Le dessinateur le plus fidèle à la description de Ming

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Modérateur : La Patrouille du Temps

Stoker
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Message par Stoker » 04 nov. 2006 à 16:26

jean-yves a écrit :a priori le visage n'est pas decrit comme rond et large ( ou alors ailleurs ds le roman ) ; sinon ce n'est pas contradictoire cette " lune en pointe " : les croissants de lune sont tres souvent dessinée tres " maigre" et non comme un demi-rond
Quelquepart, j'ai du mal à imaginer Ming avec une tête en croissant ;-)
Le crâne était rasé et l’ensemble rappelait une lune qui se serait terminée en pointe par le bas, car le menton possédait l’aigu d’un soc de charrue.
En ce qui concerne le "rond et large", je crois l'avoir vu récement dans la "Forteresse" ou un des suivants (dans le volume Anake 3000 regroupant les premiers Cycles du Temps)
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jean-yves
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Message par jean-yves » 04 nov. 2006 à 18:53

sans doute qu'apres , HV s'est " adapté" à la vision des dessinateurs , forton ayant été le seul a l'avoir dessiné acétique ( et l'OJ le plus representatif est celui de vance , qui l'a fait tres épais )
- ou alors vernes a commencé un régime et il a " grossi" l'OJ pour se venger-

cela dit , effectivement , il faudrait relire les romans pour savoir ds lequel la description de ming a changé du " maigre" au " gras" pour la 1er fois !

Stoker
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Message par Stoker » 04 nov. 2006 à 21:11

jean-yves a écrit :cela dit , effectivement , il faudrait relire les romans pour savoir ds lequel la description de ming a changé du " maigre" au " gras" pour la 1er fois !
Note que dans la descriptionque tu as justement rappelé, il ne parle pas d'un VISAGE maigre mais d'un HOMME maigre... La seule image concernant le visage est celle de la Lune...
- C’était un asiatique – un Chinois, ou plus probablement un Mongol – long et maigre, il devait mesurer près de deux mètres, vêtu d’un costume noir au col fermé de clergyman. Ses bras, anormalement longs et musclés s’il fallait en juger par la façon dont il remplissait les manches du vêtement, étaient peu en rapport avec le corps filiforme, et aussi les mains énormes, osseuses, avec des doigts pareils à des dents de fourche. Mais le visage, plus encore, retenait l’attention. Un visage d’un jaune un peu verdâtre, faisant songer à un citron pas tout à fait mûr. Le crâne était rasé et l’ensemble rappelait une lune qui se serait terminée en pointe par le bas, car le menton possédait l’aigu d’un soc de charrue. Entre les pommettes démesurément saillantes, le nez se révélait large, épaté. Quant à la bouche, fine mais aux lèvres parfaitement dessinées, elle s’ouvrait, quand l’homme parlait, sur des dents pointues, qui ne semblaient pas appartenir à un être humain, mais à une bête carnivore. Les yeux non plus n’étaient pas humains. Sous les paupières fendues obliquement, ils faisaient songer à deux pièces d’or ou, mieux encore, à deux topazes opaques. Des yeux minéraux, sertis dans un visage de chair, des yeux qui semblaient morts, sans regard, mais d’où cependant émanaient une extraordinaire puissance hypnotique
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