Je vais jouer au père Noël
Modérateur : La Patrouille du Temps
- Philippe
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- Localisation : Pays du nougat vallée du Rhône
Je vais jouer au père Noël
Bonjour à toutes et tous,
J'ai trouvé un DVD de Bob Morane et l'ombre jaune. Il en restait deux j'ai pensé faire plaisir à quelqu'un du forum. J'en garde un l'autre je l'offre.
J'offre gratuitement ce DVD (avec en bonus les fiches des personnages et une bio de HV), je paye même l'envoi.
Pour cela je me suis dis qu'un petit concours sympa serait mieux que au premier qui répond. En effet certains sont au boulot et ne peuvent se connecter.
Donc, j'offre ce DVD au gagnant du petit concours modeste qui a comme thême : BOB amoureux.
Ecrivez une courte nouvelle de 30 lignes minimum sur ce thême.
Ensuite j'organisarai un sondage sur les réponses et le meilleur texte recevra le DVD.
En cas d'ex aequo je départagerai souverainement.
Pas de contrainte particulière pour le texte sauf celle de rester décent.
J'en profite pour vous souhaiter de passer un excellent Noël, de bonnes fêtes de fin d'année, et vous souhaite une année 2008 pleinne de bonnes choses et surtout la santé.
Philippe
J'ai trouvé un DVD de Bob Morane et l'ombre jaune. Il en restait deux j'ai pensé faire plaisir à quelqu'un du forum. J'en garde un l'autre je l'offre.
J'offre gratuitement ce DVD (avec en bonus les fiches des personnages et une bio de HV), je paye même l'envoi.
Pour cela je me suis dis qu'un petit concours sympa serait mieux que au premier qui répond. En effet certains sont au boulot et ne peuvent se connecter.
Donc, j'offre ce DVD au gagnant du petit concours modeste qui a comme thême : BOB amoureux.
Ecrivez une courte nouvelle de 30 lignes minimum sur ce thême.
Ensuite j'organisarai un sondage sur les réponses et le meilleur texte recevra le DVD.
En cas d'ex aequo je départagerai souverainement.
Pas de contrainte particulière pour le texte sauf celle de rester décent.
J'en profite pour vous souhaiter de passer un excellent Noël, de bonnes fêtes de fin d'année, et vous souhaite une année 2008 pleinne de bonnes choses et surtout la santé.
Philippe
Pas bête cette idée mais jusqu'à quand on a ?
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ha oui le temps de se remettre quoi
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- Modérateur
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*burp* excusez-moi je m'écarte du sujet
Parazythum.
Don't Bug Me !
Auteur et webmaster du Grenier de Bob Morane http://parazythum.free.fr/grenier
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Re: Je vais jouer au père Noël
Dommage, Philippe, ton idée était bonne et vachement sympaPhilippe a écrit : Pas de contrainte particulière pour le texte sauf celle de rester décent.
Mais je pense que si tu n'avais pas énoncé cette contrainte, tu aurais probablement reçu plus de réponses, compte tenu des phénomènes qui hantent ce forum
Amitiés d'Aristide Hergé
"Les deux seuls sentiments que l'homme ait jamais inspiré au policier sont l'ambiguïté et la dérision" (Eugène-François Vidocq)
Avec les fêtes et tout le reste je l'ai complètement oublié ce post
T'aurais du le relancer début janvier Philippe
T'aurais du le relancer début janvier Philippe
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- Philippe
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Bonsoir,
Finalement je vais peut-être vous écrire ce que j'aurai envoyé si j'avais voulu concourir.
Cà sera peut-être çà jouer au père noël.
Aller, pour vous appater, je vais faire la bande annonce de ma nouvelle :
Dit papa, il viendra tonton Bill ?
L'homme interpellé leva les yeux de l'ouvrage qu'il avait devant lui. Il reposa ses lunettes sur le bras de son fauteuil club. Ses yeux gris acier n'avaient rien perdu de leur acuité.
Mais oui qu'il sera là répondit -il en souriant, il ne manquerait aucun de tes anniversaires.
Dans l'encadrement de la porte de la cuisine se découpa la silhouette d'une grande et belle femme, la peau mate, le visage ovale, on ne pouvait pas décerner au premier regard si elle était asiatique ou indienne. Ses grands yeux en amande souriaient en allant de l'un à l'autre des deux hommes de sa vie.
Voilà, la suite si vous êtes sages...
Philippe
Finalement je vais peut-être vous écrire ce que j'aurai envoyé si j'avais voulu concourir.
Cà sera peut-être çà jouer au père noël.
Aller, pour vous appater, je vais faire la bande annonce de ma nouvelle :
Dit papa, il viendra tonton Bill ?
L'homme interpellé leva les yeux de l'ouvrage qu'il avait devant lui. Il reposa ses lunettes sur le bras de son fauteuil club. Ses yeux gris acier n'avaient rien perdu de leur acuité.
Mais oui qu'il sera là répondit -il en souriant, il ne manquerait aucun de tes anniversaires.
Dans l'encadrement de la porte de la cuisine se découpa la silhouette d'une grande et belle femme, la peau mate, le visage ovale, on ne pouvait pas décerner au premier regard si elle était asiatique ou indienne. Ses grands yeux en amande souriaient en allant de l'un à l'autre des deux hommes de sa vie.
Voilà, la suite si vous êtes sages...
Philippe
Bon bin on est sage
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Je vais jouer au père Noël
j'ai toujours cru qu'il allait se marier avec la concierge de son immeuble qui représente un peu sa mère absente ...
j'aurais bien aimé un côté bigoudis, poils au menton et nappe à carreaux dans l'histoire mais bon
Mike
j'aurais bien aimé un côté bigoudis, poils au menton et nappe à carreaux dans l'histoire mais bon
Mike
Plus j'y pense, plus je me dis qu'il n'y a aucune raison pour que le carré de l'hypoténuse soit égal à la somme des carrés des deux autres côtés.
- Philippe
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Suite de mon précédent post :
Robert, c’est prêt ! Dit-elle d’une voix câline.
L’homme contempla une seconde l’enfant qui ayant entendu sa mère se relevait de l’épais tapis persan sur lequel il avait étalé ses soldats de plomb auxquels il ordonnait des manœuvres savantes sorties de son imagination de garçon de 5 ans.
Il rangea ses lunettes dans leur étui qu’il posa sur le bureau devant lui.
Il coula un regard vers l’embrasure de la porte par laquelle la charmante apparition était repartie.
Son regard gris acier se perdit quelques instants sur les rayonnages qui entouraient la pièce, des livres rares, des statuettes précieuses, des morceaux de frises oubliées, un coffret, qu’aucun système d’alarme ne protégeait, renfermant une fortune en pierres précieuses offertes par quelque prince reconnaissant.
Une paire de jumelles de vision nocturne accrochées au dossier d’une chaise renaissance. Des cartes anciennes dans leurs rouleaux de peau de yacks. Un ordinateur portable voisinant des carnets de notes parcheminés par les intempéries et les aventures qu’ils leur avaient fallu traverser pour en arriver dans ce bureau cossu du quai Voltaire.
Avec un léger soupir il sourit, machinalement il passa ses doigts en peigne dans ses cheveux poivre et sel. Il posa ses mains puissantes et noueuses sur les accoudoirs et d’un coup de rein souple se releva.
Allez William, on y va, ne faisons pas attendre maman.
L’enfant au regard perçant comme son père, avait dans les traits la douceur du visage de princesse précieuse de sa mère.
L’homme s’approcha de celle ci, passa un bras tendre autour de sa taille, souleva un couvercle sur la cuisinière et huma gourmand : Nous allons encore nous régaler …
C’est une spécialité que me préparait ma nounou quand j’étais petite.
Quand tu étais petite, c’était à Bornéo ? demanda le garçon.
Ben oui, tu le sais bien, c’est là que nous nous sommes connus avec ton papa, et tonton William.
L’homme s’assit à la grande table de chêne massif qui trônait au centre de la cuisine. Son fils sur la droite et la place de son épouse face à lui.
Aux premières bouchées de ce plat exotique et parfumé, son regard se perdit dans le vague et son esprit vagabonda sur les rives du fleuve Yanu.
-- Encore un effort Commandant, et nous sommes arrivés gronda en s’arc boutant sur sa pagaie, un géant roux aux épaules aussi larges que la pirogue dans laquelle il se trouvait avec deux autres compagnons. Un rude gaillard et une frèle jeune femme.
-- J’espère que les informations de ce forban de Tran Nuc sont fiables, et que nous allons bientôt apercevoir les appontements du village de Bien Yen, lui répondu l’un homme aux bras noueux, aux traits énergiques, les cheveux coupés en brosse.
La jeune femme habillée d’une simple veste de toile kaki, trop grande pour elle, jetée sur une robe de soie rouge et jaune, parée de perles, jettait de temps en temps d’un coup d’œil furtif en arrière avec angoisse, elle vérifiait l’apparition de pirogues lancées à leur trousse depuis trois jours maintenant.
-- Toujours rien fit elle dans un souffle à ses deux compagnons qui appuyaient toujours avec force sur leurs pagaies.
-- Faut pas s’y fier commandant gronda le géant roux, z’ont plus d’un tour dans leur sac ces oiseaux là.
L’homme que son compagnon appelait commandant ne répondit pas. Il fixait devant lui dans le coude de la rivière qui se dégageait maintenant devant eux, l’apparition de quelques misérables cahutes qui formaient le petit village de Bien Yen. Il plissa des yeux comme pour affuter sa vision pourtant fort bonne, en secouant la tête.
-- Arrête toi Bill, Y a quelque chose qui cloche.
-- Z’avez raison commandant, c’est pas normal, répondit le colosse en posant sa pagaie en travers devant lui. Laissant la pirogue filer sur son ère. Semble aussi désert que la poche d’un bailleur de fond.
La suite dans quelques instants , jours , mois, on verra.
Philippe
Robert, c’est prêt ! Dit-elle d’une voix câline.
L’homme contempla une seconde l’enfant qui ayant entendu sa mère se relevait de l’épais tapis persan sur lequel il avait étalé ses soldats de plomb auxquels il ordonnait des manœuvres savantes sorties de son imagination de garçon de 5 ans.
Il rangea ses lunettes dans leur étui qu’il posa sur le bureau devant lui.
Il coula un regard vers l’embrasure de la porte par laquelle la charmante apparition était repartie.
Son regard gris acier se perdit quelques instants sur les rayonnages qui entouraient la pièce, des livres rares, des statuettes précieuses, des morceaux de frises oubliées, un coffret, qu’aucun système d’alarme ne protégeait, renfermant une fortune en pierres précieuses offertes par quelque prince reconnaissant.
Une paire de jumelles de vision nocturne accrochées au dossier d’une chaise renaissance. Des cartes anciennes dans leurs rouleaux de peau de yacks. Un ordinateur portable voisinant des carnets de notes parcheminés par les intempéries et les aventures qu’ils leur avaient fallu traverser pour en arriver dans ce bureau cossu du quai Voltaire.
Avec un léger soupir il sourit, machinalement il passa ses doigts en peigne dans ses cheveux poivre et sel. Il posa ses mains puissantes et noueuses sur les accoudoirs et d’un coup de rein souple se releva.
Allez William, on y va, ne faisons pas attendre maman.
L’enfant au regard perçant comme son père, avait dans les traits la douceur du visage de princesse précieuse de sa mère.
L’homme s’approcha de celle ci, passa un bras tendre autour de sa taille, souleva un couvercle sur la cuisinière et huma gourmand : Nous allons encore nous régaler …
C’est une spécialité que me préparait ma nounou quand j’étais petite.
Quand tu étais petite, c’était à Bornéo ? demanda le garçon.
Ben oui, tu le sais bien, c’est là que nous nous sommes connus avec ton papa, et tonton William.
L’homme s’assit à la grande table de chêne massif qui trônait au centre de la cuisine. Son fils sur la droite et la place de son épouse face à lui.
Aux premières bouchées de ce plat exotique et parfumé, son regard se perdit dans le vague et son esprit vagabonda sur les rives du fleuve Yanu.
-- Encore un effort Commandant, et nous sommes arrivés gronda en s’arc boutant sur sa pagaie, un géant roux aux épaules aussi larges que la pirogue dans laquelle il se trouvait avec deux autres compagnons. Un rude gaillard et une frèle jeune femme.
-- J’espère que les informations de ce forban de Tran Nuc sont fiables, et que nous allons bientôt apercevoir les appontements du village de Bien Yen, lui répondu l’un homme aux bras noueux, aux traits énergiques, les cheveux coupés en brosse.
La jeune femme habillée d’une simple veste de toile kaki, trop grande pour elle, jetée sur une robe de soie rouge et jaune, parée de perles, jettait de temps en temps d’un coup d’œil furtif en arrière avec angoisse, elle vérifiait l’apparition de pirogues lancées à leur trousse depuis trois jours maintenant.
-- Toujours rien fit elle dans un souffle à ses deux compagnons qui appuyaient toujours avec force sur leurs pagaies.
-- Faut pas s’y fier commandant gronda le géant roux, z’ont plus d’un tour dans leur sac ces oiseaux là.
L’homme que son compagnon appelait commandant ne répondit pas. Il fixait devant lui dans le coude de la rivière qui se dégageait maintenant devant eux, l’apparition de quelques misérables cahutes qui formaient le petit village de Bien Yen. Il plissa des yeux comme pour affuter sa vision pourtant fort bonne, en secouant la tête.
-- Arrête toi Bill, Y a quelque chose qui cloche.
-- Z’avez raison commandant, c’est pas normal, répondit le colosse en posant sa pagaie en travers devant lui. Laissant la pirogue filer sur son ère. Semble aussi désert que la poche d’un bailleur de fond.
La suite dans quelques instants , jours , mois, on verra.
Philippe
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Ho très bien Philippe et ça donne envie d'en savoir plus. N'hésites pas tu tiens un bon début, ce serait dommage d'arrêter
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- Philippe
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- Inscription : 06 mai 2003 à 14:23
- Localisation : Pays du nougat vallée du Rhône
Pour éric Leblanc,
Pour moi il s'agissait de lancer un petit concours sur un thème donné. Ce n'est que quelques pages maximum qui étaient demandées. Et ma production ne fera que quelques pages.
Dans la section des fan écrivent, je crois me rappeler que ce sont des romans complets qu'ils mettent en ligne, je n'ai pas cette prétention.
Philippe
Pour moi il s'agissait de lancer un petit concours sur un thème donné. Ce n'est que quelques pages maximum qui étaient demandées. Et ma production ne fera que quelques pages.
Dans la section des fan écrivent, je crois me rappeler que ce sont des romans complets qu'ils mettent en ligne, je n'ai pas cette prétention.
Philippe
Il n'y a pas que des romans, il y a aussi des nouvelles de quelques pages, alors pas de raison de t'abstenir
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Re: Je vais jouer au père Noël
pour faire la liaison entre les 2 topics...
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