée. Inconsciemment, il chercha le neuvième trou et le trouva. A côté, une petite sphère blanche semblait monter la garde. Des mots s'imposèrent à son esprit tandis qu'il se revoyait faire les gestes qui avaient amenés la balle près du trou: "Archi.....balle.....de....." et voyant que la balle n'avait pas atteint le trou, il éluda "golf".
Alors, pris soudain d'une incroyable révélation, il se tourna complètement vers sa femme et dit, souriant, fier de son idée: "Archibald".
Sir Baywatter ne revit jamais le Français, celui-ci ne lui avait pas dit son nom. Curieusement, il avait disparu aussitôt après que sa femme fut prise de douleurs.
Archibald devint plus tard commissionner de Scotland Yard, allant traquer les truands jusqu'au fond des trous sombres et obscures pour mieux les exposer par la suite à la lumière de la vindicte des hommes.
Wolf.
En Angleterre, sir Baywatter (père du futur commissionner Baywatter) avait une passion: le golf.
Il lui arrivait souvent au cours de ces Week-End de jouer ainsi avec ses amis.
Sir Baywatter était vraiment imbattable. A tel point qu'aucun de ses amis ne parvint bientôt plus à le battre.
Sir Baywatter s'ennuyait. Plus personne ne voulait se risquer à jouer avec lui car ces personnes-là savaient, par avance, que la seule issue possible pour eux, était la défaite.
Ce jour-là, il faisait très beau sur le terrain, un beau soleil, un beau soleil qui allait bientôt donner naissance au fils de sir Baywatter. Muni de son club de golf, sir Baywatter s'apprêtait à jouer lorsque un personnage s'approcha du couple formé par sir Baywatter et sa femme dont on pouvait craindre à tout moment de voir son ventre explosé sous l'effet d'une poussée intérieure. Mrs Baywatter était enceinte et elle venait souvent voir son mari jouer à son sport favori.
Le personnage qui s'avançait vers eux était grand, costaud avec une chevelure de feu dont le visage rougeaud était souligné par une épaisse moustache couleur de feu également.
L'individu se présenta et leur fit comprendre qu'une personne venue d'au-delà de l'Atlantique voulait faire connaissance avec le valeureux sir Baywatter dont la renommée dans le domaine du golf n'était plus à faire.
Sir Baywatter accepta et bientôt, après que le colosse fut reparti, un homme s'avança à travers la pelouse luxuriante. Un homme comme beaucoup d'autres et qui se présenta comme étant Français. Une seule chose le distinguait de ses semblables, ses yeux gris.
Sir Baywatter proposa à l'homme de jouer mais celui-ci refusa, préférant regarder l'Anglais s'exprimer dans son art et pour apprécier toutes les finesses du style.
Le premier coup de club fut le bon, la balle de golf fila droit au trou et sy engouffra.
"Eh bien ! Quel coup ! Cet homme est diablement bon !" pensa le Français.
Le deuxième trou fut exécuté de la même façon.
" Vraiment très bon !" se prit à penser le Français.
Le troisième coup fut du tonnerre:
" Démoniaque ! Ce n'est plus très bon, c'est archi bon ! " murmura le Français comme pour lui-même.
Celui-ci observait la technique de l'Anglais et une curieuse combinaison de mots se cala dans son esprit comme pour mieux calquer les mouvements du golfeur fantastique.
Tout d'abord, le golfeur levait son club;
puis, il frappait la balle;
ensuite, la balle comme animée d'une vie propre volait en l'air pour retomber et rouler vers sa detination:
et enfin, la balle atteignait le trou qui l'engloutissait.
A chacune de ces quatre phases, le Français associait un mot formant ainsi une phrase vraisemblablement absurde mais qu'une force invisible semblait lui dicter. C'était cette phrase-là et pas une autre.
"Archi........balle......de..........golf !"
Ainsi au huitième trou, l'Anglais entendit, à chacun de ses gestes, le Français scander: "Archi....balle......de....golf !". Le trou fut atteint. L'anglais se tourna alors vers celui qui était un peu son hôte et sourit. Comprenait-il le sens de cette phrase absurde prononcé en français? Peu probable.
Au neuvième trou, l'Anglais leva son club. ("Archi", fit l'hôte).
Frappa la balle ("Balle", fit le Français en même temps). La balle décola du sol accompagné par un "de" prononcé par le Français. Ce dernier ne put finir sa phrase car un hurlement de douleur le fit se retourner. La première chose qu'il vit, fut Mrs Baywatter affalée sur l'herbe poussant des gémissements de douleur. Sir Baywatter se précipita, déjà d'autres golfeurs se précipitait auprès de la femme qui allait bientôt accoucher.
Lorsque le bébé naquit, dans la maison du propriétaire du golf accolée au vaste terrain de jeux, la question se posa de savoir quel nom donnerait-on au bébé. Sir Baywatter et sa femme se regardèrent, ils avaient pensé à tout sauf à ça. La chose pourtant la plus élémentaire. Un peu honteux, l'Anglais se retourna à demi pour réfléchir. Son regard plongea alors sur l'étendue du golf livrée à lui grâce à la grande véranda vitrée. Inconsciemment, il chercha le neuvième trou et le trouva. A côté, une petite sphère blanche semblait monter la garde. Des mots s'imposèrent à son esprit tandis qu'il se revoyait faire les gestes qui avaient amenés la balle près du trou: "Archi.....balle.....de....." et voyant que la balle n'avait pas atteint le trou, il éluda "golf".
Alors, pris soudain d'une incroyable révélation, il se tourna complètement vers sa femme et dit, souriant, fier de son idée: "Archibald".
Sir Baywatter ne revit jamais le Français, celui-ci ne lui avait pas dit son nom. Curieusement, il avait disparu aussitôt après que sa femme fut prise de douleurs.
Archibald devint plus tard commissionner de Scotland Yard, allant traquer les truands jusqu'au fond des trous sombres et obscures pour mieux les exposer par la suite à la lumière de la vindicte des hommes.
Wolf.
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Attila08
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Point n'est besoin d'en rajouter 
Bravo Wolf "Bin ! Où je passe, y faut encor' tondre la pelouse sinon elle repousse quand même !!!!"
Attila08
Ceci est un jeu rigolo !!!
Attila08
Ceci est un jeu rigolo !!!