Les secrets de l'Ombre Jaune, commentaires
Modérateur : La Patrouille du Temps
Les secrets de l'Ombre Jaune, commentaires
D'abord, le prologue et ses références (cinéma et roman) m'ont bien plu; c'est une belle pirouette pour rebondir sur la situation en suspens depuis le roman précédent...
Pour le roman lui-même, je suis en train de le lire, mais j'attends vos commentaires pour les comparer avec mes propres impressions quand j'aurai terminé ce petit pavé...
Alors, qui a lu?
Pour le roman lui-même, je suis en train de le lire, mais j'attends vos commentaires pour les comparer avec mes propres impressions quand j'aurai terminé ce petit pavé...
Alors, qui a lu?
Moi, pour ce que j'en dis... ©
- Jean Roger
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BOF !
Comme je l'ai déjà dit dans un autre topic, sous un bel emballage et malgré des idées très bonnes, j'ai vite été déçu par le manque de cohérence dans les péripéties de l'histoire. Trop d'erreurs ont gaché mon plaisir !
Quant au prologue, que celui qui a compris sa raison d'etre dans ce roman, m'explique, car pour ma part je n'ai pas compris.
Comme je l'ai déjà dit dans un autre topic, sous un bel emballage et malgré des idées très bonnes, j'ai vite été déçu par le manque de cohérence dans les péripéties de l'histoire. Trop d'erreurs ont gaché mon plaisir !
Quant au prologue, que celui qui a compris sa raison d'etre dans ce roman, m'explique, car pour ma part je n'ai pas compris.
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Je l ai trouvé pas si mal que ça, ce bouquin. Le début est marrant mais qu est ce que c est que cette tumeur extraterrestre ? et a la fin, il me semble que l auteur s embrouille avec les noms des monasteres tibétains ou fait disparaitre une voiture lors de la poursuite a New York. Mais sinon globalement c est pas si mal
Je n'ai pas lu vos commentaires, mais je viens juste de terminer le livre.
Ben, d'abord, je trouve l'histoire assez bien, avec un peu de suspense, quelques rebondissements... J'ai passe un bon moment a le lire...
Ce qui me manque, c'est une impression de profondeur, de richesse des descriptions, des raisonnements, des justifications.
Il y a aussi quelques incoherences, comme le vol en delta plane, dont je prefere rire, mais qui me laissent sur ma faim.
Je ne parle pas de l'orthographe, c'est un sujet qui me fache vraiment de plus en plus! Comment monsieur Ananke peut-il oser editer ce genre de chose? Du temps de monsieur Marabout, il n'y avait pas d'ordi, mais la, il y a quqnd meme du scandale dans l'air!
Bon... OK... j'en ai parle...
petites remarques au long du texte...
- je fus amuse par l'expression "foutue carte" p158
- les deux hommes de la p167 deviennent trois p168
- repetition de 'pas assez vite' p 168...
- quatre voitures qui deviennent deux p174
Pour l'aventure de l'Icarion et son message ecologiste, Verne s'inspire de plusieurs projets actuels reels...
Vive cet esprit ecologiste!
Le JSF X32 est le dernier avion furtif multifonction des USA. Plus furtif que performant, comme tous les furtifs.
http://cargolade.free.fr/x32.htm
X-32B
Constructeur : Boeing (USA)
Motorisation: 2 Pratt & Withney de 222kN avec postcombustion
Longueur: 13,71 mètres
Envergure: 11 mètres
Masse à vide: 10,2 tonnes
Masse maximale au décollage: 23,0 tonnes (19,5 tonnes en furtif)
Vitesse maximale: Mach1,6
Rayon d' action maximal: 1100 à 1400 kilomètres Alors, d'ou il pouvait venir cet avion de l'OJ? 1400 km de Paris, c'est pas si desert!
Armement: un canon interne, 2 AMRA, 4 bombes de 900kg
Pour le cambriolage des studios...
J'ai du mal a imaginer Ming assez naif pour laisser ses precieuses bandes si mal protegees. pour moi qui vais souvent etudier la securite de certains edifices, je peux vous dire que c'est improbable qu'on considere comme defendu un immeuble dont un seul acces -meme annexe... surtout annexe!- n'est pas defendu serieusement. Si on met des alarmes, on ne laisse jamais un seul acces sans alarme. Et il y aura toujours un second niveau de detection, par exemple volumetrique, devant le site le plus sensible (ici, le coffre). Et Ming qui a un vieux coffre a cadrans!
Cette pauvre porte en bois de sous-sol, ni renforcee, ni surveille, sans alarme...
La connaissance que Bob arrive a avoir des studios est aussi des plus surprenantes... essayez, meme avec des moyens de police ou de services secrets, d'avoir le plan de l'appartement de votre voisin d'en face (si vous n'avez pas le meme type d'immeuble, bien sur!)... La, c'est trop facile!
Confusion entre bouteilles d'oxygene et bouteilles d'air, pour plonger. Je ne vous conseille pas de plonger avec de l'oxygene pur, vous n'etes pas un chalumeau... l'ivresse des profondeurs vous guette des la surface!
J'ai eu du mal a gouter le sens du mot "douve" p190... Pour moi, une douve, c'est un fosse inonde au pied d'une muraille de chateau, pas un egout... est-ce different en Belgique?
Le reperage du monastere de Shan Kuyi...
Bob utilise qutre antennes paraboliques pour determiner la direction des ondes... Sans doute comparable au reperage par goniometrie, un tel reperage demanderait deux points de mesures et non point un. Bob ne peut connaitre qu'un cap, mais pas la distance sur ce cap.
p273, j'ai beaucoup apprecie le passage sur la presence mystique... il n'y a pas plus athe que moi, mais j'entends cette sorte de mystique des lieux "ou l'esprit souffle ou a souffle" Il me semble que c'est la premiere fois que Bob parle ainsi...
La fin me fait penser a un certain autre recit, a orion...
Il y a aussi un decalage complet, comme d'habitude entre l'epaisseur du livre et son contenu reel. Je sais que nous, les lecteurs de Bob, nous faisons un peu ages, mais quand meme... ca se lit vite...
Pour un Numero 200... toute une quantite de choses qui ne font pas tres professionnel... Mais j'ai passe un bon moment.
Ben, d'abord, je trouve l'histoire assez bien, avec un peu de suspense, quelques rebondissements... J'ai passe un bon moment a le lire...
Ce qui me manque, c'est une impression de profondeur, de richesse des descriptions, des raisonnements, des justifications.
Il y a aussi quelques incoherences, comme le vol en delta plane, dont je prefere rire, mais qui me laissent sur ma faim.
Je ne parle pas de l'orthographe, c'est un sujet qui me fache vraiment de plus en plus! Comment monsieur Ananke peut-il oser editer ce genre de chose? Du temps de monsieur Marabout, il n'y avait pas d'ordi, mais la, il y a quqnd meme du scandale dans l'air!
Bon... OK... j'en ai parle...
petites remarques au long du texte...
- je fus amuse par l'expression "foutue carte" p158
- les deux hommes de la p167 deviennent trois p168
- repetition de 'pas assez vite' p 168...
- quatre voitures qui deviennent deux p174
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J'ai du mal a imaginer Ming assez naif pour laisser ses precieuses bandes si mal protegees. pour moi qui vais souvent etudier la securite de certains edifices, je peux vous dire que c'est improbable qu'on considere comme defendu un immeuble dont un seul acces -meme annexe... surtout annexe!- n'est pas defendu serieusement. Si on met des alarmes, on ne laisse jamais un seul acces sans alarme. Et il y aura toujours un second niveau de detection, par exemple volumetrique, devant le site le plus sensible (ici, le coffre). Et Ming qui a un vieux coffre a cadrans!
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La connaissance que Bob arrive a avoir des studios est aussi des plus surprenantes... essayez, meme avec des moyens de police ou de services secrets, d'avoir le plan de l'appartement de votre voisin d'en face (si vous n'avez pas le meme type d'immeuble, bien sur!)... La, c'est trop facile!
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J'ai eu du mal a gouter le sens du mot "douve" p190... Pour moi, une douve, c'est un fosse inonde au pied d'une muraille de chateau, pas un egout... est-ce different en Belgique?
Le reperage du monastere de Shan Kuyi...
Bob utilise qutre antennes paraboliques pour determiner la direction des ondes... Sans doute comparable au reperage par goniometrie, un tel reperage demanderait deux points de mesures et non point un. Bob ne peut connaitre qu'un cap, mais pas la distance sur ce cap.
p273, j'ai beaucoup apprecie le passage sur la presence mystique... il n'y a pas plus athe que moi, mais j'entends cette sorte de mystique des lieux "ou l'esprit souffle ou a souffle" Il me semble que c'est la premiere fois que Bob parle ainsi...
La fin me fait penser a un certain autre recit, a orion...
Il y a aussi un decalage complet, comme d'habitude entre l'epaisseur du livre et son contenu reel. Je sais que nous, les lecteurs de Bob, nous faisons un peu ages, mais quand meme... ca se lit vite...
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Dernière édition par caoa54 le 24 mai 2006 à 23:08, édité 1 fois.
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Je propose Caoa au poste de conseiller technique d'Henri Vernes
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Vos elucubrations portant atteinte a mon futur statut de conseiller technique non cite me font penser que j'ai oublie une invraissemblance de taille qui m'a a la fois fait rire et deperir...
Rire, parce que c'est plutot rigolo, comme naivete...
Deperir, parce que ca me fait mal de voir ca dans un Bob...
Ces Bob qui, gamin, m'avaient ouvert l'esprit, ou je prenais tout pour argent content... C'est donc pas si serieux...? Mem aujourd'hui?
Donc, ce dernier truc, pour reprendre mon reportage de joyeux lecteur bavard (qui a autre chose a faire que sa cuisine), c'est le coup du deltaplane. Des attaques de commandos par deltaplanes, on en a vu x (ou meme y) fois dans des films dits d'action.
Pourtant, ce genre de chose, si ca fait fantasmer, rever, ou ce que vous voulez, ca ne peut etre utilise que dans un contexte TRES particulier: Le point de depart doit etre au-dessus du point d'arrivee, sauf si on trouve un endroit avec des courant ascendants pour vous faire prendre de l'altitude.
Qu'on le veuille ou non, un deltaplane, ca ne monte pas tout seul! Ou on lui colle un moteur aux fesses et ce n'est plus un deltaplane, ou le deltaplane trouve de l'air qui le fait monter, comme un planeur, le long d'une crete, sous un cumulus, peut-etre meme au dessus d'une centrale nucleaire.
Alors, quand Bob et Bill montent sur une usine -meme de textile-, il leur faudrait une sacree hauteur d'usine pour pouvoir d'une part prendre leur vitesse initiale (la prise d'elan a pied est insuffisante, il faut piquer un peu, dans un premier temps pour accelerer, avant que la portance ne soit suffisante) et, d'autre part, avoir assez de reserve d'altitude pour descendre jusque vers les studios...
Le vent n'a aucun effet sur la descente, plus ou moins de vent n'empeche pas de descendre avec la meme vitesse (en metres perdus par seconde). Tout ce qu'il peut, c'est allonger la distance parcourue dans ce temps de descente, mais il faut alors qu'il souffle dans le bon sens.
Nous sommes en effet dans un cas bien different du cerf volant ou le vent cree une vitesse relative de l'air sur la surface portante qui reste, elle fixe. Le cerf volant vole longtemps parce qu'il est soumis a de l'air en mouvement, force qu'il est par la corde qui le retient. Detachez la corde, le cerf volant se met a la vitesse du vent (=il est emporte par le vent), donc il tombe (enfin, il ne tombe pas vite car il est leger et de grande surface comme un parachute).
Je vous causerai du parachute une autre fois... Mais de toute facon, le deltaplane, ce n'est jamais qu'un super parachute!
Bon, je sais, je pinaille et je ferais mieux de m'occuper de mes portes de cuisine...
Rire, parce que c'est plutot rigolo, comme naivete...
Deperir, parce que ca me fait mal de voir ca dans un Bob...
Ces Bob qui, gamin, m'avaient ouvert l'esprit, ou je prenais tout pour argent content... C'est donc pas si serieux...? Mem aujourd'hui?
Donc, ce dernier truc, pour reprendre mon reportage de joyeux lecteur bavard (qui a autre chose a faire que sa cuisine), c'est le coup du deltaplane. Des attaques de commandos par deltaplanes, on en a vu x (ou meme y) fois dans des films dits d'action.
Pourtant, ce genre de chose, si ca fait fantasmer, rever, ou ce que vous voulez, ca ne peut etre utilise que dans un contexte TRES particulier: Le point de depart doit etre au-dessus du point d'arrivee, sauf si on trouve un endroit avec des courant ascendants pour vous faire prendre de l'altitude.
Qu'on le veuille ou non, un deltaplane, ca ne monte pas tout seul! Ou on lui colle un moteur aux fesses et ce n'est plus un deltaplane, ou le deltaplane trouve de l'air qui le fait monter, comme un planeur, le long d'une crete, sous un cumulus, peut-etre meme au dessus d'une centrale nucleaire.
Alors, quand Bob et Bill montent sur une usine -meme de textile-, il leur faudrait une sacree hauteur d'usine pour pouvoir d'une part prendre leur vitesse initiale (la prise d'elan a pied est insuffisante, il faut piquer un peu, dans un premier temps pour accelerer, avant que la portance ne soit suffisante) et, d'autre part, avoir assez de reserve d'altitude pour descendre jusque vers les studios...
Le vent n'a aucun effet sur la descente, plus ou moins de vent n'empeche pas de descendre avec la meme vitesse (en metres perdus par seconde). Tout ce qu'il peut, c'est allonger la distance parcourue dans ce temps de descente, mais il faut alors qu'il souffle dans le bon sens.
Nous sommes en effet dans un cas bien different du cerf volant ou le vent cree une vitesse relative de l'air sur la surface portante qui reste, elle fixe. Le cerf volant vole longtemps parce qu'il est soumis a de l'air en mouvement, force qu'il est par la corde qui le retient. Detachez la corde, le cerf volant se met a la vitesse du vent (=il est emporte par le vent), donc il tombe (enfin, il ne tombe pas vite car il est leger et de grande surface comme un parachute).
Je vous causerai du parachute une autre fois... Mais de toute facon, le deltaplane, ce n'est jamais qu'un super parachute!
Bon, je sais, je pinaille et je ferais mieux de m'occuper de mes portes de cuisine...
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Belle explication de Caoa qui confirme le sentiment que j'avais eu en lisant le livre : c'est pas possible son truc à Bob
Bon maintenant faut retourner faire ta cuisine hein
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Belle démo, très instructive, de la part de Caoa mais dans le roman il y a une autre aberration avec ce delta-plane et qui n'a rien à voir avec la "portance" ou le vol.
Dans la première partie c'est Bob lui-meme qui renonce à ce moyen pour "visiter" une première fois le studio de Ming, et cela pour plusieurs raisons et dans la seconde partie, alors qu'il revient pour prendre les bandes magnétiques, il utilise, le delta-plane.
Alors, me direz-vous : il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis. OK, mais ce qui est impossible (ou presque) une première fois l'est tout autant la seconde alors que rien n'a changé.
Dans la première partie c'est Bob lui-meme qui renonce à ce moyen pour "visiter" une première fois le studio de Ming, et cela pour plusieurs raisons et dans la seconde partie, alors qu'il revient pour prendre les bandes magnétiques, il utilise, le delta-plane.
Alors, me direz-vous : il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis. OK, mais ce qui est impossible (ou presque) une première fois l'est tout autant la seconde alors que rien n'a changé.
Allez je vais me faire l'avocat du diable : peut-être que le sens ou la force du vent avait changé entre temps
OK
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Nous sommes souvent déçus parce que nous attendons beaucoup - trop ?- d'un nouveau Bob Morane et nous avons tendance à ne voir que ce qui est "mauvais"... Des invraissemblances il y en a toujours eu même dans les premiers Bob (les savants fous et leurs inventions impossibles) , les aventures spatio-temporelles...
Ce n'est pas tant cela qui me gêne mais plutôt les inéluctables fautes orthographe, de conjugaison et autres coquilles dont les éditions (!) Ananké ont l'air de se foutre complètement...
En plus quand on voit comment ils traitent Twin et son encyclopédie...
En fait nous sommes tous les :
[b]Tiens, ils ont encore fait une faute d'orthographe dans le titre !![/b]
Ce n'est pas tant cela qui me gêne mais plutôt les inéluctables fautes orthographe, de conjugaison et autres coquilles dont les éditions (!) Ananké ont l'air de se foutre complètement...
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En fait nous sommes tous les :
[b]Tiens, ils ont encore fait une faute d'orthographe dans le titre !![/b]
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Pour ma part, il y a une petite nuance à ce que tu dis Serge. Quand un auteur me parle d'un savant fou avec une invention impossible cela ne me choque pas et j'adhère complètement. Dans l'ensemble, je suis plutot bon "public". C'est d'ailleurs le propre de la science-fiction et du fantastique que de nous amener dans des mondes inventés, dits futuristes... Par contre, je "digère" difficilement les incohérences du type de celles que nous avons tous constatées.
D'ailleurs c'est surement parce que je suis complètement dans l'idée de l'auteur qui m'affirme quelque chose, que je suis désorienté et que je rale quand quelques pages plus loin, il affirme le contraire ou autre chose. Je dois alors "redresser la barre", dans mon esprit en me disant, bon, il s'est trompé, qu'a-t-il voulu dire, est-ce blanc ou noir... Quand je lis un livre, j'ai autre chose à faire, je préfère de loin, rester dans l'ambiance et laisser mon imagination galoper à la suite de l'auteur.
Dans "Les secrets..." je suis le premier à le dire, il y a de très bonnes idées, l'argument du livre est bon, la lecture en est souvent prenante mais par exemple une chose (parmi d'autres) m'a choquée, ce sont les noms des monastères. Un coup il est dit que Ming se trouve dans le 3ème puis après c'est dans le 2ème. Un coup le 2ème prend le nom du 3ème et vice versa : pas très clair !
D'ailleurs c'est surement parce que je suis complètement dans l'idée de l'auteur qui m'affirme quelque chose, que je suis désorienté et que je rale quand quelques pages plus loin, il affirme le contraire ou autre chose. Je dois alors "redresser la barre", dans mon esprit en me disant, bon, il s'est trompé, qu'a-t-il voulu dire, est-ce blanc ou noir... Quand je lis un livre, j'ai autre chose à faire, je préfère de loin, rester dans l'ambiance et laisser mon imagination galoper à la suite de l'auteur.
Dans "Les secrets..." je suis le premier à le dire, il y a de très bonnes idées, l'argument du livre est bon, la lecture en est souvent prenante mais par exemple une chose (parmi d'autres) m'a choquée, ce sont les noms des monastères. Un coup il est dit que Ming se trouve dans le 3ème puis après c'est dans le 2ème. Un coup le 2ème prend le nom du 3ème et vice versa : pas très clair !
Moi ce qui m'a le plus choqué c'est "l'emprunt" de l'hélicoptère. Quand on connaît l'humour de l'armée chinoise en général et dans cette partie du monde en particulier c'était minimum 25 ans de camp de travail, voir le peloton d'éxécution mais certainement pas la gentille expulsion.
Un détail bien sûr ce genre de chose mais moi qui me gêne dans un roman de style "réaliste"
Un détail bien sûr ce genre de chose mais moi qui me gêne dans un roman de style "réaliste"
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Idem, le coup de l'hélico c'est du super n'imorte quoi ! J'en ai failli tomber de mon fauteuil (mais qu'est-ce qu'il fout ce con !).
Par contre, j'y ai trouvé une morale à l'histoire : "les jeunes ne sont pas dangereux. S'ils le sont, c'est qu'ils sont manipulés". Amen.
Quant a prologue, baf pourquoi pas, ça permet d'expliquer la réapparition de Ming, quoique que la fin du prologue laissait plutôt penser à la disparition définitive de Ming, de Bob, Bill et Sophia. Hop, plus personne, circulez y'a plus rien à voir.
Il faut noter aussi que Tania est officiellement grillée !
Par contre, j'y ai trouvé une morale à l'histoire : "les jeunes ne sont pas dangereux. S'ils le sont, c'est qu'ils sont manipulés". Amen.
Quant a prologue, baf pourquoi pas, ça permet d'expliquer la réapparition de Ming, quoique que la fin du prologue laissait plutôt penser à la disparition définitive de Ming, de Bob, Bill et Sophia. Hop, plus personne, circulez y'a plus rien à voir.
Il faut noter aussi que Tania est officiellement grillée !