J'ai adoré Poucette. Un superbe félin ami des hommes et de l'humanisme.
Bob manque de mourir comme à Pompéi. Assez poignant lorsque l'on songe qu'il aurait pu disparaître dès la 4e aventure narrée.
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http://www.geocities.com/TelevisionCity ... n/004.html
La griffe de feu (commentaires)
Modérateur : La Patrouille du Temps
Moi je me demande, chimiquement,
- s'il y a réeellement des cas de lacs semblables qui existent (ça ne m'étonnerait qu'à moitié, il y a bien un ou deux lacs naturels d'acide sulfurique!)
- la réaction chimique créée à l'ozone (si je ne me trompe pas?) pour éviter l'apocalypse...
- si c'est si facile que ça de créer de l'ozone en grande quantité?
Mes études de chimie furent presque brillantes, mais restent aujourd'hui surtout lointaines...
- s'il y a réeellement des cas de lacs semblables qui existent (ça ne m'étonnerait qu'à moitié, il y a bien un ou deux lacs naturels d'acide sulfurique!)
- la réaction chimique créée à l'ozone (si je ne me trompe pas?) pour éviter l'apocalypse...
- si c'est si facile que ça de créer de l'ozone en grande quantité?
Mes études de chimie furent presque brillantes, mais restent aujourd'hui surtout lointaines...
Moi, pour ce que j'en dis... ©
L'intérêt de ces aventures "exotiques", qui l'étaient d'autant plus dans les années 50, est la finesse de la description des milieux géographiques et culturels. J'habitais Abidjan à l'époque et les Blancs vivaient avec les Noirs la plupart du temps.
Or je m'y retrouvais vraiment et d'avoir voyagé à l'intérieur des plusieurs pays d'Afrique, je vérifiais les informations lues dans les aventures de BM ; ça a contribué à me les faire aimer.
Dans ce roman, "La Griffe de Feu", la finesse d'analyse est particulièrement aboutie. Les rapports entre les uns et les autres correspondent à ceux des habitants réels, les ambiances sont celles qu'on rencontrait sous les Tropiques.
Or je m'y retrouvais vraiment et d'avoir voyagé à l'intérieur des plusieurs pays d'Afrique, je vérifiais les informations lues dans les aventures de BM ; ça a contribué à me les faire aimer.
Dans ce roman, "La Griffe de Feu", la finesse d'analyse est particulièrement aboutie. Les rapports entre les uns et les autres correspondent à ceux des habitants réels, les ambiances sont celles qu'on rencontrait sous les Tropiques.
Malgré sa lourdeur physique apparente, Bill Ballantine était l'homme des décisions promptes.